The One Who Accidently Takes My Heart

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L'aéroport était calme, pas trop de regard sur nous, mais surtout les gens étaient  encore endormi par l'obscurité qui régnait sur le tarmac malgré que le soleil commençait tout doucement à se montrer. J'aime ces moments d'accalmie. 

Le vol c'est super bien passé, on avait d'immense siège, les repas étaient bons, et les "lits" étaient méga confortables. En descendant de l'avion j'avais les jambes qui tremblaient. Rob me tenait la main et me regardait de temps en temps avec sourire qui me disait que tout allait bien se passer. 

Juste avant de passer la dernière porte je m'arrêta, je ne sais pas ce qu'il se passait mais mes jambes ne voulaient plus avancer. Je ne sais pas si c'était le stress de revoir ma famille ou de leurs présenter Robert en plus Jarris qui lui était parti avant pour assurer qu'il n'y avait pas une foule nous avait dis qu'il allait falloir se dépêcher et qu'il était déjà avec mes parents. On allait devoir se dépêcher pour éviter un maximum un mouvement de foule.

Je regarda Robert et il me fit un mouvement de tête pour dire qu'il était temps. Nous avons avancé et les portes se sont ouvertes. Je serrais la main de Robert, je cherchais mes parents et quand mon regard s'est posé sur les yeux de ma mère j'ai lâché la main de robert et j'ai couru dans ses bras. Et à mon habitude des larmes ont coulées sur mon visage. Après avoir fait un calin à ma mère et à mon père je me tourna vers Robert et lui dis:

- Robert voilà ma mère Laurence, et mon père Pierre.

Il leurs serrait la main et  l'on commença à papoter lorsque Jarris est venu nous dire que l'on devait partir, on voyait des personnes autour de nous qui nous fixaient et la présence du grand gros garde du corps n'aidait pas à nous faire passer inapercu. 

Robert et moi étions montés dans la voiture de mes parents tandis que Jarris lui était dans une voiture derrière nous ainsi que tout nos bagages et mon dieu il y en avait beaucoup ! 

Le trajet se passa super bien, Rob parlait avec mes parents. Même si mon père ne disait presque rien je pense qu'il a fait une bonne première impression. 

En sortant de l'autoroute je revis mes campagnes et ces paysages familiers de mon enfance. Il ne restait que quelques minutes avant de revoir ma maison celle où j'ai grandis.

Quand j'ai ouvert la porte de ma maison il y avait toute ma famille: mon frère, ma soeur et son fiancé. Je fus surprise de les voir ils n'étaient sensé arrivé que le lendemain dans l'après midi.

J'ai serrez dans mes bras ma soeur et elle m'a chuchoté dans l'oreille: "Encore plus beau en vrai ton crush d'enfance"

-Et oh ca va toi lui ais-je répondu en rigolant.

Puis je suis allée taper l'épaule de mon frère car il hait quand je fais ça et il m'a tapée la tête car il sait que je hais ca.

- Ca fait plaisir de te revoir vieux !

-Toi aussi ! me dit-il avec un grand sourire

Je rejoigna Robert qui aidait Jarris  dehors avec les valises.

-Je peux vous aider ? demandais-je 

-Non il n'y en a plus qu'une ne t'inquiète pas, j'arrive dans deux secondes.

-Okay c'est bon je suis là.

J'entras avec Robert derrière moi qui mettait sa main derrière le creux de mon dos pour que je sente sa présence. Il embrassa ma soeur et serra la main à mon frère. Ensuite toute le monde s'assit dans le canapé, Robert était à ma droite et Liam lui était à ma gauche en oblique ce qui lui permettait de me faire ces moqueries dès que mon père ou ma mère disait quelques chose d'idiot. 

A la fin de la soirée je suis montée dans ma chambre d'enfance et d'adolescence, une joie mélancolique s'est emparée de moi et j'ai eu des flashbacks de tous ces moments de joie où mes amies venaient dormir à la maison, où mon frère et moi n'arrêtions pas de se bagarrer, ces moments étaient de pur bonheur et puis soudain une vague de tristesse a pris le dessus de mon cerveau, ces nuits de pleurs où il fallait que je fasse le moindre bruit de peur de réveiller mes parents, les déceptions amoureuses, mon corps que je haïssais, les disputes avec mes amies qui pour elles passaient pour un simple désaccord, malentendu mais qui pour moi me bouffait le moral à 0,...

Robert s'assis sur le lit que je fixait tout en aillant mes images qui défailaient et quand il posa sa tête sur l'oreiller et entra dans mon champ de vision tous ces ondes positives négatives disparurent et il ne resta que lui , moi et cet amour qui envahissait désormais la pièce.

- Oh tiens un poster de moi...

Je pouffas de rire j'avais oublié l'existence de ces posters Twilight...