Proteged by Shade [ MAFIA FAMILY 1 ]

▫️30

Elsa se réveilla avec la forte envie de tout rendre et aidée par Wyatt qui s'y attendait, étant normal à cause du médicament qui sortait après avoir travaillé par voix anal ou par où il était rentré, le fit

Il la vit vomir, secouée par des spasmes et se félicita de lui avoir attaché les cheveux en haut. Il la vit gémir de douleur, s'attrapant le ventre, et là, il sut qu'il avait un peu abusé dans les plantes, mais après, c'était dans la précipitation et ça ne faisait pas grand mal.

Elle était toute affaiblie... vit-il. Ils passèrent assez de temps dans les toilettes à la faire recracher, jusqu'à ce qu'elle se sente moins nauséeuse

Il la souleva et elle s'accrocha à lui, mettant sa tête sur son torse essoufflée

- Je suis si désolé si tu savais... murmura-t-il plus pour lui qu'elle, en lui caressant la joue

Il l'installa sur le lit, avant d'aller prendre à manger que Steeve avait envoyé en grande quantité et après lui avoir expliqué brièvement tout ce qui se passait, il partit dans la chambre, se dématérialisa et attendit sagement.

Sa respiration qui jadis était alertant, avait repris un rythme normal

Elle allait se sentir mieux dans cinq minutes et avoir très faim, car ces plantes faisaient comme un lavage dans le ventre, après avoir eut l'effet voulut. Ainsi, la nourriture était beaucoup, pour qu'elle puisse manger à satiété.

Elsa, des minutes plus tard, sentit une main lui caresser le visage et c'était doux

Elle pouvait sentir la chaleur de la pièce et l'odeur musquée de...

Elle se réveilla brusquement

Elle n'était pas morte ??

- Je ne suis pas morte ??? Demanda-t-elle à haute voix à Wyatt qui fit non de la tête la faisant soupirer légèrement

- Tu dois avoir faim... dit-il en apportant la nourriture

Quand elle vit, elle faillit avaler sa langue. Il y avait de si grande portion de viande qu'elle se léchait les lèvres rien qu'à les sentir et leur odeur était envoûtante.

Elle se leva, aidée par lui et tellement affaiblie, elle n'eut autre choix que de se faire nourrir par lui.

Elle mangea tout, sans rien laisser, des gigots au chocolat fondant. Elle avait tout aimé

Une fois stable, elle s'assit mieux et toucha ses jambes qui lui faisaient légèrement mal. La douleur était intérieure.

- Tu as mal dedans ?

Elle fit oui de la tête et il poussa son peignoir jusqu'à sa cuisse, voyant légèrement ce qu'il y avait en dessous, mais se concentra et toucha légèrement cette partie où elle avait ses mains et dès que leur main se toucha, ils eurent des décharges les faisant frémir, mais personne ne parla.

Il toucha en appuyant le début de cette cuisse, après qu'elle ait retiré ses mains et vit son mal.

- Mord dans ça ... dit-il en lui tendant les draps ceints

- Non non non... Que voulez-vous faire ??

- Ne pose pas de question, fait le, sinon ton mal s'aggravera... indiqua-t-il sans tenir compte du vouvoiement, alors que son cœur le brûlait

Elle voulut parler, mais il lui mit les draps dans la bouche en l'aidant à attraper.

Une fois fait, il attrapa sa cuisse et la fit rentrer comme on rangerait un pain dans un sac, mais cette fois, avec un craquage à en faire pleurer et c'est ce qu'il se passa.

Il la prit dans ses bras, alors qu'elle pleurait. ce qui le faisait légèrement sourire

- Ça va, ça va.
Regardes, bouges, tu verras, tu n'as plus mal

Elle l'imita, tandis que la douleur diminuait très rapidement et vit que sa cuisse était revenue à là normal

Il essuya ses larmes avec un sourire, avant qu'elle ne le foudroie des yeux et qu'il arrête

- Ça va tu te sens mieux ?

- Oui très bien merci.
Comment tu as... Je veux dire, vous avez fait

- Déjà cesse de vouvoyer.
Et après ce que tu as fait étant de l'autre côté ce matin, je n'ai pas tenu et prit le chemin par derrière, pour que tu ne me voies pas venir.
Je craignais que tu cours te cacher et que par là, tu te perdes dans la forêt.

- Et bah, tu n'as pas eut besoin. Curiosité se faisant prioritaire, j'ai décidé d'aller voir de près ce qui faisait des bruits et c'est ainsi que mes pieds se sont enfoncés quand j'ai essayé de reculer.

- Mais qu'allais-tu chercher là-bas ?? La forêt claire devant ne te suffisait pas ? Pourtant, il y a assez de fruit là-bas non ?

- Oui, mais je voulais me fabriquer une tente, car j'ai eut très mal en dormant dans le sable

- Je vois.
Tout ça ne serait pas arrivé si tu avais pris le temps de m'écouter

- De t'écouter me dire quoi ??? Je te remercie de m'avoir sauvé la vie, Encore. Mais je ne veux plus rien à voir avec toi. Tu ne me considères pas, alors quelle est ta folie !? Cria-t-elle maintenant énervée

- Tout était manigancé Elsa. Ton départ, ses filles... Tout ce que tu as vu est ce que j'ai voulu que tu voies, pour voir comment tu réagirais quand ces agents viendraient te parler.

- Non mais ce qu'il ne faut pas entendre.
C'est cette excuse bidon que tu as eu à faire sortir ??
Déjà même pourquoi tu trouves des excuses à une pute comme moi

- Ne répète plus jamais ça ! Siffla-t-il dangereusement.
Tu n'es pas comme ces filles

- Oui, elles paraissent mieux, vu que tu m'as mise dehors pour baiser avec.
Ça, je le confirme, je ne suis pas comme elles.
Elles sont meilleures.

- Tu n'es pas une pute Elsa.
Jamais je n'ai pensé ça

- Tu as pourtant acquiescé quand je l'ai dit

- Effectivement, mais c'était pour voir comment tu allais réagir. Si avec tout ceci, tu allais me défendre, ou me vendre.

- Sottise

- Je n'ai rien fait avec ces filles, je peux te le promettre.

- Je ne te crois pas

- Suis-moi alors qu'on visionne les caméras de surveillance

- Tu peux toujours les truquer

- Pourquoi je te ferais revenir ici si je ne tenais pas à toi Elsa ?

Ein ?

- Ce soir-là, j'aurais bien pu te laisser là après avoir tué tes agresseurs, mais j'ai été pris de compassion.
Jamais je n'avais ressenti ça. Bien vrai que je ne tue pas les femmes, mais c'est par respect et honneur, parce que vous êtes tout pour nous.
Toi, ce fut différent et rien qu'à sentir cette différence, je me suis dit pourquoi pas voir la différence de plus près, et depuis lors, je t'ai avec moi.
Ces jours sans toi ont été sans saveur.
Même que j'ai été obligé de prendre des employés, parce que c'était grandement vide, comme si tu arrivais à combler tout ça de ta présence, et ça, malgré que je savais que tu reviendrais.
Tout était planifié Elsa.
Ils te cherchaient et fallait que tu ailles te défendre.
Je t'ai donc poussé à bout en te traitant mal, pour voir et j'ai été agréablement surpris par ton comportement.
On a ainsi payé un hôtel dans la ville où sont enterrés tes parents, dont le gérant, qui dira que tu y étais.
Ils n'ont pas de caméra toute façon, pour le respect de la vie privée des clients, d'après le rapport de ton garde du corps.
Tu as toujours été protégée.
Toujours.
Depuis le premier jour de notre rencontre jusqu'à maintenant et ça, je ne crois pas qu'on le fasse pour une fille aux mœurs légères.