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● Rᴇ́sᴜᴍᴇ́ : Et si les bordures invisibles qui séparaient les mondes se fissuraient, que diriez-vous ? Probablement que c'est un nouveau scenario de film de fiction.
Pourtant, Lee Felix...
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●▬▬▬▬๑ ♚ Un cœur en miette - 🔞 - ♚ ๑▬▬▬▬●
Plus le temps passait, plus la certitude qu'il ne s'agissait pas d'une mauvaise plaisanterie, ou d'un simple mauvais rêve, se confirmait. Et s'il subsistait encore des doutes, la marque encore brûlante sur sa joue suffisait à le lui confirmer. Il avait mal. Dans son corps. Dans sa tête. Dans son cœur.
Partout ou ses yeux se posaient, l'incertitude et la confusion s'emparait de son esprit perdu. Plus rien ne ressemblait à ce qu'il connaissait. Les paysages. Les décors. L'ambiance. Les gens. Tout était différent. Inconnu. Et tellement effrayant.
Et il était incapable de comprendre.
Paralysé par l'angoisse, le jeune Australo-Coréen s'était réfugié dans un coin relativement calme de la forteresse dans laquelle il se trouvait vraisemblablement prisonnier.
Ce qui contrastait avec sa conception d'un emprisonnement réel était qu'il pouvait circuler librement – plus ou moins librement – dans le château. Ce fait était probablement due au statut dont il était affublé. Mais à ses oreilles ce titre de prince prisonnier n'avait aucun fichue sens. Et malheureusement, son esprit embrouillé était trop confus pour analyser calmement ce qui se passait dans ce monde de fou.
A chacun de ses pas, des regards désapprobateurs ou haineux se posaient sur sa personne. Des regards vicieux lui renvoyant des intentions malveillantes qui le parcoururent de frissons désagréable. Tout le monde dans cette forteresse de pierre sombre semblait lui vouloir du mal. Tous semblaient le détester. Le jeune étranger éprouvait les plus grandes peines du monde à retenir ses larmes. Et une partie lointaine de son esprit persistait à continuer d'espérer que tout ça n'était qu'un simple canular. Que ses amis ne l'avaient pas réellement malmener. Que rien de tout ça n'existait.
Lorsqu'il traversa un immense couloir de pierre sombre et froide, le blond s'était empressé d'aller jeter un coup d'œil par l'alcôve donnant sur l'extérieur.
Le paysage qu'offrait cette vue était impressionnant. Et complètement hors du temps et de l'espace. Un pans de montagne et de crevasse rougeâtre dominait la forteresse d'une manière à imposer le respect. Des crêtes abruptes parsemaient les montagnes sinistres et vide tandis qu'un fin brouillard recouvrait le paysage morbide.
En contrebas s'étalait une vaste contrée sur laquelle siégeait une immense citée rustique avec ce qui ressemblait à un marché et des maisons anciennes. La vie circulaient dans les allées et les gens se déplaçaient à cheval. Ce qui rejoignait l'ambiance qui subsistait au sein de la forteresse dans laquelle tous les résidents semblaient être des acteurs d'une pièce de théâtre presque moyenâgeuse avec des vêtements étrange traditionnel provenant de coutumes étrangères. Ainsi qu'une distanciation entre les différentes classes des résidents que le blond avait séparé en deux catégories. La noblesse et les autres.
