Amalia (En Réécriture)

chapitre 18

Point de vue Omniscient

Matias Ndim se trouvais dans un état très grave, Il était dans le coma et le médecin ne savait pas si il s'en sortirait. Sa famille était dévaster par la situation, encore plus après les révélations faite sur Amalia. Chacun avait un ressenti différent sur se qui avait été dit.

– tu pense vraiment que tout se que maman et Patrice ont dit sur Amalia soit vrai ? S'enquit Prisca tristement

– tu n'as pas vu sa réaction quand je l'ai annoncé l'accident elle a faillit perdre connaissance, c'est sa réaction qui me pousse à douter. Répondit Doris en fixant sa mère et Patrice

Doris se promis de mettre la lumière sur cette histoire et de faire payer tout ceux de prêt ou de loin on la main mise sur cet affaire.

– Mati va mourir je veut pas qu'il meurt. Se mit a pleurer Prisca

– Dieu est au contrôle, Il faut beaucoup prier pour lui. Lui avait dit sa soeur

Madame Ndim était plus que heureuse de la situation du fils de son mari qui était entre la vie et la mort. Elle avait attendu avec impatience l'occasion de frapper. Depuis toujours elle détestait Mati, parce qu'il était le seul fils de son mari, sachant qu'il était l'héritier testamentaire il lui fallait l'évincer à tout pris. Après un passage chez son kamsi elle avait mise son plan en exécution. Détruisant au passage sa relation avec la pauvre Amalia qu'elle ne supportait pas depuis longtemps.

Evelyne lui avait volé Donatien dont elle était folle amoureuse et quand elle avait appris que sa fille sortais avec le fils de son mari elle c'était juré de faire tout son possible pour détruire cette relation. Connaissant les éco de M. Mandeng elle n'avait pas eu tord de suspecté qu'il avait des vues sur l'amie de sa fille. Elle se réjouissais plus que quiconque de la situation et espérait que Mathias ne s'en sorte pas.

**

De l'autre côté de l'hôpital un petit garçon vu le jour, après des heures de travail intensif.

– mon petit ange bienvenue à toi ! Lui souffle sa grand-mère en le tenant dans ses bras

– maman il est magnifique n'es pas...je peux encore le voir. Fit sa fille l'air épuisé

Attendri sa mère inclina légèrement les bras, lui dévoilant le visage de son fils.

– je suis fière de toi Nina, c'est Jamal qui sera ravi ma puce. Lui dit sa mère émue

– Oui il sera très heureux, je veut qu'il se prénomme...

Puis elle perdit connaissance, Les infirmières obligea sa mère à sortir de la salle on lui pris le bébé des bras.

– que sa passe-t-il....pourquoi je doit sortir...dites moi quelque chose ?

– Madame attendez dehors un instant s'il vous plaît ! Lui dit l'infirmière en l'a poussant

Une fois dehors elle se mit à faire les cent pas en priant Dieu qu'il protège sa fille et son bébé.

Cela faisait pratiquement une heure maintenant qu'elle attendait sans nouvelles, à chaque fois qu'une infirmière passait elle se précipitait vers elle demandant après sa fille. Mais personne ne lui disait rien. Sans savoir pourquoi elle s'assit sur un banc et se mit à pleurer. Son beau fils et son ami apparu devant elle avec de grand sourire et une valise ou était sûrement les affaires du bébé.

– bonjour Nadine, Comment va Nina et le bébé,  j'ai fait au plus vite. 

– mais qu'es que vous faite ici, je croyait qu'elle avait déjà accouché ?

– c'est le cas, j'ai même vu l'enfant mais après je sais pas se qui s'est passé on m'a demandé de sortir et depuis personnes ne veux me dire se qui se passe.

Son regard se durci et il se dirigea vers une infirmière, quand le médecin vint à leurs rencontres. La dame se leva en essuyant ses larmes et posa son attention sur se dernier. De même que les deux hommes qui l'accompagnait.

– comment va ma fille et le bébé, Ses affaires sont là je peux les voir ? S'empressa de demander la dame

Il se racla la gorge plusieurs fois le regard fuyant.

– le bébé va très bien vous pourrez le voir dans quelques minutes si vous le désirez.

– et ma femme, je veut la voir ! Fit-il en le foudroyant du regard

– Jamal calme toi s'il te plaît. Intervient son ami

Le médecin paru tout à coup désolé et avant même qu'il ne les informé il le pris par le coll.

– vous n'avez pas intérêt à le dire je veux voir ma femme ! Hurla-t-il de rage les yeux larmoyant

Sous le regard perdu de sa belle mère et de son ami qui essaye de le faire lâcher le médecin. Se derniers compris sa douleur et ne l'en voulu pas, mais il se devait de les informer aussi difficile que cela puis être.

– je suis vraiment désoler, Madame Thiam est morte.

À peine il l'avait dit que sa mère s'écroula et perdit connaissance. Quant à Jamal sa vision se brouilla à cause des larmes qui emplissait ses yeux.

**

Se jour Amalia quitta le village pour se rendre chez sa tante, emportant avec elle juste se qu'elle avait sur le corps.

Après sont départ les rumeurs furent nombreuse à son sujet, certains furent triste pour elle et d'autres se réjouissant de son malheur, laissant un bon nombre de questions en suspens. Mais une chose était clair à Ëwo. Amalia Mezan avait disparu du village pour de bon en laissant derrière elle un tas d'histoire, comme le reste de sa famille.
Pour cette dernière ses fêtes de fin d'année furent les plus horrible de toute sa vie et elle ne les oublieraient jamais. La nouvelle année l'a trouva dans une profonde tristesse et mélancolie, cette histoire l'avais plus affecté qu'elle ne laissait croire à sa tante qui s'inquiétait pour elle.

Même sa meilleure amie lui avait tourné le dos sans l'écouter. Aujourd'hui plus que jamais elle savait qu'elle ne pourrait compter que sur elle même dans l'avenir. Car elle n'avait plus personne sur qui compter si se n'est sa tante. Elle se devait de repartir de zéro pour survivre et recommencer une nouvelle vie, Pour sa mère, Pour sa tante et pour prouver à tout ses gens qui l'on rabaisser, humilié, méprisé et abandonné qu'elle est seul maître de son destin.

**
2013

Cinq années c'étaient écoulés depuis sont départ du village. Amalia avait 23ans aujourd'hui. Grâce à sa tante Marthe elle avait été embauché par une femme qui désirait une ménagère pour prendre soin de sa maison, elle vivait maintenant à Douala chez cette dernière. Dans cet ville dont elle avait tant rêvé pendant son adolescence, Elle n'avait plus jamais remis les pieds à Ëwo et ne comptais pas un jour y retourner.

Son petit salaire elle avait pu poursuivre ses études jusqu'à obtention du baccalauréat. Elle désirait maintenant entré dans une école de stylisme pour pouvoir réaliser son rêve d'être une grande dans le milieu très prisé qu'est la mode. Les frais de scolarité restait très élevée pour une pauvre ménagère comme elle. Malgré tout elle restait optimiste et continuait d'économiser, faisant même de petit boulot de part et d'autre, Elle c'était même acheter une nouvelle machine à coudre plus moderne pour confectionné quelque vêtements et ainsi se faire de l'argent.

Sa vie avait bien changer et surtout elle, Son corps s'était affiner, Elle avait pris de la taille. Son teint était toujours le même et elle avait laissé poussé ses cheveux qui lui arrivait au dos. Elle s'efforçait à les laisser ainsi comme sa mère.

Salut tous le monde après ce chapitre l'histoire prends une tout autre tournure. Merci de suivre cette histoire 🥰