Éloge du temps qui passe

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L'aube taciturne enfle dans l'azur
Mais c'est pour la millième fois probablement 
Que le crépuscule joue de son balafon, 
Sans prévenir embrasse amères brisures

Qui strient les astres inquiets de l'aurore passée, 
Par leurs aînées si inopinément remplacées. 
Tu pleures inlassablement sur ce verset,
Admet l'infériorité du temps déversé  

Sur la seconde qui n'a pas abouti! 
Profite de l'aumône du temps abruti

Disparition placideOù les histoires vivent. Découvrez maintenant