Chapitre 15

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Père- Préparez-vous à faire surfasse ! Nous allons bientôt arriver.

Je me positionne aux côtés de Père et des autres commandants. Aucun bruit ne parvient à mes oreilles,personne ne parle, tous le monde se concentrent. Tous va bien se passer et Thatch sera bientôt avec nous.

Père- Écoutez-moi bien. Aujourd'hui notre seul objectif est de sauver votre frère. Mettez vos rancœurs de côtés et protégez notre famille. Donnez le meilleur de vous même et ce soir nous fêterons cette victoire comme il se doit.

Un grand crie de crie de joie et de détermination s'élève dans les airs, brisant le silence pesant et angoissant qui était présent. Le capitaine à raison, nous sommes l'équipage des pirates de Barbe Blanche. Si quelqu'un peut bien sortir victorieux de cette grande guerre c'est bien nous.

Izou- La surface est en vue.

Moi- Préparez-vous et attendez le signale que nous donnera notre Père !

Un immense « Ouais »s'élève de nouveau dans l'air tandis-que le recouvrement du bateau disparaît.

Notre entrée a l'air de les déstabiliser un temps soit peu, mais Sengoku rappela vite ses troupes à l'ordre.

Sengoku- Préparez-vous au combat !!!

Aucun des deux camps ne bougent, tous le monde s'observent. Cela dure à peine quelques secondes avant qu'un des amiraux ne se décide à lancer les hostilités. Que le spectacle commence !

Aokiji nous fabrique un passage en gelant l'eau du port, nous invitant donc à venir les rejoindre sur la terre ferme. Je décide de rester aux cotés de père pour le moment et de laisser mes frères s'occuper des marines.

La bataille fait rage et nos frères ont du mal à atteindre l'autre coté de la rive geler. Les grands Corsaires ne sont pas tous rentrés dans la bataille, c'est le cas de Doflammingo et Œil de Faucon qui observent tranquillement la scène se déroulant devant leurs yeux. Et ne parlons même pas du seul responsable de ce massacre qui n'est même pas présent, qu'il profite bien la prochaine fois que je le vois je me fait un plaisir de l'éclater moi même. Il est vraiment pitoyable, qu'importe se qu'il peut bien encore nous réserver il ne s'en sortira pas vivant.

Joz- Celui-là est pour moi !

Joz me ramène sur terre en interceptant une attaque lancé par le meilleur sabreur au monde.

Joz- Tu ne t'approcheras pas de Père,ton chemin s'arrête là.

Je reconnaît bien là le commandant de la troisième division. Je ne dois plus me laisser aller comme je viens de le faire ? Père prends une nouvelle fois la parole plus inquiet et sur ses gardes que jamais et m'incite à observer à mon tour attentivement mon environnement.

Père- Il se trame quelque chose.

Moi- Vous avez raison, nous avançons trop vite pour que se soit naturelle. C'est comme si la marine mettait ses troupes en sûreté.

???- Élevez les murs ! Ils ne doivent plus passer.

Moi : Les mur ?... Je supposeque je vais devoirs y aller.

Père- Vas-y fils, vas aider tes frèreset ne t'occupes pas de moi.

Moi- Vous savez très bien que c'estimpossible, même en connaissance l'étendue de votre puissance, etmême en ayant un confiance et une croyance infini en vous ;vous restez l'homme que je considère comme mon père et il m'estimpossible de ne pas m'inquiéter pour vous ?

L'exécution avant une nouvelle vie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant