La main sur la poignet je ne me sens pas du tout bien, je crois que je tremble et j'hésite fortement a ouvrir cette porte. Sur le chemin du retour j'ai réussit a me faire une centaine de films plus dramatique les uns que les autres. Ça me fait peur, vraiment très peur.
Quand j'ouvre la porte j'entends des pas courir vers moi, je ferme les yeux deux petite seconde avant de prendre une grande inspiration
sasuke - « sarada mais ou étais tu passé ? »
c'est mon père, je suis soulagé sur le moment, je ne sais pas si il sait et surtout ce qu'il sais. Il a l'air inquiet, vraiment très inquiet mais je sais si c'est pour moi ou alors pour autre chose
sarada - « je suis partit faire un tour... prendre l'air »
sasuke - « et tu peux m'expliquer ce qu'il c'est passé avec boruto ? »
sarada - « pourquoi il t'a dit quelque chose ? » je vois dans son regarde qu'il sais que je commence a paniquer, et il doit sûrement ce demander pourquoi
sasuke - « non il n'a rien voulu me dire, il arrêtait juste pas de me demander ou tu étais, il m'a demander de t'appeler, que tu revienne mais je n'ai pas compris. Il parlais vite et il s'embrouillait dans tout ce qu'il disait alors c'est pour ça que je t'ai harcelé »
sarada - « ah bon ? Je... il est partit? »
sasuke - « non »
je mentirais si je vous disais que mon cœur a fait dix milles bons en moins d'une seconde, il est resté, il n'a pas fuit, il NE m'a pas fuit, moi et mes problèmes.
Trop de chose ce passe dans m'a tête, je dois aller le confronter, je dois aller le voir et lui expliquer, je n'aurais simplement jamais du partir, c'était une grosse erreur. Je regarde mon père en me pinçant la lèvre nerveusement
sasuke - « il est en haut »
je le remercie d'un mouvement de tête avant de monter les escalier menant a ma chambre, je ne comprendrais jamais comment il arrive a lire en moi de cet façon, je ne sais pas si c'est un truc de parents, un sixième sens inconnu...
Je toque a ma propre porte, je ne sais pas dans quel état je vais le retrouver mais en tout cas j'ai bien l'impression que c'est de ma faute, tout ça est de ma faute.
J'ouvre ma porte en grand et la referme derrière moi sans même regarder ou il ce trouve, je prends une grande inspiration avant de lâcher la poignet pour enfin me retourner.
Il est assis au bord de mon lit, la tête baissé et ne dit rien, il sait que je suis la mais mais ne me regarde pas pour autant. De profile je vois ses yeux légèrement boursoufflé et je sais qu'il a pleuré , mais ce qui me fait mal au cœur c'est qu'il a pleuré seul alors que normalement je devrais être dans ses bras, on aurais du pleurer ensemble aussi pathétique que toute cette situation est.
Je m'apprête a ouvrir la bouche, je m'apprête a m'excuser mais encore une fois il me devance
boruto - « je suis désolé sarada »
sarada - « tu n'a... »
boruto - « non laisse moi finir... s'il te plaît »
je souffle et m'assoie a coté de lui pas trop prêt mais assez pour que je sente sa chaleur corporelle qui a un don pour me calmer, une fois que je suis installé je le laisse exprimer ce qu'il a à me dire
boruto - « je suis sincèrement désolé pour tout ce qu'il t'es arrivé sarada, si tu savais a quel point je suis en colère, a quel point j'ai envie de crier, de hurler et tuer celui qui t'a fait ça... »
j'hésite un peu avant de le coupé parce qu'il était partit dans sa lance mais il faut qu'il sache
sarada - « ils étaient trois »
il tourne sont regard vers moi, il me fixe et les larmes coules toutes seul sur ses joue. Moi je ne pleur pas, j'ai trop pleuré je crois, je ne veux pas qu'il soit triste a cause de ça, c'est pour ça que je ne voulais pas l'introduire dans ma vie merdique mais sans vouloir être égoïste j'ai l'impression que lui partager ma douleur me fait du bien, je ne souffre plus toute seul , c'est comme un petit poids qui vient de s'échapper de ma poitrine pour malheureusement rejoindre celle qui est a coté de moi, et il souffre en silence, alors que je sais qu'il n'a qu'une envie c'est d'exploser.
Boruto - « raconte moi, s'il te plaît j'ai besoin de savoir, j'ai besoin d'entendre ce qu'il c'est passé... mais... si c'est trop compliquer je comprendrais »
sarada - « non, non je... je pense pouvoir y arriver »
c'est complètement faux je ne sais absolument pas comment lui raconter tout ce qu'il c'est passé, lui dire que l'on m'a violé, lui dire qu'ils étaient trois n'étaient rien comparé a raconter comment cela c'est déroulé.
Il me prend les mains, ils lies nos doigts et il relève la tête vers moi encore une fois. Je n'ai pas le temps de plonger dans ses yeux qu'il pose c'est lèvres sur les mienne, il ne les embrasse pas mais les caresse, d'une tendresse infinie, on prend quelques minutes a se détacher, je pense que nous deux avions besoins de ce petit temps pour nous échapper loin de tout ces problème, même si le retour a la réalité et d'autant plus injuste et brutal
Sarada - « quand on c'est disputé, dans les toilettes et que je suis parti, et bien sans que je ne comprenne comment ni pourquoi on m'a emmené dans un endroit sombre, je crois que j'ai du m'évanouir ou quelque chose comme ça et quand j'ai repris connaissance je les entendais m'insulter de tout les noms. Je... ça ne m'atteignait pas plus que ça, mais en voyant justement que rien ne m'atteignait il on commencer a devenir violent, surtout un en particulier. Je ne le connaissais même pas, simplement de tête mais je ne connais pas son nom, leur noms.
Alors tout c'est passé très vite même si pour moi ça a duré une éternité.
Ils... ils m'ont... violé chacun leur tour, je n'ai rien pu dire parce que de toute façon si je l'ouvrais ils me frappaient... très fort, trop fort.
Je suis rentré chez moi, et... j'ai voulu mourir parce que de tout façon ils avaient déjà réussit à me tuer en quelque sorte »
Et finalement j'ai sous estimé la quantité d'eau que possédait mon corps parce que boruto n'est plus le seul a pleurer a présent...
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Falling
Fanfiction« pourquoi espérer une fin heureuse vu la façon dont tout a commencé » Centaines personnes pense que tomber amoureux n'est qu'une métaphore Moi je suis tombée par amour au sens propre du terme et je peux vous dire d'avance que ça fait mal
