Chapitre 34

454 23 24
                                    




Les larmes ne veulent pas s'arrêter de couler sur mes joues , je crois que je tremble dans ses bras, elle aussi pleur mais silencieusement. Je pense qu'elle se force a reste forte pour moi, et je l'a remerciais jamais assez pour être resté malgré tout. 

Boruto - « pendant les vacance d'été, mes parents on décidé de nous emmener en vacance au bord de la mère. Himawari avait tout juste deux ans, elle marchait très bien et c'était l'âge ou les petits commençaient a tout découvrir, marcher et courir partout. Elle adorait jouer au loup, parce que je lui courait après et elle rigolait. Je pense que tu l'aurais adoré, elle incarnait la joie de vivre constamment bon sauf le jour ou, malencontreusement je lui est cassé son doudou. Elle m'a vraiment fait peur. Mais bon sa restera toujours un bon souvenir » 

je vois sarada sourire dans ses pleurs, tout comme moi en fin de compte, chaque seconde elle découvre un peu plus le vrai boruto et j'espère sincèrement que ça ne changera rien entre nous. Parce que pour l'instant j'aime ce qu'il ce passe même si je ne le comprend toujours pas. 

Je caresse ses cheveux tendrement, et je l'entend respirer un peu plus lentement ce qui me rassure et me calme en même temps, nos respiration se synchronise et c'est a ce moment la que je trouve le courage de raconter la partie de l'histoire la plus douloureuse, celle dont je n'ai pas envie de me souvenir, celle que je veux effacer de ma mémoire mais c'est impossible  ...

« ça devait faire une bonne semaine que nous étions au bord de mer et nous visitions toutes les plages des alentour. Tout ce passait bien, tout le monde était heureux et arrivé un jour ou nous ne somme pas allé a la plage mais dans un lac. C'était ma décision, j'avais supplier d'y aller parce que là plage ça devenait redondant mais j'avais tord, parce que maintenant je déteste les lacs et tout ce qui est en rapport avec l'eau...

Il n'y avait pas de sauveteur mais des personnes nous avait prévenu que le courant commençais a s'agiter alors forcement mes parent nous avait donné interdiction de nous baigné dans le grand lac mais seulement dans les coin d'eau autour ou il y avait zéro courant...

A même pas dix mettre, donc a l'entré du chemin qui conduit au lac il y avait des personnes qui vendait des boissons et glace et mes parents m'avait demandé de surveillé ma sœur seulement trente seconde. Mais ce sont ces trente seconde qui on fait basculer ma vie.

J'étais assis a coté d'elle et j'ai tourné mes yeux vers mes parents, je voyais déjà ma mère revenir et mon père aller vers la voiture pour je ne sais qu'elle raison et quand je retourné la tête vers himawari je l'ai vue se rapprocher dangereusement du lac alors je me suis précipité vers elle mais plus j'avançais plus elle se mettais a courir et rigoler. Elle devait sûrement penser que je voulais jouer avec elle, elle était trop jeune pour voir la peur dans mes yeux... 

elle a mis un pied dans l'eau puis deux et... » 

je me stop, je n'y arrive pas, j'ai l'impression que je n'y arriverais jamais ma respiration devient vraiment forte et irrégulière et je crois que je fait une crise de panique, trop de souvenir que j'avais enfoui on refait surfasse et mon cœur arrive encore à se briser malgré toutes les fissures déjà présente. 

Sarada - « boruto.. respire, respire s'il te plaît » 

je l'entends, j'entends sa voix mais je suis toujours bloqué a cause de cette douleur. Elle me tord les tripes, elle me décompose de l'intérieur. Je suis comme soumis a cette co et ça fait mal. 

Sarada - « amour... c'est moi, regarde moi, je suis là »

Elle prend mon visage dans ses mains et m'oblige a la regarder, alors c'est ce que je fait, je me noie dans ses pupille si sombre mais si lumineuse a la fois. Elles ont un pouvoir sur moi que je ne serais expliquer, alors je me calme, j'arrive a me calmer quand mes yeux se pose sur elle alors je continue de la fixer et je la voie même rougir mais très légèrement tellement je détail son visage. Elle est si belle, elle ne s'en rend pas compte mais sa peau est si parfaite, son regard si intense, ses lèvre si tentante... 

sarada - « ça va mieux ? » 

j'hoche la tête incapable de lui répondre et elle fond encore une fois dans mes bras, je ferme brusquement les yeux et décide d'enfin lui raconter le dernier bout de l'histoire parce que si je ne le fait pas maintenant jamais je ne pourrais. 

Boruto - « elle a simplement fait trois pas... le courant la importé et j'ai voulu la sauvé, je te le jure que j'ai couru dans l'eau mes après avoir fait seulement deux pas, j'ai senti quelqu'un me porter et me ramener sur l'herbe. 

C'était ma mère... 

Elle a foncé sur himawari qui se débattait tant bien que mal dans l'eau, je la voyait qui dérivait toujours plus loin et quand ma mère a réussit a la rejoindre il m'a juste suffit de cligner des yeux pour ne plus les voir a la surfasse

j'ai crié, mes poumons souffraient tellement je hurlait et les gens avaient déjà appeler a l'aide depuis que ma mère avait rejoint himawari. J'ai tenté de retourner dans l'eau mes les personne présentes au lac m'en empêchaient alors je pleurais. Je ne comprenais pas pourquoi personne allais les secourir, pourquoi tout le monde regardaient mais ne faisait rien. 

Et puis mon père a arrivé, mon père qui avait le sourire jusqu'au oreilles, mon père qui m'aimais encore mais surtout mon père qui ne savais pas qui venait de perdre sa femme et sa fille a cause de son fils... 

et c'est la dernière fois que je l'ai vue sourire... » 

voila mon histoire, la partie tragique de ma vie, celle dont j'en suis le principal responsable. Parce que même si j'entends sarada répéter en pleurant que ce n'est pas de ma faute, pour moi ça sera toujours de la mienne et de ses trois secondes ou mon regard a quitté son corps ... 

Et les trente seconde qui ont séparé ma mère et ma sœur de la vie, trente seconde qui les ont obligé a rejoindre les étoiles ...

FallingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant