TITANIC

Chapitre 3

Le soir, tu vas dans la grande salle diner avec ta famille et quelques connaissance.

Tu as vue défilé ta vie comme si tu l'avais déjà vécu. Un défilé sans fin de réception et de cotillons. Et toujours les mêmes gens, les mêmes conversations. Tu avais l'impression de te tenir au bord d'un précipice, sans personne à qui t'accrocher. 

Pendant le repas tu pars et cours à l'arrière du bateau en pleurant, tu es seule. Tu passes de l'autre coté de la rembardes avec difficulté à cause de ta robe. Tu regardes l'eau juste avant de t'apprêté à sauter.

??? : Non ne sauter pas.

Tu te retournes et tu vois que c'est l'homme que tu as vue toute à l'heure sur le pont. 

Toi : M'approcher pas. Si vous m'approcher je saute.

L'homme : Je vous en pris, donnez moi la main je vous ramène sur le pont.

Toi : Non ! Resté ou vous êtes. Approcher et. . . je sautes !

L'homme : Sa j'en doutes. 

Toi : Mais comment ça vous en douté ? Vous prétendez peut-être me connaitre et savoir se que je ferais ou ne ferais pas ! 

L'homme : Ba vous l'auriez déjà fait.

Toi : Vous êtes un insolant monsieur partez !    

L'homme : Je regrettes mais il est trop tard. Si vous sautez et ba je vais devoir sautez après vous.

Il commences à enlevé sa veste et ses chaussures.

Toi : Soyez pas absurdes. Vous mourrez. 

L'homme : Oh mais je nage très bien. 

Toi : La chute seule vous tueras.

L'homme : Sa feras mal, je dis pas le contraire. En faites croyez moi se qui m'inquiète le plus c'est la basse température de l'eau.

Toi : . . . A combien ?

L'homme : Environ  -32°C. Et bien une fois je suis tombé à l'eau, vous pouvez pas imaginer a qu'elle point elle était froide. Aussi froide que celle si. C'était telle comme des centaines et des centaines de lames de coup de coteaux qui vous transpercé le corps, on ne peux plus respirer, on ne peux plus pensé. Il n'y plus que la douleur et la peur. Voilà pourquoi sa me dit vraiment pas de sauter après vous. Mais que voulez vous ? J'ai pas le choix hein. . . Au fond se que j'espère c'est que vous repassiez de se coté et que je n'ai pas à sauter à l'eau.

Toi : Vous êtes débiles. 

L'homme : C'est se que tout le monde dit mais vous admettrez mademoiselle que moi je suis encor du bon coté de la rembardes. . . La main, donnez moi la main. Vous ne voulez pas sauté. 

Il me tend sa main et je la saisi. 

L'homme : Moi c'est Jack Dawson 

Toi : Et moi *ton prénom * DeWitt Bukater.

Jack : Je penses qu'il faudra que vous me l'écriviez pour m'en souvenirs.

Tu rigoles.