chapitre 09

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Ma mère regagne la maison et trouve sa belle soeur. Pendant se temps je finit avec mon linge, quand je les trouvent aux salon je vois ma mère en pleur et tante Nancy qui la regarde pleurer.

– hum Evelyn je sais même pas pourquoi tu pleure, mon frère a refait sa vie avec une vrai femme qui en vaut la peine. Lance ma tante

Je vient réconforter ma mère, donc l'homme là est comme sa depuis avec une autre femme. Seigneur Dieu, c'est encore quoi le tour si.

– une femme infidèle c'est tout se qu'elle mérite, toi et ta fille avez au moins eux la maison.

Quoi ma mère infidèle, apparemment elle devient folle. Ma tante se lève et s'en va laissant ma mère en larmes. Je la suit pour en savoir plus.

– Donc c'est vrai...ton frère est avec une autre femme.

– oui en plus en Europe s'il te plait, au moins il a été suffisamment intelligent pour faire partir mes vrai neveux. Lance-t-elle avec joie

– vous êtes tous méchant ! Lui dis-je

C'est vrai neveux, donc moi je suis rien pour eux. J'ai toujours su au fond de moi qu'ils m'ont jamais aimer, mais au points de me considérer comme un enfant illégitime c'est un peu abuser. C'est vrai je ressemble a personnes du coté de mon père mais de là a mettre en doute la paternité c'est méchant.

– regardez moi celle qui parle, demande à ta mère qui est la vraie méchante dans l'histoire avant de parler. Me lance tante Nancy avant de partir

Je me souvient que j'ai laisser ma mère seule au salon et quand je la retrouve, elle a des difficultés a respirer. J'essaie de lui faire du vent mais rien je sort en vitesse pour trouver de l'aide il n'y a personne chez les Dada. Je remarque Mati venir au loin sur sa moto, il me fait un grand sourire et quand il vu ma tête il gara et me demanda inquiet.

– qu'es qu'il y'a ?

J'arrivais même pas a parler, je pleurais et indiquait le maison.

**

Sa fait deux heures que nous sommes a l'hôpital avec ma mère qui n'arrivait plus a respirer. On l'a mise sous oxygène, je suis dehors en train de faire les cent pas en attendant le médecin. Mati est debout contre le mur et me regarde en silence.

Sans lui je sais pas se que j'aurais fait vraiment, même pour payer c'est lui qui l'a fait. En sortant j'ai pas pris mon porte monnaie, mais je lui est promis de lui rendre son argent et je m'en fiche qu'il refuse.

Des que le médecin vient je me précipite sur lui en essuyant mes larmes.

– du calme, votre mère va mieux vous avez bien fait de l'emmener sinon elle serait morte.

Je me laisse tomber au sol en larmes et remercie Dieu. Mati vient m'aider.

– mais dorénavant faudra faire très attention avec elle, éviter de la brusquer. Son coeur est fragile faudra qu'elle viennent tout les mois pour qu'on puisse la suivre a notre niveau, aussi elle doit prendre régulièrement les médicaments prescrit. Fit-il

Je me suis assise sur une chaise et j'ai franchement pleurer comme un bébé. Si Mati n'était pas rester avec moi je sais pas si j'aurais tenu.

– Calme toi, ta maman va mieux, s'il te plait arrête de pleurer.

– tu as suivi le médecin comme moi...pour le moment ça va mieux....et si après c'est la tombe direct...je ne peut pas perdre ma mère, c'est la seul famille qui me reste ! Dis-je

– Calme toi, je suis là moi aussi si tu as besoin de quoi que se soit.

Je suis dans ses bras et il me caresse tendrement les cheveux, son odeur de noix de coco m'a calmer. Une fois mon visage rincer, nous sommes aller voir ma mère. Elle avait l'air tellement faible que sa me brisa le coeur.

Amalia  (En Réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant