Point de vu Elizabeth :
Nous venions d'arriver à Paris.
dès notre entrée à Fontainebleau, Fergus resta avec moi et m'accompagna aux cuisines pour nous faire engager.
Constance avait pris ma place présentant comme conseillère du roi, annonçant notre offre avec le bras droit du roi William
Nous nous étions promis de nous retrouver à la nuit tombée pour raconter les dernières nouvelles trouver des deux côtés.
Fergus avait été pris dans les écuries royales et moi en tant que femmes de chambre et servante, ce qui me plais d'autant plus pour être les yeux et les oreilles de mes amis. Je pourrais tout savoir, en apprendre plus sur ce bon cher Louis.Je devais être surprise, je pense, d'autant que si j'en croyais les leçons sur ses maintes conquêtes et son amour pour Mademoiselle Mancini, qui devait ce passé cette année si je me souviens bien. Tragique histoire d'amour, le roi n'avait pas le droit de l'épouser n'étant pas du même rand et devant épouser l'infante d'Espagne, se consolant après de conquête en conquête... Mais ce sera moi à sa place, et je ne le laisserai pas faire ! Je m'en fais le serment ! Même si j'ignore encore comment...Nous nous étions promis de nous retrouver à la nuit tombée pour raconter les dernières nouvelles trouver des deux côtés.
Je suivis donc la gouvernante qui m'expliqua les tâches à accomplir. Comment faire les lits. Comment se tenir, etc. Ne manquant pas de m'informer que ce soir avait lieu un bal.
Ce serait l'occasion rêvée pour voir de plus près le roi, découvrir la Cour et les coutumes.***
Quelques heures plus tard,
Dix-neuf heures venaient de sonner, au château de Fontainebleau. L'heure du bal était arrivée.
Vêtu des vêtements de Constance, je sortis de la cuisine en tenant un plateau avec des flûtes de Champagne.
Je traversais les chemins indiqués et arrivai dans la salle de Bal ; cette dernière était éclairée par de magnifiques et imposants lustres en cristal. De chaque côtés de la salle se tenaient de grande arc peint, abritant les fenêtres. Au fond, une grande cheminée avec les armoiries de la famille royale, et en dessous un symbole celte de l'Unité trois cercles entrelacés, comment pouvait-il se retrouver ici, étant d'origine celte a la base. Curieux.
Sur les bords de l'aller gisait des tables, où avait été dressée un grand buffet.
Quant à moi je jouais la plante verte avec mon plateau dans les mains proposant dans un merveilleux français une flûte de Champagne aux passants.
C'est à cet instant que je le vis, Louis XIV, plus joli et plus monce que les portraits qu'on m'avait montré jadis. Vêtu d'une tenue bleu roi, mettant en valeur son corps harmonieux et élancé. Un Visage fin et réguliers, aux yeux bleus tel l'océan, et à la chevelure brune, ondulant et tombant sur ses épaules.
À ses côtés, se tenait la reine-mère, vêtue d'une robe noire, donnant l'impression d'avoir la quarantaine. Suivi du Cardinal vêtu de ses habits Rouge. Monsieur, frère du roi, beau brun dont les yeux étaient de la même couleurs que ce de son frère. Vêtu d'un habits vert clair, il se dirigea vers un homme à la longue chevelure blonde, certainement son amant. Je retournais mon attention vers le roi et je le vis en train de discutailler avec une jeune blondinette au yeux verts, bien faite de sa personne, peut-être moins maigre que le roi,habillé d'une robe rose à motif. Ça ne pouvait qu'être Mademoiselle de Mancini, premier amour du roi.Je ne pouvais qu'être peiné pour eux, car je savais que dans quelques heures, ils apprendraient la nouvelle de nos fiançailles et Mademoiselle de Mancini, serait mi en exile.
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Le Destin D'une Vie
Historical FictionEt si Louis XIV roi de France, n'avait pas épousé l'infante d'Espagne Anne d'Autriche, mais la dernière héritière des Stuart, reine d'Écosse Elizabeth Stuart. Et si cette fille était loin d'être fille facile, une princesse parfaite, mais plutôt une...