🍋 Chapitre 4 🍋

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Ethan : ça va Vic, t'as l'air dans les vapes ?

Vic : oui, je suis juste fatiguée.

Ethan ne chercha pas plus loin, et heureusement, parce qu'en réalité, ce n'est pas la fatigue qui inonde mes pensées, mais le corps voluptueux de ma petite diablesse de libraire. Je repensais sans cesse à sa remarque lors de nos essayage, puis à son corps en sous-vêtements, une pure merveille !

Après le repas, je montais directement dans la salle de bain, et pris un bain chaud, pour penser à autre chose.

Des pas se faisaient entendre à l'étage. Je n'y prêtais pas attention, ça devait être un des garçons. La porte s'ouvrit doucement, et un parfum de cerise emplit la pièce.

Vic : qu'est-ce que tu fais là ?

Elle ne répondit pas, s'avança vers moi, et rentra dans le bain à mes côtés. L'eau épousait parfaitement les rondeurs de son ventre, ses seins découverts étaient à peine mouillés, et son visage semblait chargé de désir.

Vic : tu es si belle...

Agathe me sourit, et se rapprocha de mon visage, m'éclaboussant au passage. Le spectacle était si plaisant, sa peau bronzée collé à la mienne, son corps plongé à demi dans l'eau, son regard passant de mes lèvres à mes yeux, sa bouche entrouverte...

d'un geste, elle frôla mes lèvres, ce qui m'électrisa sur place.

Agathe : alors comme ça, tu as aimé mon ensemble de cet après-midi ?

Vic : si tu savais...

Son visage se rapprocha de nouveau du mien, un air de défi dans les yeux.

Agathe : Prouve le moi !

Cela semblait si simple avec elle, comme si le temps s'arrêtait, pour ne laisser place qu'au désir bouillant qu'on éprouvait toutes les deux.

Mes mains réagissèrent de suite, se plaquant sur le cou de la jeune femme aux cheveux rose. Je la coinçais dans la baignoire, et l'embrassais, avide de ses lèvres. Elles étaient comme je l'imaginais, chaude, pulpeuse, sa langue avait un goût de chewing gum à la fraise. Mes mains palpèrent ses seins, si beau, si rond, si tentant. Sa tête bascula en arrière, ce qui me permis de dévorer son cou. Mon visage descendit rapidement vers ses seins, sans pour autant les toucher.

Agathe : Vic...

Vic : oui Sweetie ?

Agathe : s'il te plaît...

Vic : si tu veux que je fasse quelque chose, il va falloir me le dire !

Agathe : Vic, vas-y !

Vic : j'ai pas entendu ?

Agathe : lèche mes seins putain !

Son souffle vrilla dès que mes lèvres capturèrent son téton gauche. Mes mains dessinaient des motifs abstrait sur sa peau mouillé, tandis que ma bouche dégustait sa poitrine généreuse. N'y tenant plus, je soulevais son bassin, pour lui permettre de poser ses jambes sur les bords de la baignoire. Son intimité me faisait face, rougie par l'excitation. Je caressais d'abord ses cuisses, savourant la douceur de sa peau, puis je me décidais à goûter la zone de mes désirs. Son jus sucré arriva sur ma langue et ce fut une explosion de plaisir dans mes papilles. Ma langue goûta chaque partie de son intimité, encouragée par les gémissements à peine retenus d'Agathe.

Agathe : ta langue est magique Vic !

Je souris, ma tête toujours plongée en elle.

Agathe : tu peux accélérer ?

Je compris où elle voulait en venir, et posais un de mes doigts sur son clito gonflé, tandis que deux autres se frayèrent un chemin dans son vagin.

Agathe : ahh madre de dios !

Je plaquais ma main libre sur sa bouche pour pas que les garçons entendent nos ébats, et continuais de lui faire plaisir. Mes doigts jouaient en elle, quand d'un coup, ils trouvèrent son point g, ce qui la fit se crisper, fermer les yeux et mordre ma main sous le plaisir.

Vic : t'as l'air d'aimer mes doigts...

Agathe : bordel Vic c'est si bon...

J'accélérais la cadence, lui rendant la respiration difficile, jusqu'à ce que je sente son vagin se contracter autour de mes doigts, son corps se tendre, et sa bouche former un "O" parfait.

Je sortis mes doigts de son intimité, et goûtais une dernière fois son jus si sucré.

VICTORIA DE ANGELIS, RÉPONDS OU JE DÉFONCE LA PORTE !

La voix de Damiano parvint à mes oreilles, ce qui me fit comprendre que je m'étais assoupi et avais fait un rêve des plus agréables.

Vic : Damiano arrête de crier, je m'étais endormie !

Dam': excuse moi, mais ça fait une heure que t'es là, il faut qu'on se douche nous aussi..

Vic : je me sèche et je sors, attendez encore cinq minutes !

Il s'éloigna de la porte, tandis que je récupérais ma serviette, mon t-shirt et ma culotte en dentelle.

En arrivant dans ma chambre, je vis un message d'Agathe : " tu trouves pas qu'il fait un peu chaud ce soir ?" accompagné d'une photo d'elle en petit top blanc limite transparent, et d'un tanga blanc. En la voyant comme ça, mon rêve érotique de tout à l'heure me revint en tête, et me donna le courage de lui répondre. J'enlevais mon t-shirt, couvrait mes tétons de deux bout de scotch, et me prit en photo, seins à l'air et string noir. En guise de légende, je mis "J'ai connu plus chaud, mais la température est quand même élevée !"

Je virais les bout de scotch et me couchais dans le lit, épuisé.

Je me retournais dans tout les sens, incapable de trouver le sommeil. Agathe envahissait mes pensées, son corps à peine couvert sur la photo. Au bout de vingt minutes de bataille, je cédais à mes pulsions, me couchant sur le dos, fermant les yeux. Une de mes mains descendit vers mon intimité trempée. J'imaginais les mains manucurées d'Agathe caresser mon corps. D'abord mes seins, où elle pincerai mes tétons déjà dur, puis mon ventre, me faisant frissonner, puis enfin mes cuisses. Ma main toucha délicatement mon bouton de chair gorgé de désir, tandis que mon autre main agrippa mon sein droit. J'imagine sa magnifique bouche me dire des choses coquines. Mes doigts se décident enfin à me soulager réellement et un soupir d'aise sorti de ma bouche entrouverte. Ses mains me tortureraient inlassablement, tandis que sa bouche me fairait voir des étoiles. En accélérant mon plaisir solitaire, des bribes de mon rêve érotique me revinrent en mémoire. Le plaisir s'empara de moi, un gémissement étouffé dans mon coussin pour ne pas réveiller les autres, et l'image d'une Agathe aussi chaude que moi dans la tête. 

Je t'aimerai à l'italienneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant