Chapitre 28

1.3K 40 4
                                    

Comme je l'avais prédis, je n'ai pas fermée l'œil de la nuit. J'ai passée une nuit blanche, la plus longue de toute ma vie.

Dès que le soleil s'est levé, j'ai bondie hors de mon lit et me suis habillée en quatrième vitesse. Je n'ai même pas pris le temps de dire au revoir à Billy et suis sortie dehors, direction le poste de police.

Arrivée là-bas, je n'ai pas perdue une seule seconde et me suis adresser à la dame de l'accueil, qui était très attentive d'ailleurs. Elle a vraiment pris au sérieux tout ce que je lui ai raconté, et a même pris le temps de regarder les preuves que j'avais sur mon téléphone.

Heureusement pour moi que j'avais fais des captures d'écrans parce que comme je l'avais prédis, ce malade avait tout supprimé quelques heures plus tard.

Malheureusement pour moi, étant donné que mon harcleur a aussi supprimé son numéro pour protéger ses arrières, ils ne peuvent pour l'instant pas faire grand chose mis à part envoyer des patrouilles regarder autour de chez moi. Tant pis pour mon père et les autres. Felicia a raison. Ma sécurité passe avant tout le reste.

Je trouverais bien le moyen de cacher quelques détails à mon père.

En sortant du poste de police, je me sens certes un peu plus légère, mais l'inquiétude est toujours présente. Je refuse de rester là à me tourner les pouces pendant que mon harceleur rôde toujours dans la nature.

Il faut que je fasse quelque chose ! C'est là qu'une idée me viens en tête.

Il faudrait que je trouve un hacker informatique pour pouvoir retracer le téléphone du numéro masqué.

Mais qui ?

Je n'en connais aucun !

Je devrais posé quelques questions subtiles à mes nouveaux amis. Peut-être qu'ils sauront m'éclairer ?

C'est avec toutes ces questions que je marche dans les rues de San Diego, guettant toujours le moindre bruit suspect autour de moi.

Lorsque je reviens chez moi, je m'effondre littéralement de sommeil dans mon lit. Je suis tellement épuisée que je pourrais dormir une journée entière, et c'est exactement ce que j'ai fais. Ou presque.

Après m'être endormie, je me suis fait réveillé en après-midi par Billy qui réclamait désespérément une balade.

Le pauvre... Je n'ai même pas pensé à lui une seule seconde. Cette histoire m'a complètement retournée.

Je me lève péniblement et vais me brosser les dents. Lorsque c'est fait, je m'habille vite fait et attrape la laisse de mon chien, qui me tourne autour.

Je n'ai vraiment fait aucun effort tant qu'à mon look du jour. Ou plutôt, de l'après-midi. J'aimerais, si possible, me mettre le moins possible à l'évidence aujourd'hui. Je me dis que moins je serais visible, et plus mes chances d'éviter mon harceleur aujourd'hui sont faibles.

Enfin, je l'espère...

Je sors de la maison à grand pas, bien décidée à en finir le plus rapidement possible avec cette promenade. Je marche rapidement, la tête baisser, guettant aux alentours tout les passants.

Je pense que Billy sent mon inquiétude car il semble beaucoup moins surexcité que d'habitude. Et c'est tant mieux ! Comme ça, on ne perdra pas trop de temps dehors.

Je marche dans les rues de San Diego, toujours sur mes gardes, lorsqu'un petit kiosque m'interpelle.

En effet, ce kiosque contient toutes sortes de petits portes-clés, mais un seul attire vraiment mon attention.

Comment je l'ai rencontré... { EN COURS D'ÉCRITURE }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant