chapitre 12: être ou ne pas être ?

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Point de vue de Louis:

En ce quinzième jour du mois d'août de l'an de grâce mille six cent cinquante-neuf, la douce chaleur d'été du matin commencé à ce faire ressentir ici à Versailles, les Fleurs étaient épanouies et dégageaient leur délicat parfum dans le jardin.
Aujourd'hui, était, un jour, particulier, c'était nos un an de mariage.
Et grâce à Mr Marchal, j'allais pouvoir offrir à ma femme, le plus beau des cadeaux.

En effet après des mois de recherche, j'avais trouvé une piste du joaillier qui avait déjà vu le collier que ma très chère épouse portée. Ce qui était une bonne nouvelle mais aussi très intrigante. Ce collier était plus ancien qu'il n'y paraissait.

***

Je me dirigeai vers ma douce, encore sagement endormie et l'embrassais sur le front pour la réveiller.
- il est quelle heure ? Murmura-t-elle encore endormie toujours les yeux fermés.

- il est neuf heures, et l'heure de se lever.

- encore une heure s'il te plaît. Grogna-t-elle comme un ours en se retournant et enfouissant sa tête dans la couette.

Ce qui eut le don de me faire glousser. Je fis signe à Bontemps mon premier valet de pied d'ouvrir les rideaux pour faire entrer la lumière.

-Vous êtes cruelle, ronchona-t-elle 

-Il est l'heure de faire nos devoirs et qui plus est, j'ai une surprise pour vous.

-pfff, mais j'étais si bien ici...

- Votre Altesse, je vous rappelle que la cours attend pour votre levée.

-C'est aujourd'hui qu'on a mis ça en place dit-elle encore endormi.

- oui très chère.

- je suppose que je dois arrêter de faire le grizzli et de me mettre dans la peau de la reine parfaite. C'est chiant...

Je ne pus me retenir de rire et Bonchamps de même bien que lui était plus discret.

- langage très cher. La taquinai-je.

- c'est bon... Faites les entrées, capitula-t-elle en ouvrant les yeux... Constance est là ?

-oui ma reine, dit cette dernière qui était autre sur ça première dame de compagnie. Je suis prête à vous aider à vous vêtir.

***

Quelques heures plus tard à Paris

-Que faisons-nous ici ? Demanda t'elle

-cest en lien avec ma surprise.

-Vous voilà bien mystérieux. Mais pourquoi allons nous a la cour des miracles. Bien que les travaux que nous avons demandés son charmant.

-oui ils sont mieux lotis, c'était une belle initiative et une grande générosité dit Mr Marchal

- mais ce n'est pas suffisant, il faudrait que tout le monde puisse manger a sa faim, et il y a encore trop d'inégalités...

-on ne peut pas tout changer en un jour, il faut du temps. Et nous avons plus révolutionné la France en un an que d'autres rois en plusieurs décennies. Ne soyez pas trop dure et impatiente mon amour.

-Vous avez raison louis. Dit-elle en me souriant tendrement.

Le carrosse s'arrêta et le valet nous ouvrit. Marchal descendit en premier et je dis :
- Après vous ma dame.

Elle sourit et prit la main de Marchal pour descendre. Et je l'ai suivi. Puis nous avançâmes dans la ruelle, sous le regard étonné des passants, jusqu'à arriver devant une boutique de bijoux anciens. Nous entrâmes, et le joaillier nous accueillit.

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⏰ Dernière mise à jour : Apr 07 ⏰

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