Chapitre15

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Sept heures tapantes, ma mère est déjà réveillée et super stresser, je me lève doucement et pars me prendre un bon bain chaud, histoire de me relaxer, avant de devoir supporter les cries de ma mère.

- INAYA GROUILLE TOI !! TU DOIS ENCORE TE FAIRE MAQUILLER ET COIFFER ! Hurle t'elle a travers la porte, vous voyez, je vous l'avais bien dit, un bon bain avant d'être emporté dans le stress de ma mère.

- No stress, il est à peine huit heures maaan' !

- Huit heures hein ?! Attend que tu sortes de ton bain, tu vas voir !

- Mamaaan !

- Il n'y a pas de maman qui tient ! Grouille tes fesses hamara* le temps passe vite.

Bien, mon bain relaxant n'a pas duré très longtemps, je sors de l'eau et m'enroule dans une serviette, je fais quel que soins à mon visage, enfile mes sous-vêtements, puis je mets un pyjama le temps d'enfiler ma robe blanche.

Neuf heures pilent, la coiffeuse et la maquilleuse arrivent, très vite, elle attaque toutes les deux, la coiffeuse prend plus de trois heures pour me faire une coiffure, et la maquilleuse quant à elle n'a pas mis très longtemps, elle n'a pas mis beaucoup de maquillage, selon elle, j'ai un très beau visage et il ne nécessite pas de temps de maquillage.

Viens le moment que j'ai tant attendu toute ma vie de petite fille, le moment où j'enfile ma robe blanche, je dois retenir mes larmes lorsque je me regarde dans le miroir, je suis ... Resplendissante ! Qui aurais cru que ce jour aurait était beau ? Mon plus grand rêve de petite fille se réaliser... [ La robe sur la photo, c'est celle qu'Inaya porte.]

- Inaya je... Wouah... Ma fille, comme tu es belle ! 

- Vraiment ? 

- Ohh oui... Ma petite princesse ...

- Maman oh non, je t'en supplie ne te mets pas a pleurer, mon mascara va couler également !

- C'est plus fort que moi, tu es tellement belle dans cette robe blanche, ma petite fille, comme tu as grandi...

- Allez maman, va te préparer toi aussi, tu dois être encore plus belle que moi aujourd'hui ! 

Heureusement, elle me lâche un petit sourire et sort de ma chambre, j'ai bien cru que j'aller pleurer avec elle, c'est la maquilleuse qui n'aurait pas était ravie de devoir me remaquiller.

Quatorze heures, ma mère se met à faire des cries joyeux, j'en déduis qu'ils sont là, je souffle un bon coup et sors de ma chambre, je le vois à côté de son père, il est si beau, son costard lui va tellement bien, il me sourit et je lui rends, je pars me mettre à ces côtés, il soulève le voile qui recouvre mon visage et m'embrasse le front.

- Tu es tellement belle...

- Merci, je te retourne le compliment.

Par la suite, il me prend pars la main et nous sortons en dehors du bâtiment, dehors, je pense que pratiquement tous les jeunes du quartier, ce sont mis sur leur trente et un, mais le plus beau dans tout ce groupe, c'est Aymen, il a un costard blanc et je pense qu'il sort du coiffeur, ces cheveux son parfaitement coiffer et fidèle a lui-même, il rigole comme un fou.

- Regarde Lyed, regarde comme il rigole !

À son tour, il dépose son regard sur Ayman et rigole aussi, il a un rire si... Spécial, je veux dire il rie parfaitement, enfin, je ne sais pas ce que je raconte moi aussi, mais vraiment Lyed est super beau, et vous savez ce qu'il a de plus par rapport à Azim ? Il a des jolies fossettes sur ces joues, ce qui me donne encore plus envie de lui pincer ces joues !

A toi , mon éternel omriOù les histoires vivent. Découvrez maintenant