Episode 128

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Le soir a la maison je réfléchis et je me rend compte que cette Aurélie représente 90% de nos malheur. Je faisait la cuisine plongée dans les pensées une petite voix m’appelle je vais au salon et je vois la petite Zoé, Bénédicte et Fūka debout au milieu du salon avec un gâteau en main sur lequel il y avait écrit bonne fête des mères. J’en avais les larmes aux yeux. Nous allons passer a table sans jamais savoir que bientôt toute notre vie allait basculer. Voyant que je n’étais pas aussi mauvaise que sa mère lui avait raconter Bénédicte commencera petit a petit a m’écouter ce qui étonne même Fūka. Arriver dans mon huitième mois de grossesse maman et Papa voulais que j’aille accoucher à Stockholm.

Je n’y voyait pas d’inconvénients. Un après midi alors que je revenais du super Marché avec Bénédicte je voulais garer ma voiture quand tout d’un coup des coups de feu tombe sur mes garde de corps. Je sors de la voiture je prends Bénédicte j’appelle Fūka mais un coup violent m’est porter à la tête, quand il entend le coup de feu il prévient mes parents mais a leur arrivée pas de trace de moi et Bénédicte. La police était déjà sur place et ma mère était a deux doigts de faire un malheur. C’est le soir vers 23 heures que je retrouve mes esprits quand j’ouvre les yeux j’étais enfermer dans une pièce avec Bénédicte que je serrai très fort comme si ma vie en dépendait. La petite fille me sourit en me voyant ouvrir les yeux. J’étais blesser a la tête. Désorienté je ne savais pas où donner du regard.

Bénédicte : Maman Adelys les méchants monsieur son devant la porte.

Adelys : Il t’ont fait du mal ma chérie ?

Bénédicte : Non quand ils sont venue tu ne m’a pas lâcher. Un monsieur voulait me taper parce que je ne voulais pas te lâcher mais l’autre lui a dit non

Adelys : Ok d’accord dit moi ma chérie tu a ton téléphone avec toi ?

Bénédicte : Oui il est dans mon sac mais il est éteint la batterie est finie.

Je prend le téléphone, il était visiblement en bonne état. Je voulais l’allumer mais je ne voulais pas prendre de risques. A un moment donner j’entends une voix qui m’était familier c’était la voix de cette femme la mère de Maurice cette Aurélie. Elle ouvre la porte et viens vers moi

Aurélie : Bon petite je vois que tu est réveiller tu a 2 alternatives. Tu va signer ces documents pour nous rendre nos biens où cette pièce sera ta nouvelle résidence pour un long moment.

Adelys : Cela n’arrivera pas Aurélie je ne signerai rien

Aurélie : Pense a cet enfant dans ton ventre. Tu a déjà perdu un enfant tu veux perdre celui là aussi ?

Adelys : Aurélie j’ai préféré vous prendre vos bien que de tuer tes enfants qui ont assassiner mon bébé

Aurélie : Nous sommes en guerre tu t’attendais à ce que je te soit reconnaissante d’avoir laisser mes enfants en vie non petite. Signe et tout rentrera dans l’ordre sinon tu Moura avec tes enfants ici.

Adelys : Jamais de la vie

Aurélie : Comme tu veux

Si toute les histoires que tonton m’avait raconter sur cette femme était vrai si je signe ces papiers elle nous tuera Bénédicte et moi. Après son départ j’essaie de jeter un coup d’œil dehors mais il faisait tellement noir qu’on ne pouvait pas voir les étoiles. Fūka et David était chez Maurice ils ont fouiller la maison de font en comble mais rien. Maurice était confortablement assis en train de regarder la télé pendant que mon mari tournais en boucle. Il avait laisser Fūka et la police fouiller sa maison. Maurice avait compris que seul sa mère pouvais se cacher derrière cet enlèvement.

Fūka : J’espère pour toi que ma femme et mes enfants vont bien sinon je te jure que tu ne peu pas te cacher de moi.

David : Que tu peux tomber aussi bas une femme enceinte et un enfant ?

Devant la police Maurice joue les victimes

Maurice : Écoutez messieurs je vous ai laisser fouillé ma maison pour vous montrer que je n’avais rien a avoir dans cette histoire. Je vous prie de quitter ma maison j’ai été assez coopérative.

La police ne pouvant pas prouver le contraire s’excuse et demande a Fūka de quitter la maison. En partant David regarde Noor et lui dit

David : C’est ce genre d’homme que tu veux comme père pour notre fils. Tu est tomber trop bas Noor.

Après leur départ Noor se tourne vers Maurice et lui dit.

Noor : Si j’apprends que tu est derrière tout ça je vais vraiment me fâcher avec toi Momo trop c’est trop

Maurice : Fâche toi. Va me faire a manger s’il te plaît

Noor le laisse au salon Maurice appel Audrey et lui dit d’entamer la deuxième partie de leur plan. Sa petite sœur se rendra dans le bureau d’Augustin pour lui parler mais se dernier n’était pas là elle se rend alors chez nous c’est devant mon père que cette fille va déposer un document de garde définitive d’enfant à mon frère.

Audrey : Si tu veux revoir ta sœur vivante toi comme se David vous allez signer les deux documents si dessous. Vous allez nous rendre nos enfants.

Cédric : Tu te souviens a New York je t’avais déjà dit une chose si toi et ton frère vous essayer de faire le malin cela finira très mal entre nous

Audrey : Cédric vous n’êtes pas en position de force vous avez deux jours pour signer ces documents.

Cédric : Rentre chez toi Audrey personne ne signe

Augustin se lève et lui dit

August : A un certain moment de ma vie je me suis dit que tu pourrais changer devenir une mère mais là

Nia : Audrey va dire a ta mère qu’il est temps qu’elle et moi on discute sérieusement. Sors d’ici.

La SaGa des Kouamé Tome 2 Le Match de mon cœur Adelys Tome 2 De NiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant