One Piece - Mayumi, une liaison de piraterie

Chapitre 29

Avant de commencez je tiens à vous signaler qu'il y a un peu de lemon. Je ne suis pas responsable si vous lisez cette partie.

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Logue Town... Une ville que je voulais à tout prix éviter. Une ville où j'ai vécu quelques années, ensuite qu'on a déménagé dans une ville voisine. Où ma mère est morte... Mais Logue Town est aussi la ville natale de Gold Roger ainsi que mon père. Ils sont tous les deux enterrés là-bas. Quelle ironie ! Je me suis interdite de remettre un pied dans cette ville. Je me lève de mon lit ne trouvant pas le sommeil... Quand je repense aussi à quelques heures plutôt. J'ai failli... Mais qu'est ce qui m'a pris ? Est-ce que j'en avais envie ? Peut-être... Mais quand j'ai fais confiance à quelqu'un avec une certaine ambiguïté, je m'en suis mordu les doigts après... M'interdire une relation à cause de Lucci. Non ! Je ne vais pas le laisser gagner. Mais pourtant... C'est plus fort que moi, je ne peux pas me donner comme ça à n'importe qui. Certes Ace, est quelqu'un de confiance, de généreux et drôle mais... Je ne vois que de l'amitié et pourtant il y a une certaine attirance entre nous. Comme si... Comme si, je voulais plus qu'une amitié, je ne saurais comment l'expliquer et j'ignore si c'est réciproque.

: Qu'en dis-tu Iris ? me tournant vers elle sur son perchoir. 

Elle me regarde avec ces yeux jaunes quelques secondes, pour ensuite se gratter sous son aile avec son bec. Je ricane après, me disant ce qu'il me prend, elle ne doit pas comprendre. Même si elle arrive à sentir mes réactions, mon ressenti, elle ne peut pas entrer dans ma tête. Je retente encore une fois à m'endormir, laissant les yeux fermées et attendre que le marchand de sable m'emporte.

Mes lèvres sont chaudes... Pourquoi sont-elle chaudes ? Je sent un picotement ensuite au même endroit, c'est sûrement mon oiseau sa arrive qu'elle joue avec son bec. Un souffle chaud caresse maintenant mon visage, sûrement une de ces ailes... Puis un contact se pose sur mon abdomen par dessus ma nuisette. Bon là c'est bizarre, ce n'est pas Iris. J'ouvre les yeux subitement et prend la main qui me touchait, l'empêchant d'aller plus loin. Voyant une main musclé, je monte les yeux et remarque une personne à grande carrure et musclé. Avec les rayons de la lune je peux enfin remarqué une tête que je connais bien. Mais le plus surprenant c'est qu'il se trouve dans ma chambre au-dessus de moi.

: Ace ! Mais qu'est ce que tu fous là ? Comment tu...

Ace : Chhhuuuut. posant un doigt sur mes lèvres.

Il avance dangereusement son visage au mien pour se diriger vers mes oreilles ; au contact son souffle chaud à mes oreilles sensible, je ne peux que frissonner.

Ace : Ne dis rien... Laisse-toi faire... en chuchotant.

Laissant ces paroles, il pose un baiser sur mon coup me bloquant en même temps ma respiration. Il glisse sa main sur mon bras glissant jusqu'à mon poignet se trouvant au-dessus de ma tête, empêchant tout mouvement. Que fais-je ? Je le laisse faire et goûter au plaisir qui me procure ? Ou bien y mettre un terme ?  Beaucoup de questions se pose, remarquant sûrement mon hésitation. Ace me regarde avec des yeux sévère et sauvage.

Ace : Ne pense à rien Mayumi. Je ne te donne que du plaisir... 

Il pose ces lèvres sur les miennes d'abord un baisé de douceur mais il enchaine avec un baiser plus brutale, pénétrant sa langue et caressant la mienne. Sa bouche est chaude... est-ce son fruit du démon qui procure cette chaleur ou c'est moi qui l'évoque ? Continuant de jouer avec ma langue, le désir est de plus en plus en moi. Je pose ma main libre dans ces cheveux et approfondi nos baisers. Nos langues jouent, se mélangent, dansent devant notre passion. Ces cheveux sont soigneux et doux. Il se redresse et percute ces yeux remplie de braise, de désir, il ferait presque peur, si je ne le connaissais pas. Sa main se loge sous ma nuisette noir transparente, caressant mon ventre et montant sur ma poitrine, je n'ai jamais eu de rapport sexuel, j'ai toujours évité, été borné on va dire sur ce sujet. Mais toutes ces questions ne le sont plus dans ma tête. Je m'en fous si c'est le fils du diable, j'en suis déjà une. Peut importe si c'est le fils de Barbe-Blanche, je ne regarde que lui, c'est un homme après tout, comme tout les autres, mais le seul à me fournir ce qu'il fait... Il descend mes bretelles du tissu, descendant davantage pour avoir une vue sur ma poitrine.