Épisode 81

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Sylvain : Ma fille je sais que tu est fâcher je peux te comprendre s’il te plaît essaie de pardonner

Matilde sursaute en criant

Matilde : Pardonner quoi mon fils n’allait pas du tout continuer à semer sur un terrain vide.

Sylvain : Matilde ferme là tu m’entends ?

Matilde : Je ne la ferme pas. Djah c’était pour ça que tes parents ont acceptés que tu épouse mon fils. Tu ne pouvais pas lui donner d’enfants.

Fūka : Maman arrête ça suffit.

Matilde : Arrêter quoi ? Je dit seulement la vérité qu’est ce qu’il a fait de mal ? IL a juste un enfant. Si cette fille lui avait donner un enfant on en serait pas ici. Bientôt 8 ans de mariage et rien.

Adelys : Matilde ne m’oblige pas a te manquer de respect. C’est un problème entre mon mari et moi.

Matilde : C’est mon fils alors ça me regarde.

Adelys : Oui c’est vraiment ton fils.

Matilde : Tu veux dire quoi par la ?

Adelys : Je veux dire qu’il est comme toi un parasite il rentre dans la vie des gens les utilises profite d’eux quand vous avez ce que vous voulez vous montrer votre vrai visage.

Matilde : Parasite Fūka tu entend comment elle me traite. Donc parce que tes parents nous ont aider ont doit se sacrifier pour toi ?

Adelys : Bien sûr que non mais dit moi ton fils a besoin d’un enfant où tu cherchais juste une raison pour te débarrasser de moi après que vous ayez eu ce que vous êtes venues chercher ?

Fūka : Adelys je peux comprendre que tu soit fâcher

Adelys : Non tu ne peu pas me comprendre mais tu comprendra que je ne vais plus me mêler de ta vie.

Matilde : Et alors mon fils est vraiment capable de se débrouiller tout seul sans toi. Tu peu partir.

Adelys : Ne t’inquiètes pas tu n’a pas besoin de me le dire tu vois je sais que c’est ce que tu veux que je divorce de lui mais je ne vais pas te faire se plaisir.

Matilde : Comment ça tu ne va pas divorcer ?

Adelys : Matilde c’est parce que personne ne t’a jamais puni pour cette ingratitude que tu a l’habitude de commettre dans les maisons des gens que tu continues.

Matilde : Et c’est toi qui va me punir fillette ?

Adelys : oh oui Matilde tu a jouer dans la mauvaise maison et tu a provoquer la mauvaise personne.

Matilde : Qu’est ce que toi tu peux me faire

Adelys : Assied toi et admire moi a l’œuvre. Foutaise

Fūka : Bébé s’il te plaît, pardonne moi

Adelys : Tait toi ne m’appelle pas bébé ingrat de chez ingrats.

Je les laisse hors de la maison j’essaie de reprendre mes esprits comment a-t-il pû me trahir de cette manière. Ce garçon me surprend de jour en jour. Arrivés en bas de l’immeuble je tombe sur Yan qui m’attendait dans sa voiture. Il me fait signe de monter. Je n’hésiterai pas une seconde. Je ne vois pas pourquoi je continuerai a éviter Yan a cause de ce garçon qui n’a pas eu froid aux yeux. Enfin j’entends la version de Yannick sur ce qui c’était passer a l’époque.

Yan : Tu sais pourquoi j’ai fait mettre Fūka a la porte à l’époque ?

Adelys : Non et a vrai dire je m’en fou maintenant

Yan : Non tu t’est fâcher avec moi j’avais compris que c’était par rapport à mon mariage c’est Zack qui m’a dit la vraie raison. Que c’était parce que j’avais mit Fūka a la porte.

Adelys : Je te dit que je m’en fou.

Yan : Quand Fūka est arriver ici tout allait bien mais après quelques jours il a changer. IL sortait avec Kenji et leurs histoires de filles n’en finissait pas. Bref des trucs de garçon, ensuite il a commencer a ce mêler de ma vie ok il était ton meilleur pote.

Adelys : Tu parles trop Yannick.

Yan : Un soir en rentrant je les surpris au téléphone avec sa mère il comptait piquer la fiancée actuelle de Kenji je l’ai dit mais Kenji ne m’a pas cru disant que j’étais jaloux mais mes parents m’ont cru et on foutues Fūka a la porte d’une mauvaise façon je le reconnais. Tu connais ma mère elle ne blague pas avec l’argent la fiancée de Kenji était la petite fille du premier ministre du Gabon. J’avais déjà découvert qu’il était amoureux de toi et cela m’avait enragé. Quand il est partis jouer la victime devant Augustin brisant ainsi mon amitié avec ton frère j’ai voulu lui casser les jambes je l’avoue.

Adelys : Yan ce n’est plus mon problème.

La SaGa des Kouamé Tome 2 Le Match de mon cœur Adelys Tome 2 De NiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant