Épisode 25

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Mon père ne savais pas encore ce que son nouvel ami avait derrière la tête mais il l’apprendra dans quelques temps. Je sais pas pourquoi mais quand j’ai parler avec maman de sa ressemblance frappante avec la mère d’Audrey elle est devenue calme et glacial la même chose avec tonton Stéphane qui m’a bombarder de questions. Genre comment était sa mère d’où elle venait. La mère d’Audrey n’aimait pas les projecteurs elle était comme les ivoiriens l’appel la première dame invisibles. Tout les déplacements international était accompli par la femme du premier ministre où la mère de Jessica.

Dans mon coin je ne comprends pas pourquoi le fait que Fūka possède une copine me dérange. Je ne sais pas pourquoi mais je n’aime pas cette fille elle est bizarre. Pensant que je suis une vraie épouse pour Fūka elle m’appelle et raccroche ou laisse son parfum, mieux des traces de son rouge à lèvres sur les vêtement de Fūka ce qui m’énerve car c’est moi qui les lavait. Cette fille se crois maligne j’ai affronter plus sauvage qu’elle au lycée alors qu’il n’y avait rien entre Fūka et moi. J’aimerais tellement dire a cette idiote qu’elle se fatigue pour rien mais je veux pas créé de problème à mon meilleur ami. Fūka lui de son côté riait tout le temps quand il voit les messages qu’elle envoyait ces copines m’écrire genre ton mari te trompe blabla un soir il me regarde et me demande

Fūka : Si nous deux c’était du sérieux tu aurais fait quoi Adelys ?

Adelys : Y’a longtemps j’avais arracher ces 32 dents si je l’ai raté il va lui rester une seul dent je te jure.

Fūka : Oulla du calme Rambo tu as manger Chaka Zoulou ?

Adelys : Question poser réponse délivrer

Fūka : Depuis que je suis riche j’ai l’impression que cette fille a perdu la tête. Et pourtant c’est a peine si elle avait mon temps.

Adelys : Tu sais déjà alors pourquoi tu la suit ? Tu pourrais avoir mieux qu’elle tu le sais bien.

Fūka : Avant c’était moi qui lui courait après pour pouvoir me décharger les couilles. Pour 45 min de baise je devais lui courir après pendant 2 semaines. Maintenant c’est son tour je paye pas son loyer pour qu’elle passe son temps au salon de beauté

Adelys : Aïe c’est pourquoi alors ?

Fūka : Pour qu’elle cour Adelys pour quel cour cette go m’a trop fatiguée. Moi Fūka le joli garçon de toute les belles fille? Elle doit courir Adel je t’assure elle va trop courir.

Adelys : Tu est peut être son premier ? Peut être c’est pour cela qu’elle s’accroche comme un pou chinois.

Fūka : Où ça ? Le premier soir je l’ai eu. Fallait la voir s’agiter. Je l’ai rencontrer deux mois avant ton arrivée au début elle jouait à la belle mais la elle est accrochée comme un cantique.

Adelys : Fūka tu est trop mauvais tu ne veux pas arrêter tes conneries c’est a cause de se comportement j’ai faillit mourir au lycée. Maintenant c’est ici tu veux me mettre dans Draps.

Fūka : Tu sais des fois le lycée me manque on était bien là bas rien de compliquer on vivait notre vie on avait notre univers.

iL dépose sa tête sur mes cuisses et s’endort j’adorais le regarder dormir on dirait un garçon innocent. C’était calme Fūka et moi on était tranquille on ne savais pas ce que le destin nous réservais une fois de plus. Le jour du départ de Yan, Vicky et Zack pour les états unis a l’aéroport leur fans les prends en otage pour des tours photo par ici et là. Fūka et moi on était parti raccompagner mes beaux parents qui retournais au pays. Un photographe nous remarque Fūka ne voulais pas voir mes photos dans la presse il me serre doucement contre lui ainsi il n’avait pas de chance de prendre mon visage en photo.

Yannick l’avais remarquer. Après des accolades et un au revoir a ces parents qui venait de monter dans l’avion mon mari et moi nous reprenons la route pour la maison. Quand Fūka et moi nous arrivons à leur niveau j’avais toujours mon visage sur le torse de mon mari avec sa main qui protègent mes yeux contre les flash des appareils photo un fan de Vicky va bousculer le bras de Fūka sans le faire exprès faisant tomber sa main qui laisse apparaître pendant un cour instant mon visage. Comme un silence qui s’installe dans la tête de Yan il était sur de ne pas avoir bien vue.

Fūka et moi n’avons pas compris que Yannick m’avait aperçu ont se dirigent vers la sortie quand brusquement une main tire le bras de Fūka le retournant dans le sens inverse et le voilà en face de nous. Sa première réaction enchante tout les paparazzis. Yan donne un coup de poing a Fūka qui lui rend immédiatement son coup c’est Zack qui va s’interposer entre les 2 garçons.

Yannick se saisit de moi et me tire loin de Fūka en disant

Yan : Tu te moque de moi ? C’est lui ton mari ? Pourquoi tu m’a fait ça pourquoi ?

Adelys : Lâche moi les gens nous regardent reste loin de moi

Yan : Je m’en fou de qui regarde vient avec moi. On va parler

Je le pousse, je vais rejoindre Fūka en m’excusant auprès de lui pour le coups qu’il a reçu a cause de moi. Ont rentrent à la maison bien sûr David avait appris la nouvelle de la bagarre entre son ami et Yan. Il va faire ces excuses a la direction de l’aéroport au nom de mon mari pour éviter une plainte. Pour Fūka c’était la goûte d’eau de trop dans son verre. À la maison il rentre dans une colère noire je ne l’avais jamais vu comme ça il était comme fou il cassait tout. Voilà qu’il prend les clés de sa voiture et disparaît c’est au beau milieu de la nuit qu’il revient complètement ivre avec David. Après le départ de David je vais lui chercher un verre d’eau à peine dans la chambre qu’il me tire et me jette sur le lit en me demandant

Fūka : Qu’est ce qu’il te voulais ?

Adelys : Le blabla habituel

Fūka : Je ne supporte plus que tu pense à lui. Tu est ma femme pas sa femme même si c’est lui le premier je serai le dernier.

Adelys : Le premier ?

Fūka : Je sais que tu a coucher avec lui mais tu est ma femme maintenant le seul qui a se droit c’est moi.

Adelys : Fūka de quoi tu parle je n’ai jamais coucher avec Yan d’où tu sors une ânerie pareil ?

Fūka se plaque dos contre mûr me regardant comme si j’avais créé une coupe du monde pour lui il se dirige vers moi pose sa tête sur mon bas ventre et me serre très fort contre lui. Il s’endort après quelques secondes. Dans ma tête c’était la pagaille total qu’est ce qu’il lui prend. Fūka a trop bu où quoi il raconte quoi ? Le lendemain matin a mon réveil il était déjà parti pour son entraînement. Son comportement de la nuit passer ne me quitte plus l’esprit. Je parle avec Noor de ce qui c’était passer cette dernière éclate de rire

Noor : Tu ne comprend pas quoi ? Il est jaloux c’est tout !

Adelys : Jaloux comment ton mari aussi est comme ça après avoir bu un verre de trop ? Parce-que moi je suis dépasser !

Noor : Ton mari est jaloux si c’était David qui avait du voir une scène pareille il y aurait eu mort d’homme hier. Il est peut être blanc mais faut pas remuer son cocotier.

La SaGa des Kouamé Tome 2 Le Match de mon cœur Adelys Tome 2 De NiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant