Je suis désolé, je sais que je me suis absenté tellement de temps, mais vraiment, je galère en ce moment, mon téléphone ma lâcher et mon pc n'arrange pas les choses, il ne fait que de buguer, franchement, c'est l'enfer mdr. J'ai tout de même réussi à vous poster la suite, j'espère qu'elle vous plaira.
Une semaine s'écoule, neuf heures du matin, j'arrive au travail, je dois faire l'ouverture. Les clients s'enchaînent, je ne compte même plus tellement ils sont nombreux, lorsque vint son tour a lui, cet homme dont j'ai attendu un message durant toute cette semaine et enfin présent devant moi, je ne sais pas comment réagir et je le considère comme un simple client sans même prendre compte de ces nombreuses remarques. Midi ma pause déjeuner, enfin, une collègue prend le relais et je pars au snack, histoire de grignoter un truc simple et rapide.
- On peut parler?
- Parler ? Attend tu rigole la j'éspère ? Je n'ai pas du tout envie de parler avec toi.
- Inaya s'il te plaît !
- Non AZIM laisse tomber, je t'ai attendu une semaine, pendant une semaine, j'ai attendu et tu ne m'as même pas appelé ! Même un message tu ne me la pas envoyer, alors non, je ne te laisserais parler, je n'ai plus rien à te dire moi, à part, continue ta route, j'suis plus de la partie.
- J'avais plus de téléphone putain ! Il ma lâcher y c'est péter ! {Penser à toi mon Nokia mdr}
-Tu savais très bien ou est-ce que je travailler ! Tu aurais pu venir me voir putain !
- T'es trop conne vraiment !
- C'est bien pour toi alors, casse-toi ! Barre-toi je ne veux plus jamais te voir tu comprend sa ?!
- Mais putain, j'ai fais une erreur ! Une seule erreur !
- J'étais seul bordel ! Mon frère et mort et tu ne m'as même pas soutenu, tu n'as pas était là pour me rassurer ni même me consoler ! Ce n'est pas une erreur, c'est une énorme erreur !!
- PUTAIN !
Ces biens, part loin de moi, je me porte bien mieux sans toi, après avoir finis de manger, je me lève et repars au travail, je finis ma journée à vingt et une heures trente.
Un soir alors que j'étais assise au salon devant la télé Aymen vient se mettre à côté de moi, très bizarre tout ça, je ne dis rien et continue mon occupation, mais il gesticule dans tous les sens et ça a le don de m'agacer.
- Aymen, arrête de bouger ! Tu es chiant !
- Je dois te parler Inaya.
- Quoi ?! Qu'est-ce qu'y a ?
- Papa.. Il..
- Quoi papa ?
- À ta naissance, il a signé un contrat avec son ami d'enfance, le deal, c'était que a l'age de tes vingt ans, tu devais te marier à son fils...
- QUOI ?!!!
- Ta vingt ans demain Inaya...
- Tu ne va quand même pas le laisser faire Aymen ?
- Je ne peux rien contre lui Inaya...
- Je ne me marierai pas ! Surtout pas lorsque lui l'a décidé !
- Inaya... Ces sa façon a lui de te protéger.
- Me protéger ? Attend, tu rigoles là ?! Il n'a jamais était présent pour moi alors je ne verrais pas pourquoi cela changerait maintenant.
Je me lève du fauteuil et pars m'enfermer dans ma chambre, mais il est malade lui ?! Il pense vraiment qu'il a le droit de me marier comme ça ?! Il s'est cru au moyen-âge les mariages forcés pour moi ça n'existe pas, je ne céderais pas à son chantage, je ne me marierais pas !
Mon téléphone se met soudainement à sonner, c'est un numéro que je ne connais pas, d'habitude, je ne décroche pas, mais qu'ai-je donc à perdre ? J'appuie sur le bouton décroché.
- Allo ?
-
- C'est qui ?
-
- Vraiment rien à faire les gens.
Je m'apprête à raccrocher lorsque que quelqu'un daigne enfin à parler.
- Je voulais entendre la voix de ma future femme...
- Qu'est ce que tu raconte ?
- Demain, tu seras à moi.
- On y croit oui, rêves-y biens.
- Inaya...
- Comment tu connais mon prénom ?
- Je connais tout de toi...
- Tout ? Tu es sûr de toi ?
- Plus que sûr !
- Quel est mon passe-temps préféré ?
- Tu n'aimes pas faire de grasses matinées, alors tu te lèves tôt puis pars au travail.
- Mhh trop facile, quel est mon deuxième prénom ?
- Tu t'appel Inaya, Aya, Syria Al Alnsen.
- Comment ? Comment tu peux savoir tout sa ?!
- Je te l'ai dit, je connais tout de toi.
- Mhh, et toi ? Quel est ton prénom ?
- Hé si tu m'appeler Mystérieux inconnu ?
- Mais non, ton vrai prénom !
-******..
- Oh masha'Allah, j'aime tellement ton prénom...
- Sahit*, mais le tien et encore plus beau.
- Si tu le dis, ***** je suis fatiguée, je vais nehess*, je pense que je dois te dire à demain, je n'ai guère le choix apparemment...
- Je te traiterai comme une princesse, c'est une promesse.
Je raccroche, il a une voix tellement magnifique, si ce mariage et prévue, c'est que c'est mon mektoub*, je ne vais pas fuir, je vais faire avec, ainsi seras ma vie.
Le lendemain, je me réveille doucement, j'ai mal dormi cette nuit, je n'ai fait que de penser, réfléchir, penser et encore réfléchir. J'ai un mal de crâne, c'est horrible, je prends un doliprane puis file sous la douche, aujourd'hui, on est samedi, et d'après le papier, c'est aujourd'hui qu'il doit venir me demander en mariage...
Dans les alentours de quinze heures ma mère cours de partout, elle me ramène une robe, et la pose sur mon lit, un magnifique caftan blanc et dorée, je l'enfile, il me va comme un gant, je m'admire dans le miroir et les larmes se mettent toute seule a couler. J'avais imaginé ce jour comme le plus beau de ma vie, ce jour ou l'homme de ma vie viendrais chez moi demander ma main et mon père, mais ce n'est pas l'homme de ma vie, c'est un homme dont j'ignorai sa vie ! Je ne peux plus m'arrêter de pleurer, et lorsque seize heures sonnent, je sèche mes larmes et me maquille.
La sonnette de la porte sonne, j'entends plusieurs voix, sailler, ils sont là. Mon futur marie et là...
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Alooors? Qu'en avait vous penser de cette partie ? Je la trouve plutôt bien moi, n'hésiter surtout pas a laisser vos avis et a voter, ça me donne encore plus envie de continuer à écrire.
Je vous aime tellement mes lecteurs, bisous !
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Sahit*= Merci
Nehess*= Dormir
Mektoub*= Destin
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A toi , mon éternel omri
General FictionInaya, jeune fille de 19 ans. Discrète, mais surtout, fidèle à ses origine. Fière de ses origine, elle se fit la promesse de ne jamais tomber amoureuse.. Mais un jour sa promesse tomba à l'eau... Face a Azim, le tombeur au cœur de pierre.. Lorsqu'il...