Daemon's - Tsukiyo Da Silva (Terminée)

Chapitre 9 : Partie 1

Du côté de Tsukiyo...

        Je me réveillais avec un lourd mal de crâne, mais que j'avais mal partout, quand j'ouvris enfin les yeux, je pensais que la lumière aller m'aveuglais, mais la lumière était tamisé et agréable. Une fois assise sur le lit, j'attirais l'attention d'un médecin, qui vint vers moi, pour me dire de me rallonger tout de suite.

- Bien maintenant que vous êtes réveillé, on va vous transférer vers une chambre de libre. Et vous pourrez recevoir des visites.

- Vous ne m'expliquez ce que je dois faire pour soigner rapidement ?

- Si, mais pas tout de suite, d'abord vous devez vous reposer un peu, et reprendre totalement vos esprits.

        Je dis rien de plus, j'avais trop mal pour ça, quand le médecin vit ma douleur, il ordonna à un infirmier de mettre quelque chose dans ma perfusion sûrement un calmant. J'en avais effectivement besoin, si je devais me reposer. Dix minutes plus tard ce même médecin et infirmier, m'emmenèrent vers une chambre individuel vide. Enfin vide... je vis avec bonheur Suzanne qui m'attendait. Sur le chemin de la chambre le médecin, qui avait à priori participer à mes soins, m'avait raconté le fait que Suzanne avait beaucoup aidé. Je crois que je la remercierais jamais assez, si elle n'avait pas la tête aussi dur que son frère je serais morte, à l'heure qu'il est. Pour commencer à parler avec elle, j'attendais que le médecins et et l'infirmier quitte la chambre, mais l'infirmier n'avait pas l'air de vouloir partir, il me regardait bizarrement d'ailleurs.

      Je voyais, que Suzanne attendait la même chose que moi, et elle commençait à s'impatienter. Une seconde plus tard elle chuchotait à l'oreille de l'infirmier, qui partit rapidement de la chambre presque en courant avec le rouge aux joues. Je haussais un sourcil, pour savoir ce qu'elle lui avait dit, elle soufflait, puis se rassit dans le fauteuil à côté du lit.

- Tu lui plaisais, je l'ai rappelé à l'ordre c'est tout.

      Je souriais, elle me faisait rire et c'était une bonne chose, ça me faisait oublier quelques instants ou je me trouvais. Un silence s'installait entre nous, je fixais Suzanne cherchant mes mots pour la remercier.

- Merci Suzanne, je crois que je te remercierais jamais assez. Le médecin m'a expliqué ce que tu as fait pour moi.

- C'est normal, et moi je ne te remercierais jamais assez de rendre mon frère heureux.

- Au fait il est où, j'aimerais le voir.

        Soudain le silence revint d'un coup, elle se grattait la tête, sûrement à chercher ses mots. Je craignais le pire à ce moment là, je lui laissais le temps, à prêt tout je n'avais rien d'autre à faire. Elle jouait avec ses pouces en commençant à m'expliquer.

- Comment dire ça... il est partit. Quand je suis sortit de la salle opératoire et que je lui ai dit ce qui c'était passé, il est partit furieux, sûrement pour étripé vivant chaque incubes. Max et Hayato sont partit le chercher.

      Je soufflais, bizarrement ça ne m'étonnait, qu'il réagisse comme ça, Suzanne et moi on se regardait, puis on éclatait de rire. On le connaissait bien. Je réfléchissais un petit peu, puis j'eus une idée.

- Est-ce que par hasard, vous auriez récupéré mon téléphone là-bas ?

- Hein ? Ah oui, des Daemon'S me les ont ramené tout à l'heure tiens.

       Suzanne me donna un sac en plastique rempli de mes affaires, elle m'expliqua, que mon sac à dos avait été quelque peu détruit dans ma chute en moto. À l'intérieur, il y avait les restes de mon ordinateur que j'avais assez bien détruit pour ne plus rien en tirer, puis mon portefeuille qui était bizarrement plein, ensuite mon téléphone, que j'allumais puis appela Hisashi.

- Allo ? Suzanne pourquoi tu m'appelles avec son téléphone le tiens n'a plus de batterie ?

- Non, ce n'est pas Suzanne. Ou es tu Hisashi ?

- Oh mon dieu, j'ai crus que je n'allais plus jamais t'entendre dire mon nom ! J'arrive tout de suite !

- Mon cœur ? Tu peux passer par la maison et me ramener mon blouson du club, je me sentirais mieux avec.

- Bien sûr ! Je t'aime à tout à l'heure !

     J'avais un sourire collé sur le visage, on se parlait comme un vrai couple !Car jusque ici, même si on l'étais entre guillemets on se comportait pas vraiment comme tel. Et Suzanne le voyait très bien, tellement bien que elle aussi avait un grand sourire collé au visage.

      On passait le temps en apprenant à nous connaître plus, j'adorais entendre les histoire de Suzanne, même si on avait douze ans d'écart, on s'entendait bien. On rigolait toutes les deux de bon cœur, quand mon homme entra dans la chambre avec mon blouson et accompagné de plusieurs Daemon's.

      Je pouvais voir mon blouson dépasser du dos de Hisashi, il souriait avec les autres, comme si ils me cachaient quelques chose. Suzanne et moi on avait un sourcil levé en attendant la bêtise qu'ils avaient faite. Jusqu'à ce que je vois Roger entrer, il me prit dans ses bras en me disant qu'il était heureux que je sois en vie.

- Tu me fais tellement penser à ton père Tsukiyo. Il serait tellement fière de toi, mais également terrifié.

      On riait tous, ça allégeait beaucoup l'ambiance, le cœur léger je reportais mon attention sur Hisashi, qui cachait mon blouson dans son dos. Donc avec un sourcil haussait je m'adressais à lui.

- Tu me donnes mon blouson s'il te plaît ?

       Tous les garçons avait un grand sourire, quand Hisashi vint à côté de mon lit pour me donner mon blouson. Je le prit dans mes bras, j'étais bien, je voulais rester ainsi, mais tout le monde sauf Suzanne me regardait impatient. Alors je commençais à examiner le blouson, quand je vis qu'il avait deux nouveaux écusson dessus, un grand dans le dos et un petit sur le cœur, ils disaient la même chose, Présidente.

       Les garçons l'avaient rajouter pendant mon absence, je restais bloquer à lire l'écusson, jusqu'à que Hayato suivit des autres prenne la parole.

- Avec tout ce que tu as subi Tsukiyo, tu as plus que gagner notre respect, tu le mérite, plus que personne d'autre. Tu es la meilleure présidente qu'un club puisse avoir.

        Les larmes coulaient le long de mes joues, des larmes de joie , je leur fit signe de venir, je les pris tous dans mes bras, c'était un peu long, car il y avait beaucoup de monde. Je finis par Ambre qui me serra dans ses bras longuement.

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Merci !  et à bientôt pour la suite !