Descendante

Chapitre 7

Merci à toutes les personnes qui lisent mon histoire et à toutes celles qui me laissent des commentaires encourageants <3

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Alors que je marchais pour rentrer chez moi j’eu comme la vague impression que quelqu’un  me suivait. Je me retournai et pendant une fraction de seconde j’eu l’impression de voir une ombre traverser le halo de lumière sous le lampadaire. Un peu paniquée je me dépêchai de rentrer chez moi en essayant de me convaincre que ce n’était rien.

Le lendemain matin alors que les premiers rayons de soleil commençaient à percer les rideaux,  je me réveillai et descendis les escaliers en colimaçons pour rejoindre ma famille dans la salle à manger. Ma mère avait fait des crêpes pour le petit déjeuner et se tenait devant l’embrasure de la porte de la cuisine. Je ne l’avais pas revu depuis notre dispute et je ne savais pas quoi dire. J’étais encore sous le choc de ce qu’elle m’avait annoncé. Après un long silence embarrassé, ma mère me demanda si ma soirée c’était bien passait.

-         Oui ça a était, lui répondis-je, si on met de côté le moment où tu m’as dit que nous étions des sorcières ou des trucs dans le genre.

-         Je sais que ce n’est pas facile à digérer….

-         Pas facile à digérer, l’interromprai-je, tu rigoles j’espère, c’est carrément impossible à croire

-         Calme toi, et puis de toute façon que tu y crois ou non c’est comme ça, c’est la vérité et c’est un fait.

-         Mais je n’y crois pas c’est complétement insensé, m’énervai-je, il ne s’est jamais rien produit de bizarre dans ma vie et du jour au lendemain ma mère m’annonce comme ça une semaine avant mes 18 ans que je suis une sorcière, et puis d’abord si c’est la vérité et je dis bien si parce que je n’y crois toujours pas pourquoi tu ne me l’as pas dit plus tôt, pourquoi tu me balances ça maintenant alors que j’allais commencé à vivre la vie dont j’avais toujours rêvé.

J’avais  dit cela d’une traite, et j’étais au bord des larmes tellement je ne comprenais rien et que j’étais en colère. Ma mère elle gardait son sang-froid et me proposa d’aller m’asseoir avec elle sur le canapé, je choisis de m’asseoir plutôt en face d’elle sur un vieux fauteuil en cuir rouge.

-         Promet moi de m’écouter jusqu’au bout sans te mettre à hurler me demanda-t-elle.

-         D’accords, dis-je, pas convaincu que j’arriverais à tenir cette promesse.

-         Alors voilà si je ne te l’ai pas dit plus tôt c’est parce que c’est le protocole c’est comme cela depuis des siècles, la sorcellerie est soumise à de nombreuse règle et tu vas devoir t’y faire, chaque sorcière appartient à un coven composé de treize autres sorciers et chaque coven et dirigé par une sorcière qui a été élu et tous les 20 ans tous les chefs de coven se retrouve lors d’un congrès sur la sorcellerie pour établir les règles que nous sommes obligé de respecter si nous voulons vivre en paix.

J’étais complétement perdu je ne comprenais rien du tout à ce que ma mère me racontais et ne savait même plus ce que je croyais ou non. Il existait un monde magique savamment régis par de nombreuses règles dont ma famille faisait partie, rien que de pensais à tout ça j’avais mal à la tête. Mais ma curiosité étant plus forte je demandai à ma mère :

-         Mais comment se fait-il qu’on n’est pas de pouvoir ou de truc dans le genre.

-         Sache tout d’abord que personne ne doit savoir que tu es une sorcière, pas même ta sœur.

-         Pourquoi ?, lui répondis-je surprise.

-         Car seul le premier enfant d’une sorcière deviendra à son tour une sorcière, c’est comme ça, nos pouvoir nous ont été donné par la Déesse afin de protéger l’humanité de toute menace magique, car sache que la magie est partout et qu’il existe de nombreuses créatures prêtes à tout pour contrôler toute la magie et exercer un contrôle absolu sur le monde.

Je n’en revenais pas de tout ce que ma mère me cachait depuis tant d’années et je ne savais toujours pas si je devais la croire ou si tout ceci n’était que le fruit de son imagination luxuriante.

-         Je crois que j’en ai assez entendu là tout de suite, avec Elizabeth et Louis  on a décidé de vous laisser une chance de tout nous prouver on s’étaient dit qu’on pourrait tous se retrouver ce soir chez nous.

-         D’accord, me dit ma mère, prends ton petit déjeuner je vais commencer à tous préparer dit leur de venir vers six heures.

-         Ok.

Vers cinq heure j’étais toujours assise devant mon bureau dans ma chambre d’où je n’avais pas bougé de la journée, j’étais complétement abasourdie par tout ce que ma mère m’avait dit ce matin. J’étais partagé entre deux sentiments ambivalents, d’un côté une partie de moi voulait croire en ce que disait ma mère mais de l’autre ma partie rationnelle me disait que tout ceci était impossible.

A six heure précise on sonna à la porte et j’ouvris, c’était Elizabeth et Louis avec leur parents, je les invitai à entrer et ma mère apparue.

-         Bonsoir entrez, vous pouvez poser vos manteaux ici, dit-elle en leur désignant les patères accrochées dans le couloir.

-         Comment ça va Maria ?, dit Martine la mère d’Elizabeth à ma mère.

-         Ça va, répondis ma mère avec un grand sourire, allons dans le salon, nous invita ma mère.

Tout le monde pris place dans notre petit salon, je m’assis sur le canapé entre Louis et Elizabeth. Elle paressait toute excitée, et à mon avis elle était déjà complétement convaincu d’être une sorcière, et à mon avis elle trouvait ça plutôt super cool.

-         Ça va ?, me chuchota Louis.

-         Bof, je n’arrive pas très bien réaliser tout ce qui se passe.

Ma mère se leva et pris la parole.

-         Qu’est-ce que vous voulez que l’on fasse ?, nous demanda-t-elle.

-         Montrer nous un sort, dit Elizabeth avec un immense sourire.

-         Bon on va vous montrer ce que nous pouvons faire et ensuite vous pourrez nous poser toutes vos questions.

Je n’arrivais pas à croire que j’étais dans mon salon avec mes amis et leurs parents qui soit dit en passant étaient des sorciers. Cela était irréel, j’étais dans un rêve ou un cauchemar plutôt. A ce moment, ma mère, le père d’Elizabeth, Mathieu et la mère de Louis se levèrent.

-         Nous avons tous les trois l’air comme élément, expliqua ma mère.

Mais qu’est-ce qu’elle racontait encore, je jetai un coup d’œil à côté de moi et vis Elizabeth qui frappait dans ses mains d’impatience et Louis qui était concentré sur ce qui allait se passait. Nos parents se placèrent de façon à former une sorte de triangle autour de nous et récitèrent des mots que je soupçonnais être du latin, j’avais l’impression d’être dans une secte. Quand soudain apparu au milieu de la pièce une sorte de petite tornade qui souleva le canapé où nous étions assis jusqu’au plafond puis le reposa au sol. J’étais complétement abasourdie et je ne comprenais vraiment plus rien à ce qui se passait c’était trop pour moi je ne pouvais pas en supporter d’avantage, alors j'ai pris mon manteau et je me suis précipitée dehors.

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