Chroniques du passé

Une éternité...

Résumé :  Loki explique à Ana qu'il a crée une illusion d'elle même pour "assouvir ses fantasmes" parce qu'il a trop peur de lui faire du mal ayant beaucoup de mal à contenir sa forme plus sauvage vis à vis d'elle. Ana essaye de lui montrer qu'elle ne craint rien et tente de le faire céder dans la forêt et fini par penser que s'il préfère une illusion c'est juste parce que ses cicatrices le repousse. Loki débarque dans sa salle de bains et souhaite lui montrer que non ça n'a rien à voir avec son physique :) 

Warning : Lemon, scène de sexe

Sa main s'est posée sur le dessus de la mienne avant de la diriger doucement plus bas me faisant sursauter lorsque mes propres doigts ont frôlé mon intimité.

- Montre moi, à quel point tu veux de moi maintenant Min Ana ! A-t-il exigé le regard soudainement aussi sombre que sa voix en insistant sur chaque mot, sa main restant simplement sur le dessus de la mienne.

J'ai senti mon intimité pulser si fort comme si ma peau voulait pousser ma main pour avoir accès à la sienne. J'en ai rougi encore plus en espérant qu'il ne s'en rende pas compte. Son visage s'est approché, attirant le mien comme un aimant, ses lèvres frôlant les miennes, son souffle froid pour seule caresse, restant là sans pour autant m'embrasser, laissant ma bouche à demi ouverte en suspend.

- Provoquer l'animal en moi en t'offrant dans cette forêt hostile pour obtenir ce que tu veux c'était dangereux ! A-t-il grondé à mon oreille en souriant. Mais très réussi !

Sa main a poussé un peu plus la mienne entre mes cuisses. J'ai senti mon désir déjà présent contre mes doigts appréciant timidement la douce texture légèrement glissante contre ma pulpe en fermant les yeux pour reprendre mon souffle pour échapper à son regard aussi.

Le dos contre le marbre froid de la douche, je me suis cambrée vers lui en demande de plus, mais il n'a rien fait. Mes lèvres ont cherché les siennes, il s'est contenté d'éviter ma bouche dans un jeu de chat et souris qui semblait lui plaire admirant mon corps en tension maximum.

- Tu pensais me faire craquer ?

Je n'ai pu qu'aquiescer en guise d'aveu. Son regard a viré au rouge sang alors que ses doigts ont incité les miens à me caresser. Je me suis mordu les lèvres à la sensation, empoignant son avant-bras par simple pulsion. Ou peut-être pour être sûr qu'il n'arrête pas.  Il en a sourit de satisfaction.

- Voyons voir qui va vraiment faire céder l'autre maintenant ma libellule!

Je me suis esclaffé lorsqu'il m'a appelé comme ça en pensant qu'il rigolait avant de sursauter à en tenir sur la pointe des pieds lorsque sa main a guidé la mienne en lui faisant faire de petits cercles contre le sommet de ce mont sensible entre mes jambes. Un gémissement timide s'est échappé de moi à la première décharge de plaisir. Au bout de quelques secondes, il avait gagné, j'avais le corps en feu et l'esprit en flammes de frustration.

J'ai ondulé un peu plus vers lui, lassée de ressentir toutes ces choses sans avoir directement ses mains sur moi. Ses yeux ont fixé ma poitrine dansant devant lui, chaque extrémité me brûlant d'anticipation à l'idée qu'il les touchent.

- Dis le ! A-t-il ordonné en prenant appui contre le mur avec son autre avant bras au dessus de ma tête, m'emprisonnant totalement de sa carrure. 

Il a repoussé une mèche mouillée de mes cheveux hors de mon front.

- Appelle moi !

Est-ce que j'ai cédé ?

Oui

Mais pas tout de suite. 

Je me suis mordu les lèvres et j'ai fermé les yeux pour garder toute concentration. Son corps s'est pressé contre moi, le cuir froid et humide mouillé par la pluie venant se frotter contre ma peau dénudée et mouillée n'était étrangement pas désagréable au contraire.