Episode 126

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Je regarde Pauline qui fait un hum et tourne la tête

Adelys : C’est quand tu servait le café ou quand tu pourchassait les oiseaux sur la piste d’atterrissage que tu a créé le suprême ?

Au même moment j’entends tonton Stéphane qui venait d’arriver dire

Stéph : Ma fille je t’ai toujours dit donne du pouvoir a un africain et tu verra de quoi il est capable

Adelys : Tonton je Wanda a chaque fois que tu a raison

Yvense : Adelys rentre chez toi ce n’est pas un salon

Stéph : Ton employer si est impolie hein

Dès qu’il a dit tout les employées du suprême se retourne et regarde en ma direction. Yvense dit en riant

Yvense : Le vieux tu vit dans quel année ? Adelys ne travaille plus ici depuis longtemps.

Stéph : Par tout les saints de Dolce Gabbana, il m’a appeler comment ? Le vieux ? Adelys laisse le moi.

Adelys : Tonton calme toi apparemment Audrey ne lui a pas encore annoncer la bonne nouvelle. Yvense regarde

Là je lui sort une copie du document d’acquisition Pauline cour de son poste arrache le document de ma main et le lie attentivement. La voilà qui se met à crier

Pauline : On est libéré de se vampire.. on est libéré

Pauline va faire le tour de l’aéroport avec le papier. En la voyant partir tonton Stéphane se tourne vers yvense et lui demande

Stéph : Attend donc tu traumatisait les gens ici ?

Yvense : Adelys tu veux dire que Audrey ta vendue le suprême ? C’est pas vrai elle n’aurait jamais fait ça.

Stéph : Je lui parle il m’ignore. Yvense tu est viré on ne m’ignore pas je suis la vrai Beyonce.

Adelys : Tonton calme toi. Yvense Audrey ne m’a pas vendue le suprême je lui ai arracher.

L’hôtesse de l’air qui était accrocher au bras d’Yvense celle qui sortait les bébés et les chouchou le lâche.

Hôtesse : Dieu merci je n’aurai pas supporter ton visage encore plus d’une semaine Yvense nous deux c’est finit. Moi Juliette je ne te ressemble plus.

Yvense : Juliette je t’aime. Je suis ton Roméo

Hôtesse : Un Roméo au chômage ne m’intéresse pas j’ai une famille a nourrir. Adieu j’ai un vol qui m’attend

L’hôtesse se tourne vers moi et me dit sans détour

Hôtesse : Patronne bon arriver parler avec Pauline des comme lui il y en a plein ici. Les jolies filles comme moi sont obliger de sourire a des garçons comme lui

Stéph : Sacrilège! Tu veux dire qu’une belle fille comme toi sortait avec cet invertébré ?

Hôtesse : Tonton on va faire quoi nos parents son née pauvre. Et moi je ne me vois pas dans la misère je suis trop paresseuse pour vivre une vie de pauvre

Stéph : Enfin une enfant qui réfléchie. Va prendre ton avion mon enfant que Dieu t’accompagne

Hôtesse : Amen tonton.

Yvense : Mais Juliette

Hôtesse : vas là bas vilain.

Elle s’en va. Yvense essaie de rattraper le coup.

Yvense : Adelys je ne savais pas que c’était toi qui allait remplacer Audrey je serai venue t’accueillir

Stéph : Tu est encore ici ?

Stéphane lui demande de passer le lendemain pour discuter de son futur au suprême. Après son départ je vois Pauline débarquer avec quelques visage du passer des hôtesses des policiers qui ont été rétrograder par Audrey et son acolyte. Tonton Stéphane va dans le bureau pour faire le point sur l’état du suprême et moi je reste parler avec mes anciens collègues. On était comme a nos débuts. Une semaine plus tard le suprême était redevenue normale a la seul différence qu’il était plus grand. Audrey et son frère avait racheter trois autres espaces de l’aéroport. Moi qui m’attendait à moins de boulot je me retrouve devant un gigantesque business.

On peut dire ce qu’on voulait d’Audrey et son frère mais en matière de travail ils étaient irréprochable. En allant chercher les enfants a l’école je suis invitée dans le bureau de la directrice. Moi qui croyais que Zoé avait encore mordue quelqu’un puisque c’était son nouveau passe temps mordre ces camarades je m’attendais au pire. Si je n’avais pas encore mon enfant j’étais bien plongée dans l’éducation de trois enfants et Dieu savais que ni David, ni Bénédicte et Zoé n’était née de la dernière pluie, je ne pouvais pas savoir la dose de bêtises qu’un petit enfant était capable de fabriquer. La directrice me rassure et me fait comprendre qu’il y avait une fête pour les enfants plus grande mais que Bénédicte ne voulais pas y participer. Étonner je lui demande pourquoi

Adelys : Mon cœur pourquoi tu ne veux pas fêter ?

Bénédicte : Maman a dit non.

Adelys : Et toi ma puce tu veux venir à la fête ?

Bénédicte : Oui Tati

La SaGa des Kouamé Tome 2 Le Match de mon cœur Adelys Tome 2 De NiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant