Épisode 3

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Je connaissais Nana elle était dans ma classe elle aussi si j’ai bien compris elle est la sœur de Yannick la jumelle de Kenji. Elle était assise tout juste derrière moi. Sur le chemin du retour je remercie Nana de s’être imposer dans la discussion

Adelys : Merci Nana j’ai faillit lui crier dessus

Nana : J’ai bien vue ça tes yeux on changer de couleur j’ai cru que tu allais la mordre. Ne te laisse pas intimider par cette fille

Adelys : Laisse tomber le truc c’est sa mère

Nana : Tu a eu peur qu’elle isole ta mère dans le quartier c’est ça ?

Adelys : Oui tu sais ma mère n’a pas beaucoup d’amies c’est la première fois que je la vois aussi heureuse. J’ai pas voulu … !#

Nana : Tu oublie que ma mère aussi est dans le club ? La mère de Vicky ne peu pas se permettre d’avoir ma mère comme ennemis. Alors ne t’en fais pas. Tu viens à l’usine ?

Adelys : D’accord. Oui j’irai prendre une douche avant d’y aller !

Nana : Ok d’accord je passerai chez toi dans 2 heures de temps.

Adelys : Ça me va. Attend Nana ! Je ne t’ai jamais vu dans notre quartier c’est bizarre comment ça se fait ?

Nana : C’est parce que je travaille après les cours ça me fait des vacances de Kenji quand il est a la maison il me fatigue..

Adelys : Je vois un frère en gros.

Nana : Oui et toi tu n’a pas de frère ?

Adelys : Oui mais ils sont assez calme sauf ma petite sœur.

Nana : Tu a tellement de chance. Yannick et Kenji son de vrai problème il ne font que des bêtises a longueur de journée.

On reste à discuter et a rire sur le chemin de la maison comme de vrais amies. Contrairement à Vicky Nana me plaisait. Je me sentais libre avec elle, on était très différentes et ont s’entendait trop bien.

Très vite nous allons devenir de super amies. 3 mois vont encore s’écrouler mon amitié avec Nana était plus solide comme jamais. Elle passait des week-end chez moi et moi chez elle. Loin de toute obligation je vivais bien mon amitiés avec elle, Kenji et Fūka. Jusqu’au matin où un grave malheur va bouleverser toute ma vie. Alors que nous rentrons de l’école un vent violent va tous nous surprendre sur la route.

Ce vent n’était pas normal les nuages avait former une masse noir, en moins de 5 minutes le soleil avait disparu les oiseaux était très agitées dans le ciel. Nous restons au milieu de la route choquer c’était la première fois qu’une chose pareille se produisait voilà Fūka qui sursaute et cri

Fūka : Merde une explosion c’est une attaque terroriste

Fūka sonne comme un fou a la porte d’un immeuble qui se trouvait pas loin de nous. Nous rentrons suivis par certains de nos camarades de classes qui était eux aussi derrière nous. Nous montons très vite sur le toit. Arrivée en haut mon téléphone sonne c’était ma mère qui criait comme une hystérique trouve toi très vite un abris et ne bouge pas de la. Je la rassure quand je lève la tête pour regarder autour de moi je vois Nana qui s’effondre en pleure. Un coup d’œil sur l’horizon va me glacer le sang une explosion avait raser tout sur son passage maison, voiture tout avait disparu.

Nana : oh mon Dieu

Adelys : Ma mère m’a dit qu’elle était avec nos mères dans un centre commercial.

Fūka essayait de joindre comme un fou ces parents comme tout mes autres camarades d’ailleurs. Quand les terroristes arrivent a notre niveau ont se baisses pour ne pas se prendre une balle perdue. Après leurs passages j’appelle mon père mais il ne répondra pas. Tout juste après avoir raccrocher une autre explosion viens ramener un silence glaciale dans tout Abidjan c’était la fabrique non loin de la grande route.

Mon téléphone me glisse des mains. Nous tous élèves, femme et enfant nous tous qui nous trouvons sur le toit nous comprenons qu’il se pourrait que nous ayons perdue un membre de notre famille. Cette fabrique engageait plus de 3 milles personnes. Certains de ces employées venait de mon quartier, des autres quartier et de tout le secteur de la capitale. Fūka attrape sa tête son père Sylvain était le propriétaire de la fabrique plus un seul mot. Après le calme reviens certains habitants de l’immeuble nous apporte de l’eau.

Ont pouvait utiliser leur toilettes et téléphoner. Nous avons passer 2 heures sur ce toit et chaque fois c’était la même chose. Tout le monde avait les yeux braquer sur la fabrique qui brûlait toujours laissant échapper une fumée noire sur la capitale. Quand nos pieds touche enfin le sol tout le monde avait la même destination le centre d’aide.

Ces images de ruine n’intéresse personne nous étions habituer depuis l’arriver du nouveau président cela faisait le treizième attentats en 4 ans ce qui comptait c’était tout nos proches. 2 longues heures à marcher pour nous retrouver dans le centre d’accueil bonder c’est là que la catastrophe se faisait vraiment voir. Riche où pauvre nous étions presque tous dans le même bateau. Qui a survécu ? C’était la réponse qui intéressent les gens.

Une main viendras se poser sur les épaules de Fūka c’était sa mère qui faisait un signe de oui de la tête en lui montrant son père dans une direction. Il faut dire que le père de Fūka n’était pas un homme sensible leur relation n’était pas au beau fixe mais quand son fils le serre dans ces bras il met sa main sur sa tête le regarde et expire on pouvait clairement voir son soulagement Fūka était son fils unique. Vicky était collée à sa mère comme un sparadrap.

Je tourne ma tête de gauche à droite toujours abasourdi par tout ce monde les voilà enfin mes parents je n’avais jamais été aussi heureuse de revoir ma maman. Je me serre très fort à mon père je tremblait comme une feuille. Mon père regarde ma mère qui était à 2 doigts de mourir je ne comprends pas pourquoi j’étais devant eux alors pourquoi toutes cette peur dans ces yeux.

Kenji et Nana eux aussi était heureuse beaucoup avait réussi à se mettre en sécurité. Tout le monde n’a pas eu cette chance. Un mois après des deuils nationales sont organiser un peu partout. Le plus tragique c’était les passants beaucoup ont été surpris. Mon père a décidé qu’ont retourne à Yamoussoukro il envoie Augustin, Herya en plus de Cédric chez tonton Stéphane et son mari Marc.

Après cet incident la maison que nous avions avait été vendu notre quartier était devenue désert.

La SaGa des Kouamé Tome 2 Le Match de mon cœur Adelys Tome 2 De NiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant