༄ 52 Une étreinte chalereuse

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coucou c'est encore moi ^^

je voulais sincèrement vous remercier pour les commentaires positifs que j'ai eu au chapitre précédent, ça m'a fait plaisir a un tel point ! au final reposté des chapitres m'a motivé encore plus

donc merci infiniment je tenais à le dire !

(dans le chapitre le terme « Noona » sera utilisé, ça veut dire « grande-soeur » en coréen, ce sont les garçons qui emploient ce mot pour appeler une femme plus grande qu'eux dont ils sont proches ^^)

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Elle a l'air vachement puissante, celle-là...

— Ouais, on n'a pas l'habitude. Peut-être qu'ils nous ont arnaqués.

— Si elle est plus forte, ce sera cramé direct. On devrait retourner à l'ancienne.

— Mais elle m'a l'air vraiment pas mal quand même... exactement la même que celle des Yakuzas.

— On s'en fout Dara, on devrait pas l'utiliser. Qui sait ce qui pourrait se passer ?!

— Faudrait tester.

Tous les regards se posèrent alors sur lui.

Oh, non...

Il se réveilla en sursaut.

Face à lui, deux grandes billes noisettes l'observaient avec inquiétude.

Hey... tu vas bien ?

— J-J'ai... mal à la tête.

La jeune femme acquiesça.

Tu as pris tes comprimés hier soir ?

— ...

Un rire nerveux s'échappa de ses lèvres.

— Je rêve...

— J'ai oublié, murmura le jeune homme.

— Ma parole... t'es complètement inconscient ! Tu peux pas oublier ça !

— Eh ben... la preuve que si...

— Est-ce que tu veux te suicider, Haniel ?

Il écarquilla les yeux, ne sachant même pas quoi répondre à cette question sans tact.

Sa soeur aînée l'observait sévèrement, les yeux embués de larmes. Il se rendit alors compte que les rideaux de la fenêtre étaient grands ouverts dans sa chambre. Laissant les rayons du soleil filtrés dans sa grande chambre aux tons beiges.

Seol-Ah, sa soeur aînée, s'assit à ses côtés. Toujours aussi bien pomponnée. Ses taches de rousseur, les mêmes que les siennes, étaient cachées par du fond de teint, elle ne les avait jamais aimées.
Ses cheveux blonds cendrés étaient coiffés, répartis sur ses épaules en deux grosses boucles anglaises qui s'arrêtaient au-dessus de sa poitrine.

Elle était en tailleur blanc, ce qui lui indiqua qu'il avait dormi jusqu'à son retour du cabinet. La jeune femme travaillait dans un cabinet d'avocat.

Je ne sais plus quoi faire..., murmura-t-elle en passant une main tremblante dans ses cheveux.

Quelques larmes glissèrent sur ses joues roses, faisant culpabiliser le jeune Haniel.

J-J'ai jamais voulu me suicider ! Noona, je te le promets !

— Tu mens !

Il se mordit inconsciemment l'intérieur de la joue. C'est vrai, il mentait. En partie seulement.

Dɪʟᴇᴍᴍᴀ Où les histoires vivent. Découvrez maintenant