Chapitre 44

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Je suis en stresse totale, j'ai peur et je crois que je vais faire une putain de crise de panique. Rien de va, j'ai demander a boruto d'attendre quelques jours avant de tout avouer a mon père et trois jours après nous voila. Je suis entrain de faire les trois cents pas dans ma chambre, boruto me rassure mais j'arrive pas a écouter ce qu'il dit et il parle tout le temps et ça m'embrouille tout dans la tête et voila maintenant je suis toute embrouiller et j'ai plus envie d'y aller. 

Boruto - « je t'assure que une fois que tout sera dit on pourra... » 

sarada - « BORUTO... s'il te plaît... est ce que tu peux... juste cinq seconde arrêter de parler ? » 

l'ambiance qui était déjà pas très bonne devenait lourde d'un seul coup, je m'en veux de lui parler comme ça mais j'ai l'impression qu'il ne m'entendais pas. Il me regarde avec un air désolé et tout de suite je culpabilise. Je sais qu'il veut bien faire les choses, je sais qu'il est là pour moi et je lui en serais a jamais reconnaissant mais là tout tourne dans ma tête et je ne sais plus du tout quoi faire et comment m'en sortir. 

Il baisse la tête et je m'approche de lui, il est assis sur le rebord de mon lit et joue nerveusement avec ses doigts, je relève sa tête a l'aide de ma main et lui sourit tendrement. 

Sarada - « hey » 

boruto - « désolé... » 

sarada - « non non non tu n'a pas a être désolé c'est moi qui m'excuse... je... » 

je monte a califourchon sur lui pour le prendre dans mes bras, et ça m'avait manquer, même si on se câline souvent, la j'en avait vraiment besoin, parce que quand ses bras ce sert autour de moi tout de suite je vais mieux, il fait tout pour m'aider et je me déteste de ne pas lui montrer a qu'elle point je suis reconnaissante. 

Sarada - « je suis désoler d'être égoïste. Je sais que je suis insupportable depuis quelque jours et je m'en excuses vraiment. Je suis tellement reconnaissante de tout ce que tu fait pour moi, si tu savais a qu'elle point... a quel point je t'aime et que je suis tout aussi désolé de ne pas te l'avoir démontrer comme tu le méritais » 

je l'embrasse avant qu'il n'ouvre la bouche, je l'embrasse avec passion comme pour oublier tout ce qu'il m'attendait ou plutôt tout ce qu'il NOUS attendait une fois que nous auront ouvert la porte de ma chambre. Mais quand j'embrasse ses lèvre aussi douce qu'un nuage semble être plus rien ne compte autour, alors je pourrais l'embrasser toute ma vie, même si c'est impossible 

boruto - « si tu ne te sent pas prête, rien ne nous oblige a lui dire ce soir, on peut encore attendre et... » 

sarada - « non... je sais que c'est ce soir, sinon je n'en aurait plus le courage. Et puis tu est la alors c'est le moment ou jamais » 

boruto - « alors allons y si tu es d'accord » 

sarada - « oui, mais est ce que tu pourra... garder ma main dans la tienne »

boruto - « tout ce que tu veux amour » 

après s'être embrasser encore plusieurs minutes, et après que boruto est pris ma main pour la réchauffer dans la sienne nous sortons enfin de cette chambre qui commençais a m'oppresser. 

                                     ***********

Ça y est nous y sommes, je me cache légèrement derrière boruto et regarde mon père qui est dos a nous entrain de regarder la télévision. Il a un verre en main et semble ne pas nous remarquer ce qui est plutôt logique. Et a cet instant je me dit que c'est le moment ou jamais pour faire machine arrière, qu'il est encore temps pour nous de reculer et ce préparer a ce moment 

sasuke - « vous attendez quoi planté derrière vous deux? »

bon et bien je faisais fausse route il avait très bien sentit notre présence et c'est a ce moment la que je me dit que aucun retour en arrière est possible. C'est ce soir que tout va être dit, c'est ce soir que plus rien ne sera secret. 

Boruto commence a s'avancer vers le salon mais toujours en serrant ma main plus fort comme pour me donner le courage qu'il me manque actuellement. Il tourne ça tête vers moi et attend mon accord pour vraiment y aller. Je le regarde quelque temps dans les yeux avant de hocher la tête signe que le moment est vraiment venu 

on s'approche donc concrètement et je m'assoie sur le canapé en biais du fauteuil de mon père, pour pouvoir lui parler de face, boruto a mes cotés 

sarada - « papa ? » 

sasuke - « hum hum » il ne prend pas la peine de tourner la tête vers moi pensant que ce que je voulais dire n'était pas si important que ça. 

Sarada - « papa... je crois qu'il faut qu'on parle »

sasuke - « dit moi tout » ses yeux reste rivé sur l'écran mais j'ai besoin qu'il me regarde 

sarada - « sérieusement papa... s'il te plaît » je sens la mains de boruto faire pression sur ma cuisse et d'un coup la télé s'éteint. Je me retourne vers boruto et je le vois la télécommande a la main avec un sourire crisper collé au visage. Mais je peux m'empêcher de lui adresser un sourire reconnaissant.

Mon père par contre n'a pas du tout la même expression du visage. Je crois qu'il pourrais tuer boruto en un simple regard parfois et ça me fait peur 

sarada - « papa j'ai besoin que tu m'écoute attentivement parce que je ne pourrais pas le dire une deuxième fois » 

sasuke - « je t'écoute sarada » il se retourne complètement vers nous cette fois ci et ce repositionne de façon a ce que toute son attention soit a mon égard 

sarada - « et bien je ne sais pas vraiment par quoi commencer »

je rigole nerveusement et j'entends boruto se rapprocher seulement deux petites secondes pour chuchoter a mon oreille 

boruto - « prend ton temps, raconte lui tout depuis le début, j'ai confiance en toi »

je prend alors une grande inspiration et commence mon récit depuis le début, ce qui inclure boruto aussi, et même si j'avais insister pour ne pas parler de lui, boruto m'a dit qu'il en assumerais toutes les conséquences. Parce que finalement j'ai aussi peur que mon père lui en veuille tout comme lui s'en veux aussi 

pendant plus d'un quart d'heure je n'ai fait que parler, j'ai commencé de ma rencontre avec boruto jusqu'au moment ou ce qui c'est passé c'est passé mais aussi ce qui m'a poussé a tout raconter aujourd'hui

Et depuis c'est le gros blanc, plus personne ne parle, et ce silence et si lourd, si oppressant, que j'en ai mal au ventre. 

Sarada - « dit quelque chose... s'il te plaît » 

puis tout d'un coup je ne vois pas tout ce qu'il ce passe mais j'entends un verre ce briser, je lève le regard vers mon père et je vois du sang couler de sa main puis une larme de son œil...

FallingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant