Chapitre 2

30 6 5
                                    

Depuis les temps obscures, trois espèces peuplent notre monde.

La première sont les mortels. Ceux ci ne vivent que peut de temps.
Leur santé font d'eux des êtres vulnérables. Leurs intelligences limitées ne leurs permettent pas de voir au delà de ce qu'ils savent déjà.

La secondes sont les sorciers et sorcières. Se son des être pouvant faire preuve d'une grande intelligence, fourbes envers leurs ennemie, mais loyales envers leurs enchanteresse. Ce sont des êtres très robuste, qui font d'eux des guerriers hors du commun. Leurs capacité ne se résume pas à ce battre, ils assistent souvent l'enchanteresses qui est au pouvoir.

Et enfin vient la dernière L'Enchanteresse. Il n'existe pas d'Enchanteur, uniquement des Enchanteresse. Faisant preuve de clairvoyance, les enchanteresses peuvent prédire les évènements futur, elles ont aussi le pouvoir de manipuler les éléments. Chaque choses qui n'est créer de la main d'un être vivant peut être manipuler par elle.

Les éléments brute ne peuvent être manipulé par la seconde espèces, uniquement par la troisième.

Mais pour avoir accès à tout ce savoir et ces pouvoirs il vas falloir bien plus que lire un livre...

                                                                                        ***** 

Il y as quelques jours, alors que j'étais dans ma chambre, ma mère est venue me faire part de la triste nouvelle.

Durant ce temps, je n'ai cesser de me renfermé sur moi-même, pensant que le temps était à mon humeur, la pluie et le vent, se confrontant l'un à l'autre, n'avait cesser de frapper violemment contre les vitres de ma chambres.

Alors que je me vêtu d'une robe noir, de chaussure noir ainsi que d'un voile de même couleur, face au miroir, j'entendis le bruit d'un toque sur la porte, ce qui me fît tourner rapidement vers celle-ci.

- Entrer, prononçais-je de façon à ce que mon visiteur puisse entendre.

Ma voix n'étais guère puissante mais assez pour entendre que la personne avait reçu mon invitation et appuyais déjà sur la poignée.

Lorsque celle-ci fût ouverte, je découvre alors son visage, il ne s'agissait que de ma mère. A cet remarque, je soufflais alors bruyamment laissant par la même occasion, mon stress s'évaporer avec.

- Ma chérie, je suis venu te prévenir qu'il était l'heure, nous allons devoir y aller, dit-elle dans un ton des plus doux à mon égard.

J'hochais alors de la tête, puis me retourna afin de faire face à la pluie au travers de la vitre.

- Nous t'attendrons en bas, descend quand tu seras prête, dit-elle doucement avant de s'effacer de la chambre et de refermer la porte derrière elle.

Une fois seule, je pris alors une grande inspiration, puis relâchas l'air de mes poumons avant de me saisir de mon manteau et de prendre la direction de la porte.

Lorsque j'arrivais en bas des marches, je vis mes parents sur le seuil de la porte, affichant un sourire compatissant à mon égard et de me tendre les bras. Par la même occasions, je pût voir une lueur d'espoir dans leurs yeux s'afficher, afin que je me blottisse dans leurs bras pour leur donner l'occasion de m'apporte un quelconque réconfort.

Je m'avançais alors vers eux et les pris dans mes bras, ils refermèrent l'étreinte sur moi. Après ce court moment, nous prenons nos parapluies et nous nous dirigeons vers la vieille Chevrolet de 80 de mon père.

Une fois à l'intérieur, l'odeur du cuir vint me rappeler de nombreux souvenirs avec ma grand-mère, ceci étant qu'à chaque déplacement, je m'installais à l'arrière avec ma grand-mère et nous partagions de nombreux moments de complicité et de joie indescriptible.

Mon père mît en route le moteur, puis se lança sur la route. Je regardais alors par la fenêtre du véhicule, regardant le paysage défiler par celle-ci. Que ce soit des arbres en plein feuillages due au printemps qui annonçais sont arriver, ainsi que ces vieilles boutiques dans la rue marchande, dont certaines rue encore pavées dans le centre de la ville montrait l'essore que vivait notre époque par ces route faite de goudron et de pierres.

Après une bonne demi-heure de route, sur une route entourée d'une immense forêt, nous tournons sur notre gauche, alors que le véhicule s'engageait dans une allée dont le chemin était entourée d'arbres, je pus apercevoir de loin le portail qui menait au domaine de ma grand-mère. 

 Son domaine se composait essentiellement d'une grande bâtisse qui pourrait abriter bon nombres de personnes, entourée d'un immense jardin, dont le centre rappelais étrangement un labyrinthe de feuillages, de haies et de fleurs. Bleu, rouge, rose, verte il y en avait pour tout les goûts et toutes les couleurs. En passant de la rose noir pour la passion éternelle, en terminant par la rose jaune du plus cocus des amants. 

Enfin tout cela pour dire que son amour des fleurs était incomparable. La nature avait toujours été sa plus grande inspiration disait-elle, d'où les magnifiques tableaux qu'elle peignait, qui ornai les murs de sa bâtisse. 

A chacune de mes visites, je pouvais m'attendre à voir un nouveaux tableaux, pour ne pas dire que mes visites étaient assez régulières. J'entretenais avec ma grand-mère un lien qui dans la société aurait pu être considérer comme un lien maternelle de ma grand-mère à mon égare.

Non pas que ma mère n'as pas eu ce rôle la, loin de la mon intention, mais je pouvais plus facilement confié à ma grand-mère nombreuses de mes péripéties ainsi que les frivolités d'une enfant de 5 ans.

Alors que nous passions le portail, la voiture avançais doucement, mon père faisant attention à ne pas abimer sa voiture et ma mère qui riait à la panique dont il pouvais faire preuve quand il s'agissait de ne pas rayer sa voiture.

Quelques minutes passer, je voyais enfin la grand bâtisse de ma grand-mère. Mon père se gara juste devant les marche de l'entrée, il éteignis le moteur puis sortie du véhicule suivit par ma mère. 

Mon souffle ne faisant plus, du à la compression de ma cage thoracique sur mes poumons, dont la seule cause ne pouvait être que mon stress et ma tristesse.

la portière s'ouvrit, je vit mon père me tendre la main, affichant un sourire compatissant. Je fermais alors les yeux le temps d'un instant, je pris une grande bouffer d'air, puis je rouvris les yeux et tentent vainement de me donner du courage.

- Il est l'heure, dit-je dans un souffle.

Je saisie alors la main que me tendais mon père et sortis du véhicule.

l'Enchanteresse des 4 mondesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant