chapitre 21

3 0 0
                                    


Je le suit en silence, j'avais tellement peur que j'ai même pas voulu regarder autour de moi. Des que nous avons franchi la porte de la maison une boule de poil tout gris s'est mis à aboyer autour de moi. Façon j'ai crié en faisant demi tour, c'était mortel. Je fais donc demie tout en criant et la porte ne s'ouvre pas.

- je veut sortir....je veut pas mourir....mon Dieu ohhh.... Mon Dieu sauvé moi ohhh

Je frappait la porte en panique putains et le truc continuait à aboyer sur moi. Mon employeur lui me regardait perdu. J'ai grave peur des chiens

- c'est juste un chien, pas besoin d'en faire tout un cinéma ! Déclare se dernier en le prenant dans ses bras

- un chien....mais pourquoi il est si petit et où sont ses yeux, Sa bouche...de plus j'ai peur des chiens. Dis-je collé contre la porte

Il fronce les sourcils, contrarier apparemment et moi je suis morte de peur. Ma phobie des chien remonte à quand j'avais cinq ans, j'ai vu deux chien s'entre-tuer sous mes yeux, fallait voir avec quel sauvagerie il se déchirait la peau, Sa m'a traumatisé depuis se jour j'ai peur qu'un chien s'en prenne à moi même les plus petits.

- elle ne vous a pas dit qu'on avait un chien ?

- Non, Elle m'a rien dit vous pouvez l'éloigner s'il vous plaît ?

Il se masse la tête et va l'enfermer dans une autre pièce j'imagine, me laissant seule par la même occasion. Le temps pour moi de reprendre mon souffle et ma calmer. Quant il revient il m'invite à le suivre, nous arrivons dans une pièce emménagé en bureau. Tout était bien rangé et ordonné.

- prenez place jeune fille. Ordonne-t-il

Jeune fille hein ! Il va faire on va croire qu'il a quarante ans le gars. Je m'exécute de suite, puis il croisa les bras et se mit a fouillé un document sur sa table.

- vous n'êtes pas trop jeune pour se genre de travail ?

La même question que sa belle mère. Ils se sont entendu où quoi.

- je vois pas le rapport entre mon âge et ma capacité à m'occuper d'un enfant. Je suis pas non plus une mineur. Je renchérit en roulant des yeux irrité

- Nadine ne m'a pas vraiment laissé le choix vous concernant, apparemment vous êtes quelqu'un de confiance et de qualifié. Declara-t-il sans pour autant me regardé

Puis un silence c'est installé, Il a lever la tête et à commencé a me regarder comme si il attendait une réponse. Je savais pas quoi dire.

- c'était une question où une affirma....parce que je sais pas si je me devais de répondre.....peut être pas.

Il s'appuie sur le d'osier du fauteuil où il est assis et me regarde en plissant les yeux.

- je vais être honnête avec vous, après le rendez vous manquez je ne voulais absolument plus de vous comme nounou, mais Nadine ne m'a pas laissé le choix. Mon fils arrive dans deux semaines et je me dois de tout mettre en ordre pour son installation. Au moindre écart je n'hésiterai pas à vous mettre à la porte c'est claire ?

- très clair monsieur ! Répondis-je tendu

J'en conclus qu'il n'a vraiment pas apprécié. Mais il n'avait qu'à pas me raccrocher au nez. Puis il me tend un dossier, je le fixe des interrogations dans les.

- prenez et lisez le, c'est votre contrat jeune fille. Vous savez lire au moins ?

Bon là j'ai pris sa pour une insulte, c'est quoi son problème. Pour réponse j'ai pris le fameux contrat pour le lire.

Amalia  (En Réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant