La SaGa des Kouamé Tome 2 Le Match de mon cœur Adelys Tome 2 De Nia

Épisode 42

La maman de Yannick se tourne vers moi et me demande mon nom de famille.

Adelys : Adelys Hinata Kouamé fille de Daniel et Nia Kouamé pourquoi madame ?

Stella : Pour rien.

Au même moment ma grand-mère fait son entrée dans la bijouterie. Le visage de Stella tombe en milles morceaux.

Brigitte : Adel tu est revenue et je dois faire le tour de la ville pour te voir petite fille tu veux tuer ta mamie ?

Adelys : Désoler mamie. Je devais parler avec maman. Papa m’a dit que tu est rentrée hier. Fūka et moi allions passer chez toi ce soir te fâche pas.

Brigitte : Finit et rejoint moi dans le bureau. Toi et moi ont doit ce parler ce que ta maman m’a raconté ne me plaît pas du tout

Adelys : Mamie j’ai fait quoi ?

Brigitte : Cet histoire de Yannick de je ne sais où tu viendras m’expliquer ça en profondeur dépêche toi je t’attends. Tu aime trop les pauvres.

Vicky en voyant le visage de Stella comprend qu’elle avait créé sa propre tombe en venant faire un scandale chez ma mère. S’il y a deux choses que Stella aime plus que ces enfants c’est l’argent et la notoriété. Je les sert rapidement et je retrouve ma grand-mère dans le bureau de maman.

Brigitte : Tu sais comment ta mère et ton père on commencer ?

Adelys : C’est dans leurs affaires d’Attiêké.

Brigitte : Oui c’est la version romantique de l’histoire la version non romantique est plus douloureuse. Écoute moi bien Fūka t’aime depuis le lycée je l’ai remarquer le jour où vous êtes venu me voir à Yamoussoukro alors respecte ton mari Hinata. Un pauvre à la fois.

Adelys : D’accord mamie. J’ai compris

Brigitte : Je ne veux pas me fâcher avec toi. Si les garçons de la famille son des djandjou tu dois te garder d’ajouter pour toi.

Adelys : Mamie tu exagère ils sont pas aussi Djandjou

Brigitte : Si tu vois ton père calme aujourd’hui c’est pas pour rien. Crois moi on a vue beaucoup maintenant accompagne moi chez ton frère lui aussi j’ai deux mots à lui dire.

Adelys : Aïe ton Augustin t’a fait quoi.

Brigitte : IL doit quitter dans son histoire d’Audrey. Je ne veux pas que cette histoire se répète je suis trop vieille pour ça.

Adelys : Mamie Audrey est une bonne fille je l’apprécie bien.

Brigitte : Ne l’apprécie pas il y’a quelques choses chez cette fille qui me fait peur.

Adelys : Aïe Audrey douce que je connais là te fait peur ?

Brigitte : Crois moi pour avoir côtoyer une folle je les reconnaît au premier coup d’œil.

En voyant le visage inquiets de mamie je voulais pas imaginer qu’ont parlais de la même fille. Arriver chez Augustin mamie n’ira pas par quatre chemin.

Brigitte : August ta Audrey est où ?

Augustin : chez elle je pense pourquoi mamie

Brigitte : Je ne veux plus te voir avec elle.

Augustin : Elle a fait quoi encore mamie

Adelys : Comment ça encore ?

Brigitte : Raconte a ta sœur ce qu’elle a fait !

Augustin : Elle et son frère ont aider leur père a manipuler les élections mais ils ont quand même perdue.

Je reste là a regarder mon grand frère comme ci je n’avais pas bien compris. Ma grand-mère voit le choc sur mon visage

Augustin : Je t’en prie fait attention à tout ce que tu lui raconte sur nous son père l’a envoyer pour espionner papa.

Adelys : Attend tu lui a dit que tu voulais te présenter pour les élections présidentielles de l’année prochaine

Augustin : Non pourquoi c’est ce qu’elle t’a dit ?

Adelys : Attend j’appelle maman.

J’appelle ma mère et lui explique ce qui se passe. Elle et tonton Stéphane débarque chez mon frère. On était tous sous le choc a quoi jouait cette fille. Ma grand-mère ne voulait pas connaitre le pourquoi du comment elle dit

Brigitte : Nia parle leur je ne veux pas que l’histoire se répète. Augustin si c’est femme que tu veux sors dans la rue sort des liasses de billets. Si tu ne sais pas chercher femme demande a ton père il va t’apprendre. Ne me pousse pas à mourir sans quelqu’un pour m’enterrer.

Augustin : Ne t’inquiètes pas mamie je la gère. Et toi où est ton mari tu l’as déjà quitter où quoi ?

Adelys : Bien sûr que non

Quand Augustin et moi on se tourne ont tombe sur le regard de maman. Elle avait l’air inquiets. Tonton Stéphane nous dit sur un ton ferme

Stéph : Les enfants écoutez moi bien je ne veux pas aller à vos funérailles. Aujourd’hui et maintenant vous ne devez plus faire confiance à qui que ce soit.

Nia : Stéphane

Stéph : Toi tais toi. Écoutez moi bien vous êtes 6. Augustin , Jules, Adelys, Cédric, Yvette et Herya. Ne laisser personne rentrer entre vous. Je vais parler avec Cédric et Herya ce soir aussi.

August : Tout va bien tonton ?

Stéph : Non rien ne va. S’il y a un problème prenez vous n’ayez pas peur de paraître arrogant. On a vue beaucoup compris ?

Brigitte : Tonton a raison Augustin tu est le responsable de tes frère et sœur. Si ça ne va pas c’est vers toi je vais me tourner.

Stéph : Nous on a fait pour nous et on va continuer. Votre maman et moi on ne sera pas toujours là. Réfléchissez et très vite.

Nia : Augustin est pitié de moi et éloigne toi de cette fille s’il te plaît. J’ai déjà vue une femme comme Audrey a l’œuvre et tu ne veux pas voir jusqu’où ce genre de femme son capable d’aller.

Stéph : Adelys éloigne toi d’elle ne l’évite pas complétement mais contrôle ta bouche toi aussi Augustin.

Brigitte : Nia je te jure elle avait le même regard que cette fille.

Nia : Seigneur prions qu’elle ne soit pas comme elle.

Stéph : Prions vraiment.

Pendant ce temps chez Stella la tension était monter

Stella : Merde donc comme ça j’ai pousser Fūka dans la richesse et éloigner mon propre fils de la richesse ? Merde

Kenji : Je te comprends pas explique moi mieux

Stella : Toi tu va faire de ton mieux redevenir amis avec ce Fūka fait ce qu’il faut faire et au bon moment ton frère reprend la femme qu’il aime.

Kenji : Maman ne me mêle pas à tes histoires tu as déjà gâcher mon amitiés avec lui si tu veux détruire son mariage sans moi.

Stella : hé ne vient pas me faire la morale. Fait ce que je te dit.

Kenji : Maman j’ai 23 ans je travaille j’ai un salaire une vie et je ne dépend plus de vous. Alors non fait tes intrigues toi-même.