Le soleil, dirigeant les jours qui passent, réchauffant les coeurs meurtris et souriant au plus démunies.
La lune, veillant au sommeil de chacun, parcourant les rêves des enfants et les pensées des plus grands.
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Ma main s'accrochant au bras de mon père, montant les quelques marche devant la bâtisse de ma grand-mère, je m'arrêtais alors faisant un arrêt devant les grandes portes.Mes sentiments commençais à prendre le dessus sur ma raison. Tandis que les larmes menaçaient de rejoindre mes yeux déjà amplis de tristesse, suite à quoi, mon père dû sentir ma détresse.
Il se tourna vers moi, saisi ma main dans les siennes, me faisant plonger mon regard dans le sien afin d'attirer toute mon attention.
- Si jamais tu veut attendre dit le moi, j'attendrais avec toi, dit-il sur un ton doux et compatissant.
Fébrilement, j'hochais alors en signe de confirmation.
Franchir ces portes représentais bien plus qu'une simple entrée dans la bâtisse de ma grand-mère. Cela représentais surtout la fin de son existence et ne ferait que me confirmer, le manque qu'elle représenterait au fil des années.
Je peinait à respirer, laissant mes esprits aller la où se trouvais le peu de réconfort que je pouvais avoir, la volière.
En effet, ma grand-mère avait une petite volière au fond de son jardin. Nous aimions y passer de nombreuses heures à nous confier nos plus intimes secrets.
Des plus folles demandes de possibles amants que ma grand-mère ait pût avoir, à mes plus belles petites amourettes enfantines que j'ai pût connaître dans le passé.
Je me rappel le nom des 25 oiseaux, de leurs préférences à chacun, de la couleur de leurs plumes jusqu'à l'emplacement de chacun dans la volière.
Alors que je me remémore bons nombres de souvenirs, ne voyant le temps passé, la voix de mon père me ramena alors à la tragique réalité qui développait en moi cette triste infini.
- Éléonore ? Dit-il doucement.
Mon regard se plongeas immédiatement dans celui de mon père suite à l'entente de mon prénom.
- Il est temps, dit-il.
Voyant ses joues rougis par la fraîcheur du vent, et son chapeau légèrement mouillée par la pluie, je compris alors que nous étions rester suffisamment de temps dehors.
Je lui adressait un regard entendu, avant de nous diriger dans la bâtisse.
Une fois les portes passées, je sentais alors une compression sur ma cage thoracique, effectuer par la pressions de ma propre peine.
L'odeur de vanille qui jusqu'alors était propre à ma grand-mère, venait de s'engouffrer dans mes narines pour venir ajouter à ma peine, une plus lourdes difficultés.
Mon père du sentir que je vacillais, lorsqu'il posa une main sur mon dos, afin de me soutenir.
Ma mère qui jusqu'alors était déjà entrée, nous aperçu au loin et vînt nous rejoindre précipitamment.
Elle pris ma main et m'attira à elle dans une étreinte réconfortante.
Elle m'emmena ensuite au salon, ou toute la famille Haukwood se tenait au grand complet.
De l'oncle philibert Haukwood, grand journaliste renommé, ainsi que sa femme agatha, à ma tante Irène Haukwood une femme dès plus étranges et son mari albert. Ainsi que mes 2 cousins, Gérald un jeune homme du vingtaine d'années étudiant les sciences, et carmin âgées de seulement 10 ans. Puis enfin mes 4 cousines, jasmine 6 ans, flore 14 ans, clautilde 17 ans et pour finir rosaline 26 ans travaillant comme créatrice de mode.
La famille de mon père était assez bien placé dans la société, il est vrai que mon grand-père était un politicien très connu et très respecter en son temps.
Chacun avait ses manières de petits bourgeois trop arrogant à mon goût, même si mes parents ne leurs était pas totalement différent, sauf en terme d'éducation et d'amour parentale.
Quand certains ne juraient que par l'argent, d'autres quant à eux, préférant la simplicité d'un véritable amour et d'une famille unis comme mes parents.
Alors assise sur un fauteuil, où à ma gauche se tenait ma mère et ma droite se tenait mon père. Ma mère me proposa alors une boisson chaude, pensant sûrement que cela m'apporterait un quelconque réconfort. J'hochais alors de la tête en signe de négations.
- Tu est rester une bonne demi-heure dehors, avec la pluie et le vent tu doit être gelé, si tu ne veut pas tomber souffrante, je te pris de prendre quelque chose stp, dit-elle à la fois en me sermonnant et à la fois prise d'inquiétude.
- D'accord mais uniquement un thé s'il te plaît, dit-je d'une petite voix.
Peu de temps après, elle déposa une tasse sur la petite table devant moi.
L'odeur de thé à la camomille emplis alors mon odorat, me permettant ainsi de me détendre face à l'atmosphère que dégageait les gens de la pièces.
Je pris alors la tasse dans mes petites mains, quand une personne entra dans la pièces, de son costume noir, en passant par sa malette, jusqu'à ses cheveux grisonnant ainsi que sa cravate resserré, je pouvait aisément deviner qu'il était le notaire et testamentaire de ma grand-mère.
-Messieurs, dames, bonjour, malgré les fâcheuses circontances, il est nécessaire que ce rendez-vous ce fasse aujourd'hui même, dit-il calmement.
Il s'avança vers le grand bureau de mon grand-père, il déposa sa malette et s'installa sur le grand fauteuil en cuir.
Ma grand-mère avait garder toutes les affaires de son défunt mari, en répétant inlassablement à qui voulait l'entendre, qu'il avait été l'homme le plus merveilleux et le plus grand amour de sa vie.
Le notaires ouvris sa malette, en sortis 4 feuilles et 2 enveloppes seller à la cire.
Il se racla la gorge, puis s'adressa à la totalité de l'assembler.
- Bonjour, je suis maître Garrisson, je suis présent en ce jour, accompagner de la famille de la défunte Mme Haukwood, pour vous faire part de ses derniers souhait en tant que notaire et avocat de son héritage. Puis-je savoir qui est Éléonore Haukwood je vous pris ? Demanda-t-il d'un ton qui se voulait innocent.
Sa question pris toutes les personnes présentes au dépourvue, y compris moi-même, que me voulait-il ?
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l'Enchanteresse des 4 mondes
ParanormalDans ce monde ou magie et humanité cohabitent dans le plus grand des secrets, une jeune fille découvrira qui elle est réellement. Entre secret, magie et protection Éléonore Haukwood n'auras de cesse de découvrir les secret de ce monde. Je vous invi...