chapitre 10

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Je roule des yeux et pose ma tête sur la table, histoire de fermer un peut l'œil j'ai pas dormis de la nuit a cause de ma mère qui était brûlante. Je sent que l'on me secoue fortement, j'ouvre les yeux petit à petit en baillant.

– on va fermer. Crache Mbango en me toisant

Je me lève et emballe ma machine a coudre, vu que c'est pour moi je rentre chaque jours avec, une fois fini je sort et elle ferme. Il y'a un vent terrible et le ciel est nuageux, faut vraiment pas que je traine. Je commence a marcher super vite pour pas qu'il pleuve sur moi.

– heee, la petit Mezan

Je me tourne et vois Nguidi un ami des jumeaux qui a draguer Dada fatiguer. Je roule des yeux il est trop saoulant, se gars pourtant il est pas lait, mais c'est un vrai forceur.

– je t'appelle au lieu de m'attendre tu continue a marcher. Fit-il une fois a ma hauteur

– tu m'appelle pourquoi, nous ne sommes pas ami que je sache. Lui dis-je sèchement

– toujours aussi insolente toi la petite si, faut descendre un peu de ton nuage hein !

Je le regarde bien des pieds à la tête, franchement après quand je vais dire que les gens de se village font la sorcellerie on va me traiter de folle. En plus il fait quoi ici je croyais qu'il est partie en ville continuer l'école.

– bon j'ai un ami qui t'appelle vient s'il te plait. Fit-il

Sans lui répondre je continue mon chemin en le toisant bien. Vraiment le culot du gars, il fait sa parce que mes frères ne sont plus là. Il me retient par le bras

– vient norhh il veut juste te dire bonjour. Insiste-t-il en regardant mon corps avec un sourire en coin

– lâche moi, apparemment sa ne va pas dans ta tête, donc toi tu ose me toucher tu as oublier qui sont mes frères ?

Il se met a rire a gorge déployer comme si j'avais dit un truc super drôle, pourtant non.

– tes frères, ils sont où arrête de faire l'enfant et vient prendre un pot avec nous, tu va adorer notre compagnie.

– déjà j'ai jamais aimer ta compagnie c'est pas aujourd'hui que sa va changer.

Je m'en vais, lui il est malade dans sa tête. Depuis que mes frères sont parti les gens qui n'osait même pas me regarder viennent me parler carrément. Encore une conséquence de départ de moi soit disant père.
La pluie a commencer et je suis encore loin de la maison, je décide de me mettre à l'abri, le ciel est tellement noir qu'on croirait que c'est la nuit. Je suis rester jusqu'à se que la pluie baisse entièrement, je ne vous dit pas l'etat de la route, inonder et avec la boue j'ai bien patauger.

**

Les jours qui on suivit on a eu de grosse pluie, l'eau a déborder et ceux qui vivait un peu trop proche de la rivière on du déménager. Donc je suis rester une bonne semaine a la maison avec maman, Qui avec toutes ses pluies est tomber encore plus malade. Le palu je crois, j'ai du me rendre a l'hôpital a de Kilomètre pour lui acheter des médicaments. J'ai l'impression de ne plus vraiment vivre je ne sais vraiment plus quoi faire, elle se laisse complètement aller a la maladie, je suis fatigué de lui demander de se ressaisir mais rien. Elle pleure ses fils, sont mari, sa vie et son foyer. Moi je comprend pas pourquoi aucun d'eux ne s'inquiète sinon ils auraient trouver un moyen de reprendre contact avec nous. Donc pour moi ils sont de mèche avec leurs père et seul Dieu les récompensera.

Les résultat son sortie et ma copine a eu son probatoire de justesse. C'est la seule bonne nouvel que j'ai. Comme chaque vacance elle est parti chez sa soeur a Douala. Mati quant a lui est aller rendre visite a sa mère. Il me manque trop et m'a promis plein de cadeaux.
Ha pour finir je me suis couper les cheveux, j'en avait mare de les voir attacher ou jamais coiffer. Ma mère a failli me tuer mais je lui ai dit que c'était ma tête et que je voyais pas le problème vu que depuis elle me tresse plus et Dada n'est pas là pour le faire, j'ai pas d'amie pour le faire et pas d'argents pour payé pour qu'on le fasse.

Amalia  (En Réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant