Chapitre 4: Éprouvez moi 2/2

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Point du vue de Louis:

Quelques heures plus tard,

J'avais abandonné Élisabeth dans sa chambre. Elle m'avait éboulis aujourd'hui, elle avait réussi à résoudre cette énigme et surtout eu le cran de le faire, elle remontait un peu plus dans mon estime au fur et à mesure. Ce fut une journée enrichissante, je dois dire. Entre la première approche son arrogance qui ma fortement déplu au début. Avant que je ne comprenne qu'en fait elle me rendait juste l'appareil. Que ce n'était pas une femme comme les autres, quoi que je puisse faire dans le futur elle me le rendrait positivement ou négativement. Je préférais même pas penser a la vengeance qui m'attendais si je la trompais. Elle avait était très claire, elle savait ce qu'elle voulais ou ne voulais pas. Et elle ne se laisserait pas faire. Mais ça faisait partie de son charme, et cette esprit... Sans compter ses facettes malicieuses, rieur, douce, et Dieu sais comme elle est attirante quand elle est embarrassé, elle fait tomber se masque de femme forte, intouchable. Cela me donnais encore plus en vie de la découvrir et pourtant c'est bien la première fois que je veux découvrir quelqu'un sans la mettre dans mon lit. Je crois que je suis fiévreux. Enfin non c'est elle qui me rend fiévreuse.

AHHHHHHH

Un hurlement me fis sorti de mes songes. Je sortie de la Chambre en trombe afin de voir d'où provenez ces crie, et vis sa Majesté courir vers la Chambre d'Élisabeth, je le
suivis discrètement mettant ma tête contre la porte qui était entre ouverte, afin savoir ce qui se passez. Oui je sais c'est pas bien d'ecouter au porte mais bon...

-Élisabeth réveillez-vous. Dit-il en la prenant dans ses bras et essayant de la contenir

-Non!!! Arrêtez pitié ! Maman, papa, criait-elle en sanglotant et se débattant dans ses bras.

-Ouvrez vos yeux. Ce n'est qu'un cauchemar.

Après une énième tentative elle se réveilla enfin.

-Jacques? J'ai eu si peur... Tous ce sang... Ils étaient là...

-Ce n'est rien mon enfant, ce n'étais qu'un cauchemar. Dit-il doucement en la bercent. Vous êtes en sécurité. Dormez. Je veillerai sur vous...

Et sur ses mots elle ne rajouta rien s'allongent dans le lit, Jacques à ses côtés lui caressant le front et la regardant avec bienveillance.

-Et bien cher frère, dit la voix de mon frère. On écoute au porte.

Il me regardait avec amusement, j'avais été prie en flagrant d'élite.

-Que fait tu ici? Repondis-je sur la défensive.

-Je présume comme toi, j'ai entendu crier et j'ai cherche la cause de tout ça. J'ai donc un damné comme belle soeurs se moqua-t-il

-Idiot! Elle a juste fait un cauchemar... La défendis-je pour je ne sais quelques raisons.

-Palsambleu, serait-ce l'inquiétude que je lis sur ton visage? Ne me dite pas que mon frère à des sentiments. Diantre, moi qui te croyais dépourvu de coeur, me serais-je trompé ?

-Roh, la ferme, râlais-je.

-Alors tu l'aimes vraiment? Dit-il étonner et ravi. Qui lut cru...

-je ne l'aime pas. On ne tombe pas amoureux des personnes qu'on ne connaît pas, me défendis-je en essayant de me convaincre moi-même...

-Oh si chère frère! C'est ce qui s'appelle le coup de foudre. Enfin tu devrais avoir l'habitude toi qui sote sur tout ce qui bouge en parlant d'amour, se moqua-t-il.

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