Chapitre 16

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Il n'a pas fallu longtemps pour les médias de venir se battre devant le portail du manoir. Il 'était que 9heure de matin et j'entendais déjà les bruits des appareils photos, des journaliste en direct et mes chiens essayant de les faires partir.

- Je crois qu'ils sont peut-être une vingtaine dehors, observa Hanabi par la fenêtre, On pourra jamais sortir

Pendant se temps, je scrollai sur les réseaux. Que des tweet sur Neiji et sur notre famille: des insultes, des mêmes blessants, des photos montages aberrantes. Je fermai l'application et jeta presque mon portable de l'autre côtés de la table à manger.

- Comment vas-tu faire pour rendre visite à Neiji avec toute ses zombies mangeur d'infos ? demanda Hanabi

- J'ai des amis pro de l'évasion figure toi, déclarai-je un sourire malicieux sur le visage

Pendant ce temps, dans sa maison, Naruto restait planter là, les bras croisés devant son téléphone. Il se demandait si il devait appeler son employé: après tout, elle est traverse un mauvais moment, il est normal de demander de ses nouvelles. Ou alors se serait beaucoup trop indiscret ? Il n'ont qu'une relation Patron-employé jusqu'à lors. 

Depuis qu'il l'a vue tomber en larmes à Lime, cette image ne fait que lui traverser l'esprit. Pour une raison qui lui échappait, il ne s'empêchait  d'y penser. à lui avait évidemment fait quelque chose. Peut-être que cela lui rappel les évènement d'il y a quelques années...

C'est tant-ci il y pensait de plus en plus, pourtant il avait tout pour que ces images ne viennent plus le hanter. Le fait de revoir Joo-Hyuk a tout déclenché. La sonnerie de on téléphone le sortie de ses penser; il s'empara de se dernier avec une légère précipitation, espérant secrètement voir le numéro de la Hyuga s'afficher sur ce dernier. Mais il fut vite dessus de voir à la place celui d'un numéro masqué s'affiché:

- Allô ? répondit-il agacé

- Salut mon pote ! 

Naruto leva les yeux en reconnaissant la voix de son cadet, Konoha-Maru.

- Qu'est ce que tu veux Konoha-Maru ? demanda le blond saoulé de cet appel

- Je viens au nouvelle le moustachue! à fait longtemps que nous nous sommes pas parler, déclara le jeune garçon

Naruto avait toujours connu Konoha-Maru très... agité. Il pouvait partir en Road Trip pendant des semaines et donner aucunes nouvelle, ou passer ses week-ends dans boites de nuit ou d'autre connerie du genre. Comme une fois de plus, le blond écoutait parler le jeune homme sans vraiment y prêter attention. Il était surtout concentré sur le fait qu'il devait prendre des nouvelles de son assistante. 

Finalement il fut sauver de l'appel interminable avec son interlocuteur lorsqu'il s'aperçut qu'un notre numéro masqué tentais de le joindre. Il raccrocha sans état d'âmes au nez de Konoha Maru et entama le nouvel appel.

Alors que j'enfilais à la vite mes vêtements d'évasion, Hanabi me regardais un sourire moqueur au lèvres:

- Pourquoi ce sourire ? demandais en continuant de préparer ma fuite

- Juste que c'est la première foi que je vois faire le mûr, rit-elle, Mais dis quoi à Tante Chiyo quand elle s'en rendra compte ?

- Elle sera beaucoup trop énerver contre moi pour te mettre une raclé, la rassurais-je avec un clin d'œil

Au même moment, mon téléphone vibra. Le message de Sakura me signalant qu'elle se trouvait en bas de ma fenêtre.  Je sortis plusieurs drap de mon placard et les attachèrent fermement les unes aux autres avant de les déroulé le longs de mon mur arrière. J'accrochais l'extrémité de la corde au pied de mon lit avant de m'agripper à la corde. Du haut de mon acte suicidaire, je voyais Sakura se préparer au m'attraper en cas de chute, tandis qu'Ino filmait en riant. 

Qu'est ce que je ferais pas pour toi Neiji...

Finalement je descendis la corde et accouru en toute discrétion dans la voiture de mon amie sous les regards fière de Sakura, Ino et Hanabi.

- On aurait dit Prison Break Hina' ! Je pensais pas que tu pouvais faire ça ! s'exclama Ino en me montrant la vidéo prise

Sakura démarra la voiture et nous partîmes du manoir en prenants soins d'éviter le journaliste agglutiner devant chez moi. 

Neiji, j'espère connaitre la vérité sur toute cette histoire quand j'arriverai.

Un quart d'heure plus tard,  la voiture de la rose s'arrêta devant le bâtiment de la maison d'arrêt. Alors que j'entrais à l'intérieur, je remarquais plusieurs chaînes de télévision locale discuter avec plusieurs membres de la police. Je me précipitai vers le comptoir; prenant soin de cacher mon visage avec mes lunettes de soleil. 

- Que puis-je faire pour vous ? me demanda le policier au comptoir

- Je suis venu rendre visite à un de vos détenue, Neiji Hyûga...

L'Homme leva les yeux, me fixant intensément, comme pour examiner mon visage. Il ne dit aucun mot par la suite avant de me donner un passe. Je le pris, et marchai vers la salle où je devais m'entretenir avec lui. J'entrais dans un pièce vide où était placer qu'une table avec deux chaise face à face. 

Assise sur l'une d'elle, face à la porte d'entré, j'essayais de me préparer à cette conversation que j'allais avoir avec lui. Tellement de questions me taraudaient. Je fus sortie de mes pensées par le grincements de cette porte métallique s'ouvrant; et c'est où je retenu mon souffle. Devant moi, il était là. Menottes au poignet, des cernes sous les yeux, et un début de barbe.

Le gardien le poussa dans la salle violement avant de refermer la porte derrière lui. Neiji et moi, restâmes debout, je le regardais avec un mélange amère d'émotions que je ne pouvais d'écrire. Lui, en revanche, contemplait le sol, le regard vide. 

- Asseyons-nous, réussis-je à finalement dire 

Mon cousin s'exécuta et je fis de même. La salle retrouva son silence.

- Le procès est la semaine prochaine, déclarais-je, l'avocat de la famille va te sortir de là. On sait tous que c'est un malentendu, tu ne...

- Je l'ai fait Hinata.

J'arrêtais tout mouvement. Ces simples mots avait suffit à brisé tout mon monde, brisé mn cœur et mon âmes.

- Tu mens...  déclarais-je la voix tremblante

Il garda son silence, ne quittant par ses mains menottés des yeux. Je pris sa main, le cherchant du regard. Cherchant un quelconque signe qu'il mentait.

- Tu n'aurais jamais fait ça Neiji, dis-je sanglotant 

- Et pourtant.

- Sacrifier des enfants pour de l'argent ?! Tu te fous moi ?! Jamais tu aurais fait ça ! Le Neiji que je connais n'aurait...

- Qu'est ce que tu en sais Hinata ?

Son ton était devenue glacial. Comme si j'étais devenue un étrangère. Je retirai ma mains de ses siennes, baissant le regard, contemplant le vide à mon tour.

- Je suis désolé si je t'ai déçut Hanabi et toi, mais je l'ai fait de mon propre grés, reprit-il, cela fait longtemps que je le fait…

- C'est bon, le coupais-je, J'ai compris. Tu n'a jamais été le Neiji que j'ai connu.

Je me redressai de ma chaise en silence, me dirigeant vers la porte métallique. Avant ue je l'ouvre pour sortir, je m'arrêtais :

- On se reverra au procès.

Naruto ? Je l'aimerais jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant