Chapitre 5

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j'ai très mal dormit, hier quand j'ai vue le mot de mon père je me suis vraiment effondré. Je pensais vraiment pas que ça me toucherais autant, du moins plus autant qu'avant mais en fait c'est quelque chose qui reste parce que ça reste mon père. 

Quand j'arrive au lycée je suis vraiment pas d'humeur, je suis triste, fatigué, et épuiser par tout ça. C'est pas une vie, en tout cas pas celle que j'espérais, vraiment pas. 

Je vois chôchô et vue la tête qu'elle me fait je sais que je vais avoir le droit a un petit interrogatoire, en même temps je la comprends je dois ressembler a un cadavre sur patte, je crois même que je pourrais passer les auditions pour devenir zombie dans the walking dead, ce n'est pas une blague je fais extrêmement peur. 

Chôchô - « mon dieux sarada, mais qu'est ce qu'il t'ai arrivé » 

sarada - « laisse tombé trop compliqué » 

chôchô - « j'aime les choses compliqué » 

sarada - « oui mais pas moi »

chôchô - « ça j'avais compris » 

sarada - « merci ça fait plaisir » 

chôchô - « non mais bon c'est pas compliqué a remarquer, t'es sur que ça va » 

sarada - « oui oui tout va bien » 

chôchô - « bon je veux pas forcer tu m'appellera quand tu sera prête a en parler sache que je t'écouterais mais je vais faire semblent de te croire le temps de » 

Je lui sourit et lui dit merci, c'est vrai je suis pas prête a déballer ma vie, on ne ce connaît pas assez et puis même ce sont mes soucis je n'ai pas a lui imposer ma vie aussi pathétique qu'elle soit. J'ai l'habitude de tout garder pour moi et j'aime pas changer mes habitude. 

Je commence a l'apprécier de plus en plus, c'est vrai que des fois elle peut être trop extravagante et pipelette sur les bords mais ça reste vraiment une personne touchante, drôle et gentille. Elle ne veut de mal a personne et fait de son mieux pour satisfaire tout le monde, je sais pas comment elle fait mais je l'admire pour ça. 

Quand je rentre en classe et que je croise le regard de boruto, je le trouve bizarre, il me sourit comme ci tout ce qu'il m'avais fait et dit avait été oublié, on dirait qu'il me sourit comme ci il souriait a un ami et je trouve ça pas normal mais je lui rend et pars m'asseoir a ma place. Au moment ou mes fesse touche l'assise je sursaute en criant, je crois, légèrement trop fort parce que tout le monde ce tourne. 

Je toussote en faisant comme si de rien n'était et je m'assoie sur ma chaise, tout le monde retourne a ses occupations je mets les trois punaise qui était sur celle ci dans ma trousse, je les jetterais chez moi. J'essaye de savoir, j'essaye de trouver qui aurais pue déposer ça là. 

ça ne m'étonne même pas quand boruto m'adresse ce même sourire hypocrite, je lui adresse mon plus beau doigt d'honneur et bizarrement il ne réagit pas, et continue de me sourire, c'est suspect, et ça me fait peur alors je l'ignore et me concentre sur les cours

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je vais au toilette le temps de la pose avant les deux autres heures du matin, je prends mon livre avec moi et me réfugie dans une des cabine. Je n'ai pas vue l'heure, depuis dix minute maintenant nous sommes rentrer en cours, chôchô m'a envoyé un message pour savoir ou j'étais mais mon téléphone était sur silencieux. Quand je toque et que je rentre je me prends quelques réflexions de la part de la professeur rien de méchant mais assez pour satisfaire boruto a ce que je vois. 

Tout le monde me scrute et je vérifie si il n'y a rien sur ma chaise quand je m'assoie. Il n'y a rien et quand je me positionne mieux sur celle ci j'entends une sorte de visse ou du moins un bout de métal tomber et au même instant ma chaise s'écroule, je ne sais pas comment cela est possible mais je me retrouve sur le sol et comme si ça ne suffisait pas je sens un liquide tremper mon dos et mon fessier il a sûrement du verser de l'eau au préalable.  Je ne l'avais pas venue venir celle là, il avait bien préparé son coup, je sais que c'est lui cette fois je ne cherche pas parce que c'est évident. 

Tout le monde me ri au nez quand je me relève, je suis trempé et je viens de me ridiculiser. Moi qui voulais être discrète c'est raté, je vais pour simplement me sécher au toilette mais quand je commence a marcher je m'arrête en entendant la voix insupportable de mon interlocuteur 

boruto - « comment tu as fait pour casser cette chaise tu es si... maigre, même une plumes doit peser plus, tu devrais penser à te nourrir» 

j'entends des gens glousser et d'autre rire au propos que vient de tenir boruto a mon égard. C'est vraiment humiliant. Je suis rouge de honte, j'ai envie de fuir et c'est ce que je fais, je rassemble mes affaire rapidement dans mon sac et fuis je cours vers la sortit et quitte le lycée précipitamment. 

Mon corps ne me plaît pas, et ça ne plaît pas aux autre non plus je le sais. Je ne me suis jamais vraiment aimé et depuis que ma mère est partit c'est encore pire avant elle me réconfortait quand je lui rapportait qu'a l'école on m'avait dit des méchanceté. Elle me disais souvent que je ne devais pas autant porter de l'importance a ce que pensais les autres, elle me disait aussi que j'étais belle comme j'étais mais que j'avais le droit d'avoir des complexe seulement si ça me gêne moi et pas parce que les autre n'aimais pas. Avant je me raccrochais a ses paroles, ça m'a jamais vraiment gêné de ne pas avoir de fesses ni de poitrine ni de belle cuisses galbés et si ça gênait les autre ce n'était pas mon problème mais maintenant quand je rentre pour qu'on me rassure plus personne n'est là... 

Les larmes coules, mes larmes coule et je n'avais même pas remarqué avant d'être en face de ce miroir, je me déteste, je me déteste d'être aussi faible, d'être ce genre de personne que tu écrase s'en prendre la peine de prendre du plaisir parce que c'est si simple, c'est si simple de me mettre a terre. 

Ce soir je l'a voit en moi et ce soir je ne veux pas alors je l'efface comme je peux même si ça fait mal

FallingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant