Pour Réparer un Sourire [PRS] - Tome 1

10 - Des détails inconnus

(Dixième chapitre de Pour Réparer un Sourire, née de la collaboration des esprits plus que tordus et pervers de Poulpymimi et NuruHikari 🙄😏)

Hikari *tout sourire* : Bonjour, les petits poulpes angéliques 🐙😇 !

Poulpy *traînant des pieds et faisant la tête* 😞 : S'lut...

Hikari *un peu inquiète* 😟 : Ben, qu'est-ce qui t'arrive ? T'es plus enthousiaste d'habitude.

Poulpy : J'en ai marre de la pluie, je veux du soleil dans ma vie 😫 ! L'astre qui nous sert de gros radiateur, c'est qu'un sale radin ! Il garde toute la lumière pour lui 😭 !

Hikari *impassible* 😐 : Chez moi, il fait beau et chaud. Le soleil brille, les oiseaux chantent et je peux me baigner. T'avais qu'à pas être là où tu es.

Poulpy *sur les nerfs* 😡 : Tu veux te battre c'est ça ?

Hikari *levant les poings* 😤 : Viens, je t'attends !

Poulpy & Hikari *se jetant l'une sur l'autre pour se crêper le chignon* : YAAAAH !!!

Danny *arrivant en secouant la tête, désespéré* 😤 : Je vous jure celles-là, elles vous ont complètement oublié. Du coup, c'est moi qui vais faire le speech hehe 😁. Rien que pour vous aujourd'hui, de la limonade bien gazeuse 😏, deux commandants tête de mule (et surtout des espèces de kakapos) et un mystérieux inconnu 🤫. Pensez à lâcher quelques commentaires, je les attends avec impatience et si vous avez aimé n'hésitez pas à voter. Bonne lecture ! *se tournant à présent vers les deux collaboratrices toujours en train de se battre* Va encore falloir que je m'occupe de leur foutoir...

~

Le brun tenait le bras du second, les muscles tendus et une chaleur étouffante l'enveloppant avec ardeur. Il peinait à respirer, sa bouche grande ouverte et poussant des soupirs saccadés et désespérés. Son visage crispé par cette douleur étrange, ruisselait de larmes. Il ne savait pas ce qui lui arrivait et il n'arrivait pas à réfléchir. Son esprit était embrouillé, compressé et écrasé par ce mal-être puissant. Et sa température qui montait en flèche n'arrangeait en rien son état.

Depuis la veille, il ressentait cette chose qui le rongeait avec férocité. Il avait eu soudainement chaud, puis froid, puis encore chaud, puis mal à la tête, puis ses muscles l'avaient lâché sans prévenir. Tout s'enchaînait et rien ne pouvait le soigner. Du moins était-ce qu'il croyait. Puisque quand il avait vu le blond entrer, il avait perçu une lueur d'espoir. Mais la réjouissance avait été trop précipitée sans doute, parce qu'actuellement, tous ses sens l'avaient abandonné, il ressentait seulement une envie oppressante et insatiable.

Et du côté du phénix, rien n'allait pour le mieux. À peine s'était-il tourné vers le malade, qu'il avait vu l'état dans lequel il se trouvait. Une montée brûlante, subite et violente s'était emparée de lui en un instant. Dans son instinct de médecin ou de second, aucune pensée ne l'avait traversé puisqu'il était désormais dans un autre monde où une seule chose lui venait à l'esprit devant cette vision du Logia désarmé, le visage rougi et essoufflé. Et poussé par cette force mystérieuse, il prononça sa pensée à voix haute d'un ton étrange qu'il n'avait alors, jusque-là, jamais employé :

"Putain, Ace... avait-il soufflé en se mordant la lèvre inférieure. Ce que tu peux être érotique..."

Ses paroles ne l'avaient même pas choqué puisqu'ils ne les avaient lui-même pas entendues. Dans son esprit, il se voyait déjà prendre son cadet qui semblait le supplier de ses yeux larmoyants et implorants. Son regard azur glissait avec avidité sur ces abdominaux luisants jusqu'à ce bas-ventre qui se contractait. Il était complétement enveloppé dans une atmosphère de luxure qui le poussait à ressentir un désir charnel irrépressible.
"Ah- Marco- fit la voix brisée et suppliante du commandant de la seconde flotte."