Et la...

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Pdv Kokichi :
Je fais équipe avec t/p pour la fouille de l'école, pour chercher une porte de sortie. On avait beau fouiller, aucune sortie, toutes les fenêtres sont condamnées et il n'y a étrangement aucune brèche nul part.
À part des fissures dans certains murs il n'y a rien ou l'on peut s'échapper d'ici.

Monokuma et ces règles de tuer quelqu'un sont maintenant la seule opportunité qui s'offre à nous pour pouvoir sortir.

Le lendemain matin, Monokuma se ramena seul pour nous donner un mobile : un objet d'apparence banal mais qui avait une grande valeur sentimentale pour nous. Il nous les donna dans une boîte noire et blanche avant de disparaître.

Refusant de tomber dans son piège, je refusa de regarder l'intérieur de la boîte. À ma grande surprise, d'autres aussi le firent comme le détective, la pianiste ou la poétesse pâle ne l'ouvrit pas.

Alors que les autres, eux, furent assez stupides pour l'ouvrir et plonger directement dans le piège de Monokuma. Le piège du Désespoir et de la Peur.
Pff il sont vraiment bêtes.

Pdv t/p :
Lorsque j'ouvris la boîte donnée par Monokuma, ce fut un coup de poing dans mon cœur. C'était le collier préférée de ma mère. Un collier sans grande valeur, limite une simple babiole mais elle l'adorait et ne l'enlevai jamais.

Jusqu'à aujourd'hui.

Je ne sais pas comment il a réussi à savoir ce pan là de ma vie mais ça a marché.
Je veux savoir pourquoi ce collier est la plutôt que sur le cou de ma mère, en sécurité, chez moi.
Je tremblais de rage, comment un être humain souhaite nous infliger ça ? Je ne suis pas là seule à réagir, presque tout le monde poussait des grondements ou des pleurs.
Ma voisine me fixait puis en voyant que j'étais sur le bord d'un crise de nerfs, me tapota l'épaule et me dit de la suivre. Sans vraiment réfléchir, je la suivit jusqu'à sa chambre. Là je m'arrêta net.

-Oui je sais désolée c'est pas très bien ranger.

En effet, il y avait des boulettes de papier partout au sol mais ce qui m'a le plus surprise, c'est toutes les écritures sur les murs et les meubles.

-Pourquoi tu écris sur les murs Niewla ?

-C'est plus écologique et puis ça évite de devoir à chaque fois racheter un carnet. Je met un coup de peinture et hop le mur est comme neuf.

Elle soupira et haussa les épaules.

-Tu as regardé dans ta boîte hein.

J'hocha la tête, ne sachant pas quoi dire.

-Je sais c'est stupide mais... Je voulais savoir ce qu'il y avait dedans...

Elle m'arrêta.

-Tu n'as pas à te justifier avec moi.

Je la regarda, légèrement surprise. Elle a l'air tellement maître d'elle même ! C'est impressionnant.

-Je t'ai amenée ici pour que tu puisses passer ta crise de nerfs loin des autres.

Je fixait la boîte sans vraiment réagir.

-J'ai l'impression d'être...anesthésiée.

Elle hocha la tête

-Je comprends.

-Et toi tu n'as pas ouvert la tienne ?

Elle se raidit un quart de seconde avant de reprendre sa position initiale.

-Pas besoin, je sais ce qu'elle contient.

Rien qu'à ces mots, on pouvait percevoir que cette idée était intolérable pour elle.

-Ça va aller ?

Pourquoi ça n'irai pas ?

Sa réponse, froide, me fit comprendre que j'étais allée trop loin.

-Désolée, je ne voulais pas te...

-C'est pas grave.

Elle détourna la tête et fixa le mur devant elle.
Je compris qu'elle nee dirait plus rien et qu'elle avait besoin d'être seule.

-J'y vais merci beaucoup.

-C'est normal.

Au moment de sortir de la chambre, elle me lança une dernière phrase.
-Fait attention à toi, le premier meurtre est imminent maintenant.
J'hocha la tête et sortit en refermant la porte derrière moi.

Qu'elle fille étrange !

Vers le milieu d'après midi, j'étais en peine partie de carte avec Angie et K1-B0 quand une annonce retenti sur les écrans de l'école :

-Un corps à été découvert ! Rendez vous tous à la bibliothèque ! Après un laps de temps consacré aux investigations, ce sera l'heure du procès de classe !

Nous nous regardâmes tout les trois avant de nous rendre à la bibliothèque. Là bas, je vis une scène qui resta gravée dans ma mémoire.

Les corps sans vies de Tenko et Ryoma...

Tenko était pendue au plafond par une corde étrange. Cette corde semblait trempée dans un produit noir et gluant.

Ryoma lui, était au sol, juste en dessous le corps de Tenko, un sabre planté dans son ventre et un autre dans sa gorge.

Je pris la tête entre les mains, je ne voulais pas voir ça. Pitié que quelqu'un me réveille...

La ronde du Désespoir KokichiXreader ShuichiXOCOù les histoires vivent. Découvrez maintenant