- Chapitre 13 -

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Je n'ai jamais cru au hasard, comme je n'ai jamais cru aux coïncides. Cette façons étrange que notre société a comme vision du monde me surprends toujours, comme si une simple chance était un signe du destin.

Je n'ai jamais eu l'opportunité de croire en quelque chose ou quelqu'un. J'ai toujours du croire en mes propres convictions et les voix peu importe leur intonations, qui résonnaient dans ma tête comme un vieux disque rayé.

Ce matin-là Dumbledore avait suspendu les cours. Depuis l'incident de la jeune fille, les parents n'avaient cessés d'envoyer des lettres de reproches face à la sécurité des étudiants dans l'établissement.

La nouvelle de l'utilisation de la magie noir sur le collier s'est dépendu comme une traînée de poudre de cheminé, mais la nouvelle fut tout de suite étouffée par le ministère, même si les journaux locaux avaient déjà rassemblés assez d'informations pour en remplir trois pages entières.

Rogue s'est occupé des soupsons de McGonagall qui le chariait jours et nuits pour comprendre d'où vient les connaissances qui faisait de moi une élèves qui peut utiliser ce type de magie pour en faire les mauvais choix.

Après tout, selon plusieurs, Voldemort jadis un élève ici était conscient des même sorts et il les a utilisé de la mauvaises façon le menant où il est aujourd'hui.

J'étais en bordure de la forêt interdite, la neige fondant dans mes boucles blonde.

Mon souffle condensé à l'air apparaissait dans une fine brume dessinant l'air. Mes pieds ensevelis de cette poudreuse scintillante gelaient, mais mon cœur me disait de rester où j'étais comme les non dires des échos du château.

Je n'avais aucunes envies de retourner me mêler à la foule d'élèves qui courait dans tous les sens et de devoir croiser des personnes de triste connaissance.

Je trouvais un bac encore humide par les flocons qui étaient devenus liquide et qui avaient réussis à se frayer un chemin entre les fibres du bois le rendant absorbant comme une éponge.

Cette année Noël comme le nouvel an se déroulerait ici. Hors de questions que je ne sombre dans les controverses de ma mère et la bienveillance des Weasley qui me rendait nostalgique.

Je fermais les yeux alors que des rayons téméraire du soleil défiaient l'épaisseur des nuages pour venir éveillé le paysage noircis de l'école.

- Tout vas bien ? Blaise te cherche et ça semble urgent.

Mes yeux se sont lentement ouvert et j'ai eu les idées perdus un instant.

- Est-ce que je viens vraiment de me faire demander comment je vais par le grand Draco Malfoy? Ricanais-je en le regardant. Blaise peut attendre je vais savourer ce moment pendant que j'ai encore cette satisfaction malsaine.

- Si tu veux, mais cela signifie que tu voudras bien t'enquierir de ma présence puisque tu es assise à mon bac.

- Moi qui croyais qu'il n'y avait que la tour d'astronomie qui fait ton territoire, maintenant tu me chasse d'un pauvre banc ?

- Je pourrais bien faire une exception.

J'ai roulé les yeux et ma langue est venu pousser dans le haut de ma mâchoire pour m'empêcher de rire.

La neige se remit à tomber, voire elle n'avait jamais arrêtée et venait se poser sur le teint pâle du Serpentard.

À ce moment je l'ignorais, il était heureux que je ne l'ai pas repoussée.

Et étrangement sa présence ne me dérangeait pas. Même qu'elle était acceptable.

Je décuplais chaques arbres de la forêt comme un tableau. Une peinture morte plus vraie que le réel ne peut l'être. Et tellement j'étais absorbé par la paisibilité de ces géants, je n'ai pas remarqué qu'il avait commencé à m'examiner lui aussi.

À Jamais | Tome 2|Où les histoires vivent. Découvrez maintenant