Episode 132

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Poursuivit dans cette rue déserte par ce policier qui avait reçu l’ordre de me tuer sur le champ je n’en pouvais plus j’étais à bout de souffle j’avais mal partout au pied, au ventre, a la tête partout. J’arrive dans un bout de coin et je me colle contre un mur le mur d’une maison je frappe à la porte mais personne ne répond je frappe encore et encore mais personne ne répond. J’entends les pats de cet homme arriver a vive allure dans ma direction diriger par mes crie quand je frappait au portail de cette maison.

Je reprends ma course je remarque une ruelle je le prends et là j’entendais des voitures passer je me dirige vers la route comme par un miracle j’ai failli me faire renverser par un véhicule. Un coup d’œil et ils étaient là Fūka et Cédric. Tout les deux sortent de la voiture Fūka me sert mais mon mari et mon petit frère n’avait pas remarquer que le commissaire avait fait faut bon au véhicules des gardes de papa. Le commissaire qui voit arriver le policier descend de la voiture j’entends Cédric dire

Cédric : Arrêter le monsieur le commissaire

Le commissaire se tourne vers le policier et ce dernier dit

Policier : Désolé patron elle m’a échapper

Le sang de mon frère se glace il se tourne et voit que les garde de corps de papa n’était pas là. Le commissaire sort son arme et le pointe sur nous a la seconde près une voiture s’arrête à notre niveau. Qui descend ? Maurice. Il se dirige vers nous le commissaire sourit un peu et lui dit

Commissaire : Monsieur j’espère que vous n’allez pas oublier votre promesse comme  promis je vous livre les 2 enfants kouamé.

Maurice : Ne vous inquiéter pas. Alors Adelys tu n’a plus rien a me dire ? A Miami tu avais de gros mots

Cédric éclate de rire en disant

Cédric : Donc tu pense que parce que tu a une arme dans les mains tu a le dessus Maurice Zhou

Cédric lui fait un petit signe de la tête et les yeux de Maurice tombe sur l’arme de Cédric qui lui dit

Cédric : Tonton Vincent avait raison de ne jamais sortir sans son arme tu ne sais pas sur qui tu va tomber

Le commissaire fait un petit pas en arrière et dit

Commissaire : Fait attention c’est dangereux dépose ça et tout le monde va rentrer chez lui ok ?

Cédric : Monsieur vous me prenez pour un imbécile ? Maurice ma sœur et moi on va peut être mourir mais tu sera enterrée comme nous.

Maurice : Tu crois que cela me dérange ?

Cédric : Non mais ton père disait toujours si tu doit souffrir de les mains de ton ennemies laisse lui un souvenir qu’il n’oubliera jamais.

Fūka me regarde j’étais à moitié morte dans ces bras il me fait un bisous sur la bouche et me sourit. D’un geste brusque il me laisse tomber au sol et se saisit de la main de Maurice des coups de feu se mettent à pleuvoir autour de moi j’étais tellement faible que je ne comprends rien j’entends d’autres voitures arriver à notre niveau.

Papa et tonton Romain avait vue juste avant de partir ils avaient demander à Cédric d’allumer le GPS de son téléphone quand les gardes de corps ont appeler tonton Romain pour lui dire que le commissaire les avait semer papa se met immédiatement a notre recherche. J’entends la voie de papa est ce que j’étais entrain de rêver où il était là. Les coups de feu s’intensifie je vois une main plein de sang tomber à côté de moi j’étais tellement sonner que je  ne vois pas qui venait de s’écrouler. Je sent juste le parfum d’Augustin je le vois tout flou entrain de me soulever et de me mettre dans sa voiture. Un cri nourri, une odeur douce me sortent tout calmement de mon sommeil quand j’ouvre les yeux je ressens quelque petit mouvement sur ma poitrine un coup d’œil et je vois cette petite tête.

Comme un reflex mes mains irons se poser sur lui. Un soupire et j’entend une voix dire elle est réveillée c’était tonton Stéphane. En voulant bouger un cri m’échappe la douleur était trop forte mon corps était raide j’avais mal partout a part mon cou je ne pouvais rien bouger j’avais l’impression d’avoir été transpercer par un camion.  Un regard et je saisis enfin d’où venait les crie qui m’avait réveiller c’était mon bébé mon petit garçon était coller a moi je ne sais pas quand un rire mélanger a des larmes m’échappe. Il était là coucher sur moi je pouvais sentir son petit battement de cœur. Chaque petit geste chaque respiration comme pour me rassurer je demande

Adelys : Il bouge n’est-ce pas il va bien n’est ce pas ?

Brigitte : Mon ange il va bien tu l’a fait ton fils va bien

La SaGa des Kouamé Tome 2 Le Match de mon cœur Adelys Tome 2 De NiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant