Chapitre 58

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On c'est endormit comme ça, il n'était pas prêt, enfin je penses que ce n'était finalement pas le moment pour encore en parler sérieusement. Mais une chose et sur, c'est que maintenant je suis certaine que ça ne va pas et je vais pouvoir être plus présente pour lui. 

Si vous saviez a quel point ça fait mal au cœur de voir celui que l'on aime souffrir autant, d'entendre ces larmes crier a l'aide silencieusement alors que lui s'accrochait a moi comme si il avait peur que je parte, je lui répétais sans cesse que je ne partirais jamais, que je serais, toujours avec lui, j'ai essayer de le rassurer un lui caressant le plus tendrement possible les cheveux. 

Boruto a un don pour cacher ce que lui ressent au dépit de sa santé mental mais hier soir je crois qu'il n'a pas put ce retenir bien longtemps.

Je me dis que peut être il attendait inconsciemment que quelqu'un ce rende compte de ce qu'il endurais, peut être qu'il savait qu'il ne pouvais pas continuer tout seul dans cette direction, avec tout ces poids sur ses épaules. Et qu'il a juger par vulnérabilité que c'était le moment de me donner un peu de ce poids là. Et ce serais mentir de dire que je ne suis pas heureuse qu'il m'est choisit comme support. Je suis fière de lui, même si c'est loin d'être finit, je suis tellement fière de lui. 

Je l'observe dormir, et le trouve encore plus beau quand il semble apaiser dans mes bras et quand il réagit instinctivement a mes caresses. La douleur l'embellit, c'est triste a dire parce que je n'aurais jamais voulut savoir a quoi il ressemblerais ainsi mais c'est un fait. Même plus bas que terre, il reste le plus beau être humain que je ne connaisse. 

Comment fait il pour être aussi positif la journée et aussi vulnérable une fois les lumière éteintes, comme fait il pour enfiler ce masque, sourire toute la journée a pleine dents et ne jamais ce plaindre alors qu'au fond de lui tout est détruit, que ces larmes coules constamment sans pause. 

Je m'en veux tellement de ne pas avoir vue tout ça avant, j'ai l'impression d'être passé a côté d'une évidence que lui aurais remarqué dès la première seconde... 

sarada - « si tu savais comme je t'aime »

il commence un peu a bouger, je vois un tout petit sourire ce former sur ces lèvres, comme s'il avait rêvé mon je t'aime. Alors je souris à mon tour avant de l'embrasser sur le haut de sa tête et me défaire tendrement de son emprise. Il résiste un peut mais je lui chuchote que je reviens vite comme si il m'entendais dans son rêve. 

Quand je remonte plateau en main, mon sourire s'agrandit quand je vois boruto serrer fortement mon coussin comme s'il cherchait mon odeur. Et je suis submerger par temps de mignonnerie que j'abandonne très vite mon plateau sur le côté du lit pour venir me rallonger dans ses bras et venir l'attaquer de million de petit bisous pour essayer de le réveiller de la plus tendre des façon

boruto - « arrêter de m'embêter » 

sarada - « je sais très bien que t'adore quand je t'embête » 

boruto - « c'est pas vrai » 

il ce retourne dos a mois comme pour me fuir et continuer tranquillement de dormir, mais c'est hors de question, alors je l'enjambe et passe de l'autre côté du lit pour lui faire fasse et recommence la même torture 

boruto - « sarada, laisse moi encore un petit peu dormir » 

sarada - « mais j'ai préparer le petit dèj » 

boruto - « hum hum »

sarada - « ah bah super c'est la dernière fois que je fait ça alors » dis-je d'un air faussement vexé 

mais avant de pouvoir me relever il me tire rapidement vers lui et m'emprisonne de ses bras, m'empêchant de bouger. 

Boruto - « il est juste beaucoup trop tôt, reste avec moi »

sarada - « boruto il est 13 heure passé » 

boruto - « Ah bon ? » 

sarada - « oui alors lève moi ses petites fesses et mangeons un peu » 

boruto - « bon d'accord d'accord » 

                                      *********

C'est très silencieux, personne ose vraiment briser cette petite bulle de silence, il n'est pas gênant loin de là, enfin pour ma part, mais je dirais qu'il est plus apaisant qu'autre chose finalement. On parle a travers nos regard, et c'est moins fatiguant et beaucoup plus simple de ce comprendre. Je sais a quel point les mots, parfois, sont compliqué a sortir de son cœur

boruto - « est ce qu'on pourrais... oublier ce qu'il c'est passé hier soir ? » 

je ne pensais pas que ce serais lui qui aurais commencé la discutions en premier et encore moins pour dire ça. Je le regarde droit dans les yeux et fronce les sourcils d'incompréhension. 

Sarada - « non » 

boruto - « s'il te plaît, j'étais juste très fatigué et... » 

sarada - « j'ai dit non boruto » 

boruto - « mais.. » 

sarada - « je vais te laisser du temps, assez de temps pour que t'es suffisamment  de courage pour tout m'expliquer. Je sais qu'aujourd'hui c'est trop tôt mais j'attendrais, le temps qu'il faudra et je veux que tu sache que je serais toujours là, comme tu l'a toujours été pour moi. Tu n'est pas tout seul, je ne te lâcherais pas, mais toi ça dans le crâne. Je serais là chaque jours, a chaque minute ou seconde dès que tu aura besoin. Pouvoir se dire qu'on est arrivé au bout, qu'on en peut plus, n'est pas ce montrer faible, bien au contraire. C'est une preuve de courage immense alors voilà. Je peux attendre parce que tu mérite d'aller bien, plus que quiconque » 

je sens qu'il  ce bat avec ces pensées, qu'il ne sais pas si il dois capituler ou rester buter sur ses position. Mais quand ses yeux ce ferme lentement et qu'il prend une grande respiration je sais qu'il a fait son choix

boruto - « d'accord... je... merci »

j'ai l'impression qu'il est tout timide, sa voix est douce et faible en même temps, ça le rend encore plus mignon et je lui sourit parce que je sais qu'on aura cette conversation tôt ou tard alors je suis rassurer. 

Alors je décale le plateaux et me rapproche de lui 

sarada - « tu n'a pas a me remercier pour ça » 

boruto - « si, merci d'être une aussi extraordinaire petite amie » 

sarada - « je t'aime » 

boruto - « moi aussi... tellement » ...

FallingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant