Échec et Maths (Ép1 pt2)

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Sierra: « Échec et maths fils de pute. »

Le Professeur voulut avancer, mais Sierra tira juste devant son visage, le faisant reculer. Sierra avança, un sourire plus que  victorieux sur le visage.

Sierra: « Tu pensais vraiment pouvoir te cacher? Tu te pensais introuvable? Invincible? Personne est invincible! Ni toi ni moi! On te considère comme un génie mais regarde comme je t'ai retrouvé facilement!  Mais... qui vois-je la.... »

Alicia s'approcha de l'écran, menaçant toujours le Professeur de son pistolet.  Le Professeur était terrorisé. Sierra ne pouvait pas voir les images de la banque! Elle ne pouvait pas!! Sierra se mit à compter les braqueurs qui n'avaient pas bougé

Sierra: «  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7... Violette Violette.... »

Le Visage du Professeur se crispa. Sept....? Comment ça sept.....? Ils sont censés être 9.... Tokyo, Rio, Helsinki, Palerme, Bogota, Denver, Stockholm, Manille et maintenant Lisbonne.

Sierra: « Oh! Et deux cadavre de plus sur ta conscience! Ta chérie n'a pas fait long feu visiblement... Et Silène Olivera non plus. »

Elle se mit à rire, un rire glaçant, effroyable.

Sierra: « C'était dans ton plan qu'une gamine vienne les descendre? »

Le Professeur se retourna, affolé. Il regarda les caméras. Toutes la bande était là, mais une nouvelle venue solidement armée était apparue, menacée par toute la bande.

Sierra recommença à rire en voyant le visage horrifié du Cerveau de cette opération. Elle s'avança vers lui et commença à effleurer les cheveux du Professeur du bout de son arme.

Sierra: « Je te taquine voyons! » commença Sierra d'une voix calme, mais enjouée. « Ils vont bien, t'en fais pas! Et puis si ça peut te rassurer, je serai très gentille avec Murillo quand je lui annoncerai ta mort imminente! Je prendrai le temps de lui dire à quel point je t'ai torturé, que c'est de sa faute si je t'ai attrapé, que si elle était montée dans l'arbre, tu serais encore en vie...  Et puis je te laisserai lui dire quelque mots, mais je te tuerai avant que tu n'aies fini ton monologue de mourant! Une balle par articulation! On commencera par les chevilles, puis les genoux, les poignets, les coudes, les épaules, les hanches... Chacune de tes vertèbres.... Puis je te laisserai agoniser sans couper les communications. Oh et quand tu seras morts, je dirai à la bande que Lisbonne est passée à deux doigts de vous trahir pour sauver sa fille! Si elle n'avait pas vu la montre d'Antoniansas, à l'heure qu'il est, tu serais en prison et elle libre. »

Sierra soupire.

Sierra: « Mais bon! Non seulement elle a vu la montre, mais en plus on n'a trouvé ni sa mère, ni sa fille. Quelle tristesse! »

Sierra sorti une gomme à mâcher à la pastèque de sa poche et la mit dans sa bouche.

Le Professeur ne bougeait pas, le visage neutre, mais l'esprit bouillonnant.

Sierra: « Tu verras, ce sera passionnant! »

Tokyo: Et alors que le Professeur était au pied du gouffre, ne pensant pas à sa mort, non, mais à la douleur imminente de Raquel face à Sierra, nous, nous étions face a ce qui semblait être le plus gros revers du braquage.

Dans la banque.

Toute la bande menaçait la nouvelle venue. La jeune fille restait d'un calme effrayant. La nouvelle venue portait un t-shirt noir, un gilet pare-balles, un leggings noir, trois sacs de munitions et deux pistolets chargés. Tant qu'à ses traits, elle avait des cheveux châtains clairs lui descendant jusqu'aux hanches nattés en deux tresses françaises. Quelques mèches blondes s'échappaient des tresses et retombaient devant son visage fin. Elle avait la peau claire qui contrastait avec ses yeux perçants. Ses yeux. Ils étaient très particuliers. Grands, aux longs cils, colorés d'un mélange de bleu et de vert avec de très petites traces de jaune. Elle était grande, maigre et arborait un sourire  à la fois crispé et insolent. Son regard se baladait sur les membres de la bande, comme si elle les sondait. Elle devait avoir l'air 17 ans, tout ou plus.

???: « Je m'appelle Séoul. » Commence la nouvelle d'un ton calme. « Et je suis le cheval de Troie de ce putain de plan. »

Tous s'échangèrent des regards en coin, particulièrement perdus, mais surtout particulièrement méfiants. Palerme, quand à lui, ne l'a lâchait pas des yeux.

Séoul avait un accent prononcé. Les « a » sonnaient « â », les « o » sonnaient « ô », elle parlait vite et chacun de ses « s » était précédé d'un très très léger son ressemblant à un t.

Lisbonne: «  Le Professeur ne m'a jamais parlé de cet aspect du plan. »

Séoul: « C'est parfaitement normal. »

Lisbonne: « Il m'en aurait parlé »

Palerme: « C'est sûrement une tentative des flics. Descendez la »

Bogota, Tokyo et Helsinki chargèrent leurs M-16, Séoul leva les bras dans les airs, tenant toujours ses pistolets, les regardant d'un air presque insulté.

Séoul: « Wow minute » Commença t elle d'un ton qu'on aurait presque pu qualifier de condescendant, « On se calme. Si ça peut vous rassurer..... »

Séoul déchargea ses pistolets tout en gardant les mains levées, ne quittant pas Palerme des yeux. Les deux chargeurs tombèrent sur le sol dans un bruits sourd et elle les poussa calmement vers Palerme avec son pied.

Séoul: « Tenez, je suis désarmée. »

Denver: « Elle cache peut être d'autres armes. »

Séoul: « Veux tu bin m'dire a quoi ça m'servirait de dégainer une autre arme? Même avec mon pistolet, j'aurais même pas eu le temps de le charger que je me serais pris une balle. » Elle prit une petite pause. « Par Tokyo. »

Tokyo leva un sourcil

Séoul: « Tu sais bien que tu aurais tiré. La reine de la gâchette. »

Tokyo: « Elle a du étudier nos profils psychologique. On ne l'a jamais vue, comment peut-elle en connaître autant sur nous? Et puis, quelqu'un ici aurait dû être au courant. Ça aurait dû être Lisbonne ou Palerme. Mais ce n'est pas le cas »

Séoul: «  Nairobi. »

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Hey! J'ai réécrit ce chapitre, je recommence tout! Désolée pour la déception!

CHAOS (LCDP5)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant