Épisode 15

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Bada lui ouvre la portière. Lui et son collègue seront son chauffeur durant toutes la durée de ce sommet. A la fin ce dernier vient me voir avec son collègue et me donne 200 milles

Adelys : C’est pourquoi ?

Bada : Pour te dire merci on a été trop bien payer. Merci merci

Adelys : Gardez votre argent vous n’êtes pas obliger de me donner quoi que ce soit en plus j’ai un boulot pour vous deux a la présidence j’ai appris que le fils aîné du président cherche un chauffeur je vous est proposé tout les 2 prenez votre laisser passer ne le perdez jamais sinon c’est finit. Vous commencez mardi prochain

Bada : Adelys je vais donner ton nom à mon premier fils

Adelys : Eh Bada je suis une fille

Bada : Il veux il veut pas il aura ton nom. Sérieux tu est la seul qui ne nous a pas mit dans un coup fourré avant de nous aider.

Linto : Merci beaucoup

Adelys : Bon allez-y préparer vous ! Vous avez une semaine chargée qui vous attend.

Tout était bien qui finit bien. Je peu enfin dormir. Ma mère et son Stéphane n’avait plus de main pour compter leur argent. À mon retour je la retrouve elle tonton Stéphane plus la maman de Fūka dans le salon entrain de s’affairer sur les billets violet j’entends tonton Stéphane dire si c’était dans mon avant.

Nia : Tu a été payer et je ne vois pas ton sourire bébé !

Stéph : Pourquoi la filles si ne nous ressemble pas ?

Nia : Je sais pas elle est comme son père elle est née riche tu ne vois pas son aller et son retour.

Stéph : En tout cas nous les Attiêké et café au lait a 3 h du matin c’était pas gratuit.

Adelys : Maman j’ai reçu mon salaire du suprême cela me suffit

Matilde : Tu veux dire qu’il ne t’ont rien donner après toute cette course d’endurance que tu as fait ? Les gens là son trop avare

Adelys : Ne vous en faites pas pour moi. Je suis vivante c’est déjà l’essentiel c’est tout ce qui compte.

Tonton Stéphane viendra me rejoindre quelques heures plus tard pour discuter j’étais assise devant le portail de la maison entrain de prendre de l’air frais. Je ne sais pas pourquoi mais il a toujours su connaître mes humeurs

Stéph : Hina il y a quoi ?

Adelys : Rien tonton je suis juste un peu fatiguée et soulager !

Stéph : Oui mais toi ton visage ne montre pas problème de boulot mais problèmes de garçon alors accouche c’est qui ?

Et je lui dit tout tonton Stéphane me prend dans ces bras et me console.

Stéph : Ma chérie quitte dans ça s’il te plaît ce Yan est flou j’entends son comportement et il ne me plaît pas du tout. Augustin t’a parler ces derniers jours ?

Adelys : Non tonton pourquoi ?

Stéph : Pour rien. Écoute moi si c’est lui que tu veux tu risques de passer à côté de l’essentiel si YOYO apprend que tu est la maîtresse d’un garçon déjà engagé ça va chauffer pour toi

Adelys : Je sais je ne sais plus où j’en suis tonton

Stéph : Adelys va où tu est seul c’est là bas qu’ont te respecte. Moi Stéphane je peu te raconter une vie de maîtresse en long et en large mais tu ne comprendra pas alors mon conseille bébé éloigne toi vite. Tu sais où me trouver si tu a besoin de moi

Adelys : Oui tonton. Merci mon tonton d’amour

Stéph : Adelys tu peux me serrer aussi fort que tu veux je ne te donne pas 5 franc

J’éclate de rire et je le sert dans mes bras il m’avait toujours donner de bon conseil. Je vois mon père rentrer à la maison. Il nous dit à tout les deux après m’avoir fait un bisous

Daniel : Stéphane j’espère que tu ne transforme pas ma fille en agent secret.

Stéph : Daniel tu me connais et sa fait longtemps je me suis pas occupé de toi. Et d’ailleurs tu viens d’où et tu sent la femme comme ça j’espère que tu n’est pas aller nous tromper avec une de tes filles kpitri au mollet dur hein !

Lui et mon père rentre dans la maison en discutant ardemment Stéphane soutenue par ma mère et tante Matilde vont passer mon père a un interrogatoire bien musclé. Je reste devant le portail et je les écoutent je rigole aussi mais au fond mon tonton Stéphane avait raison. Le lendemain matin dimanche j’étais entrain de faire la lessive quand je vois entrées des uniformés chez moi derrière eux le président et sa fille.

Mon père a faillit s’étouffer qu’est ce que son adversaire politique faisait chez lui ? Mais en voyant le regard de ma mère le mitrailler mon père se calme nette. Je les invites à prendre place au salon après avoir discuter avec lui il me tend un chèque que je refuse en premier mais sous insistance de tonton Stéphane j’accepte.

Le président va commettre l’erreur de parler politique avec le papa de Fūka. Erreur Papa tout seul ça va mais avec le papa de Fūka ces 2 hommes était comme des journalistes sportifs une fois le micro en mains il est difficile de le déposer. Mon père, Sylvain et la politique trois sujets qui ne doivent jamais se rencontrer dans une pièce

Adelys : Monsieur ne parler pas politique avec eux pardonner !

Sylvain : Pourquoi pas ? Nous représentons valablement le peuple. N’est ce pas Daniel ? Va laisse nous parler entre nous

Daniel : Exactement valablement. Et il y a plusieurs points à aborder sur sa politique allez fou le camp laisse les adultes parler ramène nous de quoi boire.

Adelys : C’est ce que je craignais.

Ils vont rester là a discuter avec le président avant même que je ne m’en rendent compte les 3 étais assis devant des brochettes entrain de décortiquer une par une la politique de notre pays et de tout les pays voisin. C’était clair si je meurs c’est mon père et Sylvain qui m’ont tuer. Cette scène va se répéter tout les soir chez moi dans mon salon cette fois ci ils son plus nombreux car le papa d’Audrey avait ramener du renfort le papa de Jessica. Faut voir l’opposition et le partit au pouvoir se disputer devant porc grillé et casier de bière.

Avec l’argent que j’ai reçu venant du président plus mes propres économies ma petite maison était finie. C’était pas grand-chose 3 chambre salon, cuisine, douche, terrasse, et garage c’est tout ! Mon père était fière de moi. Et il faut dire que dormir dans un canapé au lieu d’un lit commençait vraiment par me faire mal aux fesses. J’avais laisser ma chambre a tonton Stéphane. En voyant la maison Maman comprends vite que tonton Stéphane m’avait un peu aidez comment elle a su ne me demandez pas cette femme n’est pas très facile à comprendre.

Audrey et moi on était devenue des amies c’était ce genre d’amitié qui plaisait à maman elle a toujours voulu me voir traîner avec des filles de mon âge. Je montrait a Audrey et Jessica mes visions de l’organisation d’une réception parfaite quand Audrey sursaute et me dit

Audrey : Attend je croyais que tu avais appris ça alors que c’est une maladie je suis foutu.

Adelys : Désolée c’est psychologique chez moi je dois tout avoir a l’œil. Tout doit être bien fait comme le ménage tu comprends

Jessica : Audrey concentre toi on a du pain sur la planche !

Sans le savoir ma vie allait bientôt prendre un autre tournant !

La SaGa des Kouamé Tome 2 Le Match de mon cœur Adelys Tome 2 De NiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant