Chapitre 11

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Après être sortie de l'hôpital, j'avais la jambe plâtrée et interdiction de conduire, super ça m'minimiser encore plus mes chances de trouver un boulot. Enfin, je ne perdais pas espoir, les jours passés et ma relation avec Aymen étaient de pire en pire, on ne se calculer plus du tout même un simple bonjour ne sortait pas de nos bouches, normales de mon côté, mais incompréhensible de son côté.

- Tu veux bien arrêter ? Ça commence à me fatiguer !

Je me retourne et j'y trouve Aymen, il en avait du culot pour me demander d'arrêter, il ne mériter rien que la même misère que moi !

- Comment ?! Laisse moi tranquille !

- Putain, je sais, j'ai merder ok, ces bons, je baisse les armes contente ?

- Non ce n'est pas bon Aymen ! Je te hais entend bien ce mot et comprend le ! Je veux plus jamais te parler ni même te regarder même... Avoir un seul contact physique avec toi, tu entends ?! Je te hais. 

- Mais putain, tu comprends jamais rien ! Tu m'énerves ! 

Il me met un coup de pied dans le plâtre, assez pour me faire mal, je hurle de douleur, mais putain, il est con ou il le fait exprès ? 

Aymen, mais tu es bête !! Dégage laisse ta sœur tranquille sal con !

Avec son torchon, elle se met à le fouetter, il me regarde et baisse les yeux et une larme coule sur sa joue, attendez ? Il pleure ? Aymen le thug pleure pour moi ? Putain, je n'en crois pas mes yeux !

- Aymen ?

Il se retourne au son de ma voie, oui, je ne rêve pas, il pleure, putain mon frère... Il m'a fait tellement mal et regarder moi je vais lui pardonner toute c'est erreur la a cet instant précis... Je suis peut-être idiote, mais le voir pleurer ça me fend le cœur ...

- Je suis désolé wAllah Inaya, je suis désolé, mais ça ma rendu fou les entendre parler sur toi, ils m'ont chauffer putain ! 

- Aymen.. Je putain tu ma fait mal ! Regarde moi ! 

Les larmes coulent sur mes joues, saillé je suis faibles, ma fierté me lâche.

Je ne voulais pas... Je suis désolé ! PUTAIN !

Encore une fois, il quitte la pièce, ma mère me regarde et pleure a son tour. Déçu oui, j'étais déçu de mon frère, mais je ne lui en voulais pas ou tout du moins plus.

Je vais passer six mois dans l'histoire parce qu'il ne se passe rien de spécial. 

L'ouverture du magasin se fait à huit heures trente, tout est prêt enfin tout du moins les employées qui rangent les rayons, on finit. Ouverture des portes pile a l'heure aujourd'hui, c'est les soldes il y a un tas de personnes qui attendent de courir vers tous les rayons soldés.

- Bonjou...

Les gens ne me calculent guère et partent en courant vers les rayons, quels sauvages à croire qu'il non jamais vue de soldes de leur vie ça m'exaspère.

Les heures ont passé, lorsque la journée s'est finie, j'étais épuisé. En rentrant chez moi sur la route, j'y trouve un jeune homme qui me suit du regard... Comme s'il me connaît.

Assez rapidement, il s'approche de moi et me prend dans ces bras, comme si cela faisait un bail que l'ont ne c'était pas vu. Surprise je le repouse et le regarde droit dans les yeux, j'ai beau chercher je ne vois pas qu'il peut être.

- Que faites vous?

- Putain Inaya ! Sois forte !

Au loin, je le vois partir, putain, mais c'est qui lui encore ? J'en ai marre de toutes ces devinettes et comme si rien ne s'arrangeai mon téléphone se mets a sonner... C'est ma mère.

- Allo ? Maman ?

-Inaya ?...

À l'autre bout du fil, je l'entends suffoquer, comme si elle pleurait.

- Maman ? Por qué tu Llora*? Qué es lo que ha?*

- Rayan... Il.. Nos ha abandonar mi hija, Rayan murió*...

Suite a c'est quelque mots, je laisse tomber mon téléphone par terre, la vitre ce fissure tout comme mon coeur, je tombe de haut a ce moment la. Mon frère mort? Putain comment est-ce possible ? Pas lui mon dieu tout sauf lui !

Mon frère mort ? Mon frère mort ? Putain comment est-ce possible ? Pas lui mon dieu tout sauf lui !

Je ramasse toutes mes affaires et m'empresse de rentrer chez moi. À l'entrée, j'y trouve ma mère effondrée en larmes qui ne cesse de crier le prénom de mon frère. La voir comme ça me tue, ça me tue parce que je réalise qu'il est vraiment parti et que je ne le reverai surement plus jamais ! Plus jamais vous entendez ?! Rayan mon frère le seul qui me comprenait, il nous a quittés ! Il est parti ! Je n'y crois toujours pas. Je laisse tomber mes affaires par terre et m'effondre à mon tour, lorsque ma mère m'aperçoit, elle se dirige vers moi et me prend dans, c'est bras, elle me caresse les cheveux et récite des sourates dans le creux de mon oreille pour me calmer, mais ça ne fonctionne pas, a ce moment la tout ce que je voulais, c'était le serrer lui dans mes bras, sentir son doux parfum dans mes narines, mais c'est fini tout ça n'aura jamais lieu parce que je me répète surement, mais il n'est plus là, il est est partie de notre monde...

- Pourquuuoi ? Pourquoi maman ? Pourquoi il l'a pris lui et pas un autre ?!

- Le mektoub ma fille.. Le mektoub !

- YA RABBI JE VEUX MON FRERE ! REND MOI FRERE YA RABBI MON FRERE.....

Toujours dans les bras de ma mère la porte derrière moi s'ouvre, je l'entends lui aussi renifler, il pleure ? Un beau sketch. Tout ça s'est de sa faute s'il ne l'avait pas envoyé en Espagne, il ne serait jamais mort ! Il serrait avec nous encore !

Je me lève et le pointe du doigt, je me mets à hurler, je lui en voulais tellement !

- Tout ça s'est de ta faute ! Si tu ne l'avais pas envoyé là-bas, il serait toujours là ! Il serait encore en vie ! Rayan respirerait encore !

- Ne raconte pas de sottise ! Ce n'est pas moi qui conduisais le camion !

- Je te hais ! Entend bien ces mots ! Je ne veux plus jamais que tu me parles ! Rayan serait encore en France aujourd'hui si tu n'avais pas fait cette connerie. Il te l'avait dit bordel ! Il t'avait bien dit qu'il aller changer ...

Je me lève des bras de ma mère et pars me réfugier dans ma chambre, je sors une feuille et un stylo, j'ai le besoin de me délivrer, d'écrire.

« Rayan, mon frère.

Putain pourquoi t'as fait ça ? T'aurais jamais dû être au volant ce jour là, tu n'aurais jamais du mourir sous les roues de ce camion. Dit moi maintenant sur qui vais-je compter ? Qui vais-je appeler pour me ramener un grec ? Mon frère t'est parti nous laissant nous ta famille ! T'étais si jeune, si innocent, et regardes, je suis une canarde là, je t'écrie une lettre comme une grosse fragile. Rayan, je te hais, mais je t'aime wAllah que je t'oublierais jamais, tu restera a toujours mon frère chérie, et même dans les pires moments, tu sera toujours dans ma tête... On me prenait jamais au sérieux, mais toi, tu as toujours était là pour moi. Toujours là pour me pousser à accomplir mes rêves, mais mon frère a l'instant même ou on m'a appris ta mort mes rêves, il s'est brisé, j'ai plus de rêves de petite fille, je suis plus moi, oh mon frère l'Inaya n'est plus là, je serais une guerrière pour toi, une fragile sur ta tombe, une fille avec mon mari et ma future famille... Je t'aime mon frère sache le... 

Inaya ta petite soeur qui t'aime fort. »

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Voilà, j'ai fait du mieux que j'ai pu en ce moment l'inspiration me perd, en tout cas, j'espère que cette partie vous a plus n'hésitez pas a laisser un commentaire.

Je vous aime fort mes lecteurs.

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* = Maman pourquoi tu pleure? Que se passe t'il ?

*= Rayan il nous as abandonner ma fille, rayan et mort...

A toi , mon éternel omriOù les histoires vivent. Découvrez maintenant