Heyy ! J'espère que vous allez bien. Personnellement, le retour des beaux jours m'énerve et me fatigue énormément, puisque la chaleur décuple et intensifie mes migraines. Donc là, je suis partie pour six mois de calvaire, mais soit, ça fait quelques années déjà et j'ai l'habitude à force. Même si ça serait toujours plus sympa de ne pas avoir mal, on s'entend. Bref... je n'vais pas vous raconter ma vie pendant des plombes alors on passe.
Aujourd'hui c'est la fin du mois - mais pas la fin de cette fanfiction, ne vous en faites pas ! -, donc la fin des publications quotidiennes. Ce mois de Mars a été une expérience absolument incroyable, facilitée par la grande avance que j'avais dans mes projets non publiés. Pendant un mois, j'ai posté une histoire par jour. Les fandoms étaient divers. Certaines histoires ont fait beaucoup plus de vues que ce à quoi je suis habituée, et pour ça je ne vous remercierais jamais assez. D'autres histoires ont été très peu lues, voire pas du tout, mais bon, je sais que certains des fandoms sur lequels j'écris sont inactifs. Je ne vais pas m'empêcher d'écrire dessus pour autant, évidemment ! Ne nous étalons pas.
Au cours de ce mois, j'ai pu remarquer que Balthazar était le fandom sur lequel je recevais le plus de reviews, et un des fandoms où j'avais le plus de vues, alors je suis absolument ravie de clôturer ce mois avec ce fandom !! Pour tout ça, je voudrais vraiment vous remercier, parce que vous n'avez pas idée du bonheur que tout ça m'apporte ❤
PS : Allez faire un tour sur mon mes stories instagram parce qu'il y a deux-trois petites choses là-dessus (@morganeedl)
Merci de m'avoir suivi et de me suivre. Bonne lecture.
La plupart des gens qu'avait côtoyé Hélène depuis son arrivée à Paris avaient repris une vie normale, se disant que la flic ne reviendrait pas de sitôt. Certes, tous avaient du respect pour elle, mais ce n'était plus uniquement ça qu'elle inspirait. En effet, beaucoup avaient surtout pitié de ce qu'elle devenue. Quelques personnes se demandaient comment une femme aussi forte avait pu sombrer par amour, à croire qu'ils ne savaient pas ce que c'était que d'aimer si fort.
Heureusement, il restait ses collègues les plus proches, qui eux ne la voyaient pas ainsi. Et, même si ça ne changeait aux yeux d'Hélène, puisqu'elle se moquait bien de quelque chose d'aussi futile que le regard des autres sur sa condition – en réalité, c'était surtout comme si elle n'en avait même pas conscience, ce qui était sans doute le cas –, cela aidait ses enfants à supporter un peu mieux l'épreuve.
D'ailleurs, Hugo et Manon s'étaient rapproché de Delgado, le meilleur ami de leur mère. Dès que l'un passait chez Hélène, il donnait des nouvelles aux autres, et ils se soutenaient, tout comme ils essayaient encore d'aider la flic.
Quant à Fatim et Eddy, ils ne prenaient des nouvelles que via Jérôme. En dehors du travail, le duo n'était pas particulièrement proche d'Hélène, et ils avaient l'impression de ne pas pouvoir faire plus pour elle. Et puis il y avait Balthazar, qui ne se souvenait toujours pas de cette belle blonde, mais qui se sentait coupable de son état.
Raphaël avait perdu la mémoire, mais il n'était pas devenu idiot. Il savait qu'elle l'aimait beaucoup, il l'avait compris à sa réaction, et dans le fait qu'elle n'était jamais revenue le voir. Le légiste aurait aimé se souvenir, pour comprendre, déjà, mais aussi pour essayer d'aider, si c'était encore possible. Mais il avait beau essayer, rien de concret ne lui revenait.
Malheureusement, le temps passa et l'état d'Hélène ne s'arrangea pas, bien au contraire, si bien qu'elle finit par décéder deux mois plus tard. Il fallait croire que les quelques efforts de ses proches n'avaient pas été plus utiles que cela.
Ce jour-là, ce furent Manon et Hugo qui vinrent rendre visite à leur mère, et qui la trouvèrent donc morte. Hélène était là, allongée dans son lit, dans les vêtements qu'elle portait la dernière fois qu'ils étaient venus, soit trois jours plus tôt. Ses yeux étaient fermés. C'était presque comme si elle dormait, si bien que les deux jeunes faillirent ne pas s'en rendre compte. Après tout, il arrivait parfois à leur mère d'être endormie lorsqu'ils arrivaient et ne pas se réveiller, malgré leurs tentatives. Ce qui les firent tiquer fut le fait qu'il n'y avait aucun mouvement de ventre, le seul élément indiquant l'absence de respiration à l'œil.
En la voyant ainsi, morte, d'apparence plus fragile qu'elle ne l'avait jamais été, les adolescents se trouvèrent piégés entre la culpabilité de ne pas avoir fait plus pour leur mère, la colère et une profonde tristesse. Ils parvinrent malgré tout à joindre Delgado, qui vint accompagné de Fatim et Eddy.
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La Clytie moderne
Hayran KurguDISCLAIMER : Les personnages et l'univers ne sont pas à moi. TW : Mort + Dépression + Amnésie + Enterrement Tandis que Balthazar subit les conséquences physiques de ce qui lui est arrivé, Hélène en subit les conséquences psychologiques. Et lorsque l...