Quand le passé refait surface

Chapitre 1

Cela fait maintenant 5 ans que Florence et Pascal travaille ensemble, au fil des années des rituels ceux sont installés entre eux. Notamment, le footing du matin le long du magnifique lac d'Annecy que la commissaire adore tant. Elle repense à sa vie "Parisienne" qu'elle a quitté pour se reprocher de Jules. C'est un moment pour eux pour se retrouver en dehors du commissariat et surtout un moment à deux.

Après la journée de boulot, Pascal demande à Florence si elle souhaite aller en footing le lendemain matin :

Pascal : Commissaire, demain footing à 6h30 ?

Florence : Mais avec plaisir mon capitaine !

Pascal : Rendez-vous sur le ponton en face du café comme d'hab ? Ça vous va ?

Florence : C'est parfait ! A demain capitaine !

Pascal : A demain commissaire !

(Lendemain matin)

Cela fait déjà 30 min que Pascal attend la commissaire, il commence à s'impatienter. Il l'appelle, mais malheureusement il tombe immédiatement sur sa messagerie. Après tout, Florence ne capte peut-être pas. Quelle idée d'habiter dans un endroit aussi perdu dans les montagnes se dit-il en levant les yeux au ciel. Il décide alors de démarrer ses assouplissements. Une demi-heure plus tard, le capitaine commence sérieusement à s'inquiéter de son retard. Il a bau l'appeler, il tombe toujours sur sa messagerie. Pascal essaye pour la 10e fois d'avoir Florence au téléphone.

Pascal : Bon sens Florence répondez !!

Messagerie de Florence : Bonjour, vous êtes bien sur le répondeur du Commissaire Cassandre. Je ne suis pas joignable pour le moment. Merci de laisser un message, je vous rappelle dès que possible.

Pascal : Mais ce n'est pas possible dit-il agacé !

Pascal décide de laisser un message à sa commissaire.

Pascal : Bonjour Commissaire, c'est votre capitaine préféré ! Je ne sais pas si vous m'avez oublié, mais je vous attends sur le ponton pour notre footing matinal. Ça fait 1h que je vous attends, donc envoyez moi un message pour me rassurer.

Cela devient de plus en plus bizarre, ce n'est pas dans les habitudes de Florence de ne pas répondre ...