Épisode 45

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Je voulais aller leur crier dessus mais une main viens couvrir ma bouche pour me sortir discrètement de notre appartement. Une fois dans l’ascenseur je vois tonton Vincent l’homme de main de papa aux états unis. Comment est il rentrer dans l’appartement et pourtant j’étais devant la porte.

Adelys : Tonton Vincent ?

Vincent : Tonton Romain m’a appeler et il m’avait demander de garder un œil sur toi et ta maman. Tu voulais faire quoi dans cette situation ?

Adelys : Pourquoi elle fait ça tonton je ne lui ai rien fait de mal.

Vincent : Ma princesse les gens comme ça existe allez viens ont retourne a la clinique.

Nous allons rejoindre ma mère et ma grand-mère a la clinique et vue mon visage mamie avait vue que j’étais à bout. Je tourne les yeux vers le haut pour ne pas quel voie ma tristesse.

Brigitte : Tu n’a jamais pu m’empêcher de voir quand tu est triste Hinata

Et me voilà coller dans les bras de mamie je la serre comme un boa ces derniers jours ressortent sous forme de soupire. L’après midi je vois Vincent discuter avec maman qui secoue la tête et met sa main sur la tête. Maman venait aussi d’apprendre que son amie Matilde n’était pas son amie. De retour à la maison jouant encore une fois celle qui ne savais rien, souriante, aimable comme l’avait exiger maman de moi. Coucher dans les bras de mon mari je ne veut pas croire que ces gens, cette famille, cet homme que j’aime à la folie c’était moquer de moi et de toute ma famille.

Mamie m’avait dit de ne pas faire attention à Matilde que si Fūka m’aimais cela était suffisant mais comment oublier toute ces phrases que j’avais entendue sortir de sa bouche ? La blessure d’une lame peu cicatrisées mais les blessures causer par les mots demeurent profond! Les jours passent je joue la femme parfaite l’épouse aimante obliger de suivre de supporter le sourire et la gentillesse plus qu’hypocrite de ma belle mère. Sans discussion ma mère me laisse faire la piqûre contraceptive de 6 mois sans rien dire a Fūka. Même maman ne voulais pas prendre de risque oncle Stéphane lui avait demander si elle voulait voir sa fille mère célibataire.

L’après midi je me rend à la clinique dans la chambre de mon grand frère qui avait été mit dans un coma artificiel depuis un long mois. Je pose ma tête sur sa poitrine Auguste me prenait souvent dans ces bras pour me calmer. Herya entre dans la pièce !

Herya : Tout ça c’est de ta faute c’est toi qui a ramener cette Audrey dans notre maison c’est son frère qui lui a fait ça.

Ma petite sœur était comme oncle Stéphane direct elle ne tourne pas autour des choses à presque 14 ans Herya n’était pas du tout du genre à se laisser faire. Je me lève tout en me dirigeant vers elle je pose mon sac sur le lit. Je la serre dans mes bras et je lui dit

Adelys : Désolé mon cœur tu a raison c’est de ma faute je suis une mauvaise grande sœur j’aurai du faire attention.

Herya : Tu ne me crie pas dessus ?

Adelys : Non pourquoi tu a raison j’aurai du tenir cette fille loin de moi. Tu est grande maintenant Herya tu a le droit de tout savoir toi aussi vient asseoir.

Je reste là a discuter avec ma sœur et je me rend compte que j’avais vraiment perdu mes petits frères de vue. C’était la première fois que je voyais Herya aussi contente de parler avec moi d’habitude elle n’avait jamais mon temps. Je l’écoute attentivement me raconter sa vie d’adolescente elle me raconte qu’elle avait un petit ami. Dès que cette phrase sort de sa bouche une voix familière affligées va rétorquer

Augustin : Je t’ai dit non les mecs c’est a 18 ans idiote.

Ont se jette toute les 2 sur lui c’est la voix de Cédric qui nous calme

Cédric : Hé les 2 sauvages vous voulez l’achever où quoi il vient de se réveiller maman si tu ne viens pas tes filles vont tuer ton fils aîné ici !

Maman rapplique avec le médecin qui va passer des heures à analyser Augustin. Heureuse de le voir en bonne santé mamie fond en larme. C’est dans un instant calme avec papa, Stéphane et tonton romain au téléphone qu’ Augustin nous raconte ce qui c’était passer le jour là. Des hommes armés lui aurais tirer dessus quand il descendait de sa voiture.

Augustin: Croyant que j’étais mort l’un des hommes a répondu à un appel téléphonique tout ce que j’ai pût comprendre c’était que l’agresseur passait son bonjour à une soit disant certaine madame Aurélie.

Le verre dans la main de maman tombe et se casse elle demande a Augustin

Nia : Qu’est ce que tu a entendu exactement fait un effort mon bébé !

Augustin : IL a dit passe le bonjour à ta mère de ma part et dit à Madame Aurélie de ne pas m’oublier.

La SaGa des Kouamé Tome 2 Le Match de mon cœur Adelys Tome 2 De NiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant