Chapitre 15

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Assis sur un des bancs de l'aéroport avec mes bagages, j'observais silencieusement les gens passer; certains presser du à leur retard, d'autre entrain de faire des adieux à leur proches etc... J'attendais l'appel pour mon embarquement pour mon vol retour au Japon.

Après l'annonce au infos du soit disant trafics de Neiji, j'avais rappeler Chiyo qui m'avait expliquer qu'elle avait essayer de me prévenir pour pas me choquer. Mon patron, m'avait permit de repartir plus tôt au Japon et qu'il se débrouillerai; il avait l'air aussi bouleversé, ou c'était juste de l'empathie. 

Dans l'optique de me changer les idées, je dévérouillai mon téléphone avant d'ouvrir une application de jeux et d'y passer plusieurs minutes avant que la notification de mon téléphone me conduise accidentellement dans ma galerie où je trouvai une vidéo d'un chat adorable. Sakura me l'avait envoyer. Elle a toujours su que les chats était l'une des rares choses pouvant me faire sourire lorsque j'étais vraiment à bout. La vidéo étant terminé, je commençais à faire défiler les photo de ma galerie aussi loin qu'il pouvait aller. Lorsque je tombai sur une vidéo, qui fendu mon cœur en deux.

Sur celle-ci, se trouvait Neiji et Shino en train de s'amuser avec trois enfants, qui semblait être des orphelins. Il les poursuivait en jouant au loup, mais s'était soudainement arrêter, rougissant, à cause des moqueries du cameraman, qui n'était d'autre que Kiba. 

Je posai ma main contre ma bouche, étouffant mes sanglots. Mes yeux devinrent humides, et ma vu se troublait. Mon cousin ressemblait à un père jouant avec ses enfants, il m'était impossible de croire qu'il est pu faire du mal à ces enfants. Je restai un bon moment à rejouer la vidéo plusieurs fois, pleurant à chaud de larmes, attirant l'attention de certains passant. 

Après un temps, l'appel d'embarquement retentit enfin. Je pris mes affaires et me dirigeai vers la porte d'embarquement. Mon tour arriva enfin dans la fil pour monter dans l'avion, je présentai mon billet et en l'examinant, l'hôtesse releva ses yeux vers moi en me dévisageant.

- Un problème...?

- ...Non madame. Tout va bien.

Sa phrase respirait le mensonge, mais étant trop préoccuper, je ne fis pas plus attention et monta dans l'avion vers le Japon.

Japon, Tokyo
20h08

Je descendais du taxi après l'avoir payé en trombe et accouru aux portes du manoir, où m'attendait ma petite sœur. Sans tarder, elle se jeta dans mes bras et lui répondit en les serrant fort autour d'elle.

- Tu m'as tellement manquer ! S'exclama-t-elle, Il est clair que la maison est vide sans toi.

- Toi aussi tu m'as manquer !

- À moi aussi tu m'as manquer mon enfant...

Je relevais la tête en reconnaissant cette voix. Tante Chiyo.
Elle était là, du haut de ses un mètre soixante-sept. Je reconnaissais ses cheveux gris attaché et cette position de sage de film.
Plus doucement je m'avançais vers elle avant de l'entourer de mes bras et pleurer. Elle caressa mes cheveux en chuchotant, me disant à quel point nous lui avions manquer.

Plus tard, nous nous étions toute le trois assise au salon, Hanabi un peu à l'écart mais pas complètement pour qu'elle puisse l'écouter. Tante Chiyo avait son air rave et sérieux comme lorsqu'elle 'apprêtait à prendre une décision qui ne lui plaisait guère.

- Comment se fait-il qu'il soit impliqué là-dedans ? J'ai beau regarder les articles détaillés, je ne peux pas imaginer kidnapper et vendre des enfants comme des objets, avait-je déclaré la voix tremblante

- Moi aussi je suis sous le choque Hinata, dit-elle, Kaya et Hiashi ne l'ont pas élever de cette façon. Mais les fait sont là, et aux yeux du monde il est le coupable et cela impacte sur la réputation de l'entreprise et celle des Hyûga. C'est pour ça que tu parlera lors de l'interview de vendredi

J'écarquillais mes yeux, abasourdie par sa déclaration. Je me levai en catastrophe du canapé et dévisagea la vielle femme.

- Pourquoi ?! m'exclamai-je

- Parce que nous devons éviter que la réputation ne soit entaché par les soi disant magouille de ton cousin. Il faut rassuré la population que la famille et l'entreprise Hyûga n'est pas dangereuse.

J'ouvris la bouche pour répondre mais me ravisai de suite.

- Les journalistes vont surement vous traquez, éviter de sortir jusqu'à nouvel ordre, elle se leva du fauteuil et passa à coté de moi, Je monte dormir.

Tante Chiyo à toujours été autoritaire envers moi. Elle me disait quoi faire et je le faisais parce que je lui en devait beaucoup. Elle aurait pas être le chef de famille si elle ne faisait partie. Je me tournai vers Hanabi qui me regardait l'air désoler. Elle se leva de sa chaise et s'approcher de moi:

- Toi aussi tu devrais aller te reposer. Tu as fait un long voyage, et demain la journée sera longue, me conseilla-t-elle un sourire faible étirant ses lèvres

Oui, une longue journée.

J'embrassai ma petit sœur sur le front et monta dans ma chambre et me coucha directement dans mon lit. Et je m'endormis aussitôt, bien inconsciente de l'enfer qui allait me tomber dessus.


Naruto ? Je l'aimerais jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant