Episode 127

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Encore cette Lisa. On pouvait voir que la petite voulais aller à cette fête mais je ne dit rien loin de moi l’envie de me mêler des décisions de Lisa en ce qui concerne sa fille. Je lui promet de parler avec sa maman et nous rentrons à la maison. De retour Fūka voit bien que je n’étais pas contente, il me bouscule un peu et je me fâche.

Adelys : Fūka dit moi c’est nous deux qui gérons la petite où c’est toujours toi et Lisa ?

Fūka : C’est nous deux pourquoi il c’est passer quoi ?

Adelys : iL y a une fête a l’école de la petite et Lisa ne veux pas qu’elle y aille. Pourtant j’avais déjà signer

Fūka : Tu est charger de son éducation pas Lisa arrête de prendre des gants.

Adelys : Mais Fūka Lisa est sa mère

Fūka : Je suis son père. Adelys je sais que tu ne veux et ne fera jamais de mal à un enfant. Fait ce qui te semble convenable.

Quelques jours plus tard tonton Stéphane et moi préparons le sac des enfants pour la fête Charlie ne tenais plus sur place. Tout le monde était assis au salon David tourne la tête vers lui et dit

David : Ce garçon est très suspect

Fūka : Ça sent une fille derrière, Charlie a un secret

David fait asseoir son fils et le questionne

David : Dit moi Charlie pourquoi tu est aussi presser

Charlie : Parce que Ludivine a dit de ne pas être en retard. Et je ne veux pas être en retard papa.

Fūka : Sacrilège ! Mon fils écoute moi un garçon ne doit pas toujours faire ce que une fille veut

David : C’est très dangereux. Un garçon doit être près mais pas presser sinon elle va te faire la misère.

Fūka : Un vrai garçon est fort il ne se laisse surtout pas impressionner par une fille

Charlie : Papa Ludivine ne joue pas elle risque de ne plus faire mes devoirs avec moi.

Fūka : David je ne comprends plus rien

David : Attend Charlie explique moi qui est Ludivine

Charlie : C’est ma copine. Elle est venue pendant la récréation et m’a dit a partir de maintenant tu est mon chérie. Qu’elle a décider et c’était comme ça.

David : Saint esprits. C’est une prise d’otages

Fūka : Charlie tu a bientôt dix ans et il y a des choses que tu doit savoir un garçon doit taper sur la table

Papa et Augustin surprend la conversation ils s’en mêlent avant de finir son sac Charlie c’était retrouver dans le syndicat des hommes de ma famille. Un groupe de mercenaires constituer de Fūka, David, Cédric, mon père, Augustin, Romain, Jules, Jason, Zack qui était venu me rendre visite avec Nana et Stella. En voyant la scène de loin ma mère comprend qu’ils étaient sur le point de pourrir le petit garçon. Elle va vers eux et un silence total. Maman demande

Nia : Daniel il se passe quoi ici vous disiez quoi ?

Daniel : Écoute épouse nous avons une conversation d’hommes. Charlie est à un âge où il doit apprendre

Nia : Apprendre quoi concrètement Daniel ?

Daniel : Qu’un garçon c’est dur et fort il ne doit pas être facile à conquérir. Regarde nous ont ne se laisse pas faire.

Nia : Charlie vient mon chérie.

Charlie cours rejoindre ma mère qui se tourne vers eux et leurs dit

Nia : Écoutez moi bien je ne vais pas vous laisser pourrir cet enfant. Il est le seul petit garçon de la famille donc méfier vous de moi bande de sauvage.

Maman s’en va avec Charlie. David sourit un peu papa le remarque et lui demande pourquoi il sourit David lui répond qu’il était heureux qu’ont les considèrent comme membre de notre famille

Daniel : Fūka dit a ton amis de se taire il m’énerve l’important c’est de sortir le petit des griffes de Nia

David : Mais pourquoi ?

Augustin : Maman va le ramollir

Jules : Et si Adelys se joint à elle le petit est foutue

Cédric : Je ne parle pas encore de tonton Stéphane

Romain : L’enfant est en danger.

L’association sauvons Charlie était ouvert il vont passer des heures a tourner autour du petit jusqu’à ce que l’heure d’aller a la fête se présente. Mais essayer de sortir un enfant des bras de ma mère c’est comme tenter de voler la nourriture d’un guépard tu risque ta vie. Pendant la fête je regarde les enfants jouer et je pense a mon fils. Stéphane me dit tout doucement

Stéph : Ne fait pas ça Hina tu va devenir folle, pense à celui qui pousse dans ton ventre il est le plus important. Tu verras qu’il sera ta nouvelle raison de vivre.

Adelys : Est-ce que cette douleur va quitter mon cœur ça fait mal. J’y pense tout les jours tonton.

Stéph : Jamais. Tu sais c’est comme pour Cédric. Malgré toute ces années sa mort me fait mal. C’est pour ça que a chaque fois que je vois Aurélie je veux lui arracher les ongles.

Adelys : Raison pour laquelle toi et maman vous ne l’avez jamais accepter comme votre sœur ?

Stéph : Oui. Tu sais ta mère aurait tout pardonner a l’époque elle était vraiment mouton elle pardonnait tout. Mais la mort de Cédric a été de trop pour nous

Adelys : Je ne la comprenais pas avant mais là

Stéph : Tu sais que ton père disparaît tout les lundi

Adelys : Oui je le sais il ne dit jamais où il va

Stéph : Et bien il va au cimetière et cela depuis plus de 30 ans. Tout les lundi il va sur la tombe de Cédric

Adelys : Je ne le savais pas.

Stéph : Même ta mère ne le sais pas. Il ne visite pas la tombe des autres membres de sa famille autant que la tombe de bébé Cédric. Cet enfant était notre tout.

La SaGa des Kouamé Tome 2 Le Match de mon cœur Adelys Tome 2 De NiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant