Vingt-quatrième jours de décembre de l'an de grâce seize cent cinquante huit, à Versailles.
Point de vue Louis:
Dix-neuf heures venait de sonner. Depuis ce matin les domestiques s'activer en cuisine pour préparer les mets somptueux de ce soir. Elisabeth, Elisabeth-Charlotte, Philippe et moi, accompagné de Mr Marchal et de Bontemps nous étions aller dans la forêt chercher les deux plus grands et plus beaux sapins de Noël. L'un pour le château de Versailles et l'autre que l'on fit livrer à Paris sur la grand place de la capitale, Elisabeth était aller avec eux pour expliquer à la population l'arrivé de ce sapin et la magie de Noël. Elle leur avait conseillé de décorer le sapin avec les objets de leur choix et avait emmené quelques guirlandes et boule en verre de Murano spécialement pour eux. Elle avait fait livrer de nos cuisines des paniers repas suffisant pour toute la ville, dont elle avait ressassé la population une semaine plus tôt, ne voulant pas reproduire le même schéma que ses parents lors de leur couronnement. D'après Marchal et Elisabeth, ils avaient tout d'abords était surpris avant de s'exclamer de joie. Et de chanté longue vie au roi et a la reine. Ce qui nous ravit tout autant. Depuis qu'elle était arrivé bien qu'elle avait bousculé tout le protocole malgré les grandes protestations de mes ministres, la population de paris était apaisée. L'arrivée des lumières dans la ville et de l'eau propre et des égouts avait considérablement changé l'hygiène de vie. De même pour chez nous. Il me fallut néanmoins quelque temps pour m'habituer au bain tous les jours.
Flash back:
-Louis, tu m'aimes ? Tu comptes me garder ?
-Bien sûr !
-Alors tu vas me faire le plaisir d'aller prendre un bain et ce tous les jours.
-Les médecins, tentais-je de me défiler
-Sont des incompétents. Je viens du futur, je te rappelle que j'ai donc un minimum de connaissances pour vous dire que l'hygiène est la clé de la santé.
Je soufflais désappointé avant de la suivre dans la salle d'eau. On fit remplirez une baignoire d'eau chaude et on nous apporta du savon et une éponge.
-Viens, dit Elisabeth allonger dans la baignoire.
-dois-je vraiment enlever mes vêtements ?
-Comment veux-tu frotter ta peau afin d'enlever la crasse et les impuretés si tu gardes ta chemise de nuit ? Demanda-t-elle offusquer.
-pff... Qu'est-ce qu'il faut pas faire par amour... Ronchonnais-je.
-Tu me remercieras plus tard. Monte donc gros grincheux.
Je la fusillais du regard face à cette insulte et monter dans la baignoire après mettre dévêtues. L'eau chaude au contact de ma peau me fit tressaillir. Et je m'allongeais face à elle.
- Tu vois. Dit-elle en souriant.
-c'est différent qu'avec un vêtement.
-Je me doute bien.
-Et maintenant.
-Déjà se détendre cinq minutes en fermant les yeux et en laissant l'eau chaude décontractée les muscles et enlever les tensions du corps.
Je fis ce quelque me dit, quelques peu dubitatif et peu rassuré. Fermant les yeux j'essayais de vider mon esprit, concentré sur l'eau chaude et enlever les angoisse face à cette nouveauté si je puis dire.
Étrangement elle avait raison, je sentais mes muscles un à un se détendre, je me sentais moins tendu, moins engourdis.-Ce n'est pas agréable ?
-Peut-être un peu. Répondis-je de mauvaise foi.
Elle leva les yeux en l'aire en riant de ma mauvaise fois. Elle prit l'éponge et se savonna de partout. Je la regardais dubitative sachant clairement que je subirais le même sort.
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Le Destin D'une Vie
Ficción históricaEt si Louis XIV roi de France, n'avait pas épousé l'infante d'Espagne Anne d'Autriche, mais la dernière héritière des Stuart, reine d'Écosse Elizabeth Stuart. Et si cette fille était loin d'être fille facile, une princesse parfaite, mais plutôt une...