La SaGa des Kouamé Tome 2 Le Match de mon cœur Adelys Tome 2 De Nia

Épisode 99

Fūka était là bloquer comme un piquer en train de fixé mon ventre. C’est ce que je pensais cela ne lui dit rien. Mais alors que Fūka voulais toucher mon ventre l’ascenseur s’ouvre a notre étage et qui en sort ? Lisa et sa fille. Je me rétracte je fait un pas en arrière et je les laisse seul alors que je monte dans l’ascenseur Fūka voulais venir vers moi mais Lisa lui bloque le passage en disant

Lisa : Tu ne va nulle part laisse la partir c’est pas femme qui est devant toi ? Tu est à nous Fūka.

Je ne sais pas quand un sourire m’a échapper l’ascenseur se referme entre nous. Arriver a ma voiture je jette un dernier coup d’œil sur cet immeuble qui avait dans un autres temps héberger mon foyer. Devant ma maison je sent une main m’entourée je me retourne c’était Yan tout content tout fier il m’embrasse sur la bouche et me murmure

Yan : Tu sais que tu ne peux plus m’empêcher de t’embrasser j’ai parler avec ton père et il n’a rien contre nous 2.

Adelys : Je sais mais moi je ne suis pas prête à me mettre dans une autre relation je veux la paix.

Yan : Ton oncle Stéphane a promis de me tuer et de me mettre en pièce détachés si je ne t’épouse pas.

Adelys : Qui t’a envoyé ? Je suis encore mal de ma relation cela va me prendre longtemps avant de pouvoir laisser un autres gars dans ma vie.

Yan : Ne te moques pas de moi beauté.

Adelys : Rentrons j’ai trop froid.

En rentrant dans mon appartement avec Yannick je ne savais pas que Jason était assis dans sa voiture et nous observait. iL sourit un peu et dit

Jason : En gros Yannick tu a besoin d’une blessure plus sérieuse pour te tenir loin de cette fille. Ok !

David venait cherchais son fils a l’école quand brusquement Charlie se mets a courir en criant tonton le petit se jette dans les bras de Fūka. Étonner de le voir le manager était sur ces gardes.

David : Il se passe quoi cette fois ci Fūka ?

Fūka : Du calme je suis venu en paix. On doit parler.

David : Comment tu savais que j’étais ici

Fūka : Noor me l’a dit. Tu a du temps ?

David : Ouais allons y.

Charlie : Tonton on va manger j’ai super faim

David : Comment ça super faim tu n’as pas manger a la cantine ce midi ?

Charlie : Oui mais c’était pas bon il n’y a eu que de la pizza pas de panini où de jus.

David : Si j’avais eu ça a ton âge je serai heureux.

Fūka : Je t’invite tu veux manger quoi Charlie ?

Charlie : Des burger au McDo.

Dans le Mc Donald’s le petit commande tout ce qu’il veut il savait que Fūka allait tout lui acheter. Les grondement de son père sont tombés dans les oreilles d’un sourd. Le petit adorait manger comme son parrain et ne compter pas se laisser faire. Pendant qu’il mange Fūka en profite pour parler avec son père. David était sur ces gardes il n’avait pas digérer la trahison de Fūka.

Fūka : Je sais que tu ne pourras pas me pardonner du jour au lendemain mais je voulais au moins venir m’excuser.

David : Qu’est ce que tu veux cette fois ci Fūka

Fūka : Rien je t’assure j’ai fait et vécu comme on me l’a appris mais tu vois je ne suis plus si heureux.

David : Je doit avouer que découvrir le vrai Fūka m’a déçu. Mais bon tu me connais je ne m’attarde pas. Tu est venue t’excuser ça va.

Fūka : On peu redevenir amis ?

David : Ne va pas trop vite Fūka, je ne peux plus te faire confiance comme avant il va falloir du temps.

Fūka : Je te comprend ! Et toi tu fait quoi maintenant ?

David : Gérer mes clients comme d’habitude, essayer  d’être un bon père pour ce garçon qui va manger les cheveux de ma tête si je ne fais pas attention.

Ils éclate de rire un problème de régler pour Fūka. Le jour du mariage de Kenji enfin arriver nous tous nous nous retrouvons devant l’église. Ma grossesse qui n’avait pas montrer de signe désagréable avait commencer à montrer ces effets secondaires. C’est tête poser sur les épaules de Yan que je vais suivre la messe du mariage. Cet image ne plaît pas a Fūka. Après la messe devant l’église quand il voulait partir Kenji prend son courage à 2 mains et l’aborde. Cela fait plus de 7 ans qu’ils ne c’était pas adresser la parole.

Kenji : Fūka merci d’être venue

Fūka : De rien tu m’a invité alors je viens.

Kenji : Après ce qui c’était passer ce n’était pas

Fūka : Tu parle trop frère va profiter de ton mariage ont se parlera plus tard.

Kenji : Tu ne viens pas à la réception ?

Fuka : Non désolé je peu pas supporter de voir Adel et Yan je suis pas aussi calme. Je risque de tuer ton frère je préfère rentrer.

Kenji : Tu va décrocher ton téléphone si je t’appelle cette fois-ci ?

Fūka : C’est quoi ton problème tu est devenue une fille pour me demander ça ? Appelle seulement.

Kenji sourit et regarde son amis d’enfance partir enfin il avait retrouver son frère. Je vais vers lui et demande

Adelys : Yan m’a dit que tu sais qu’il a essayer de voler ta femme et tu te réconcilie avec lui ?

Kenji : Fūka n’a pas fait ça. C’est moi qui lui ai dit de la draguer je voulais savoir si elle était sérieuse.

Adelys : Pourquoi tu n’a rien dit à tes parents ?

Kenji : Manque de courage.

Adelys : Je vois mais Matilde et lui

Kenji : Quand Matilde a entendu mon plan elle a essayer de lui mettre des choses dans la tête mais Fūka m’a tout raconter.

Adelys : Vraiment ?

Kenji : Oui je connais Fūka mieux que quiconque. Tu sais Fūka n’est pas aussi mauvais il a juste eu le malheur d’avoir des parents louche.

Je regarde Kenji et me souviens que plus jeune il n’y avait que Kenji qui savait gérer les humeurs de Fūka et vice versa. La joie de Kenji pouvais enfin se lire sur son visage. Yan viens me rejoindre il pose la main sur mon ventre et me dit

Yan : Allez vient je te ramène à la maison tu ne dois pas rester debout trop longtemps.

Adelys : Pourquoi tu t’occupe de moi comme ça tu va finir par te crée des problèmes avec la presse.

Yan : Je m’en fou. Regarde comment tu a maigri faut pas que tes seins disparaissent aussi. Allons.

Adelys : Je savais que ton inquiétude ne m’était pas destiné. Yan ton affaire de seins a besoin d’une prières !

Yan : Jamais je te l’ai dit c’est tes Lolo qui me garde en vie. Tu doit beaucoup manger s’il te plaît.